Sous l'emprise des esprits des eaux...

//•Chapitre 45•//

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« Quand les hommes diront: Paix et sûreté! alors une ruine soudaine les surprendra, comme les douleurs de l'enfantement surprennent la femme enceinte, et ils n'échapperont point. »

1 Thessaloniciens 5:3

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PDV DE SHAMA

Il me fait signe de le suivre ce que je fais toute tremblante.

J'entre dans cette salle et je découvre une pièce trésor salle et assez sombre dans la quelle il y a un grand matelas taché de sang.
Mon sang se glace lorsque je vois trois autres hommes dans cette pièce.
Ils sont tous adossés sur un mur avec des cigarettes en main.

Prise de peur je me stoppe à l'entrée.

_:- ORHHHHH AVANCE KESSIA* (qu'est-ce qu'il y'a) !? me crie l'homme qui m'avait fait entrer.

_:- Laisse la elle croit qu'elle est bête ? ajoute l'un des hommes qui étaient adossés contre le mur.

_:-En plus c'est une tismée, ah ouais ! Vipère a fait fort hein.

Celui qui m'avait fait entrer dans la pièce me saisi par le bras et me pousse violemment sur le gros matelas. J'ai pas le temps de comprendre je vois l'un des types adossé au mur venir vers moi et me retourner sur le dos, avant d'arracher violemment la robe que je portais.

J'ai vite compris pourquoi les autres filles criaient lorsque je les voient tous baisser leur pantalon.

_Moi:- AHHHHHHHHHHH !

Ils ne prêtent même pas attention à moi et m'arrachent les sous vêtements. Je ne sais pas vraiment qui d'entre eux le fait mais c'est pas le plus important non plus.

_:- Eh tu joues à quoi !? Tshipp, crache t'il avant de m'écarter fermement les jambes parce que jusque là je les avais serré.

Et à tour de rôle, ces gens abusent de moi.
J'ai crié j'ai pleuré mais rien n'y fit. Ils l'ont vraiment fait et je ne vous partage pas ces minutes d'horreur que j'ai vécu.

Ca fait terriblement mal et en plus ces types sont dégoûtants.

Après qu'ils aient fini leur besogne, l'un d'entre eux s'approcha de moi et se mit à me... toucher. Je n'arrive pas à réagir je suis à bout de force et je saigne abondamment.

_Homme:- Celle la elle a la peau molle. On l'envoie en zone D alors. En plus elle est tenace, affichant un sourire pervers.

Je suis étalée toute nue sur ce vieux matelas et j'ai bien l'air d'un mouton a l'abattoir.

_Homme:- Emmenez la ! dit il a l'endroit de ses acolytes.

Deux d'entre eux viennent vers moi et me soulèvent sans ménagement avant d'ouvrir la porte d'une autre pièce et d'y entrer avec moi.

Nous entrons dans cette pièce dans laquelle je vois les deux jeunes fille précédentes en train de se faire soignées par deux femmes albinos.