Lorsque Marina emménage dans cet appartement haussmannien aux côtés de deux garçons, elle y découvre, plus qu'un nouveau toit et deux amis, une véritable expérience de vie qui lui ouvrira les portes d'une sexualité libre, transgressive et épanouie...
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"Éprise par ce sentiment de vulnérabilité et d'impuissance, je rejetai ma tête contre l'épaule d'Adam qui vint m'embrasser, une main sur mes seins, bloquant ma cuisse en hauteur pour permettre à Nathan de venir glisser sa langue entre mes cuisses avec avidité. Il me lécha langoureusement, sa langue passant de mon clitoris à l'entrée de mon vagin, buvant ma mouille avant de revenir sucer mon clitoris tandis que, d'une main dans son caleçon, il se caressait à présent fiévreusement."
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Retournant rejoindre la famille après notre petite douche à deux, cette fois-ci habillée d'une robe fleurie jaune et dotée d'un profond décolleté qui fit loucher Nathan lorsque je débarquais, nous nous installâmes finalement tous à table pour entamer ce premier repas de réunion si attendu par tous les membres de la famille. Nous trinquâmes bien évidemment tous, nos verres emplis de Champagne et de vin rouge provenant très directement des domaines de la famille, attaquant sans attendre le repas sur fond de discussions hâtées et enjouées. Assise entre Adam et Nathan, je discutais agréablement avec l'une de ses tantes attablée face à moi. La sœur de sa mère s'étant présentée comme étant pédopsychiatre, nous trouvâmes ainsi immédiatement des centres d'intérêt commun, principalement en ce qui s'agissait des nouvelles pratiques de sophrologie et de psychologie positive qui émergeaient depuis un certain temps.
- Dis, souffla alors Nathan en venant un instant se pencher à mon oreille. Vous êtes allés prendre une douche, avec Adam.
- Hm ?
- Dis-moi qu'il t'a baisé, me susurra-t-il, tandis que je lui accordais un profond regard qui me fit déglutir, un frisson brûlant roulant le long de ma nuque.
Prenant cela pour une confirmation, il esquissa un fin sourire et vint se recaler contre le dossier de sa chaise, reprenant sa conversation avec son beau-père comme si de rien n'était. Mais sous la table, je sentis alors sa main se poser sur ma cuisse. Traçant d'abord des cercles doux et tièdes, du bout des doigts, presque innocemment. Avant de finalement remonter, tout aussi discrètement, vers l'intérieur de mes cuisses pour effleurer ma fente encore humide. Retenant un souffle, le regard d'Adam venant se poser sur moi d'un air curieux, je déglutis à nouveau lorsque ses doigts se mirent alors à appuyer doucement contre mon clitoris. Semblant comprendre ce qui était en train de se passer, l'ombre d'un sourire naquit sur le visage d'Adam qui, discrètement, le geste caché par la nappe, vint m'attraper l'autre cuisse pour bloquer celle-ci contre lui, les hanches écartées. Sans mot dire, et le visage de plus en plus souriant, Nathan échangea un bref regard avec Adam tandis que je commençai à me liquéfier sur ma chaise. Venant alors lentement et agilement plonger ses doigts dans mon string pour me caresser.
Et quand bien même je gardais à présent un silence des plus complets, je ne pouvais évidemment empêcher mon souffle de s'accélérer. Devenant irrégulier et plus profond, tandis que sous la table, Nathan continuait de jouer avec moi en passant ses doigts le long de ma fente puis sur mon clitoris, se contentant de me faire mouiller, encore et encore, sans jamais vraiment me toucher. Nous restâmes ainsi pendant de longues minutes avant que Nathan ne me relâche brusquement, son regard devenu embrumé et vitreux, si bien que cela allait finir par se faire remarquer s'il continuait. Néanmoins, il se tourna rapidement vers Adam et moi pour nous intimer de le suivre à l'intérieur, prétextant de devoir aller chercher le dessert. La gorge sèche, je me levais sans broncher tel que le fit notre colocataire, accompagnant ce dernier jusqu'à l'intérieur de la maison, puis dans la cuisine un peu vieillotte.
