Chapître 10

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Dylan

Je grognai en regardant ma douce Petite, étendue sur le sol. Elle levait les yeux moi, mordant sa lèvre, son visage rouge de désir. Elle était parfaite.
La voir dans une mignonne petite couche me rendait fou. J’avais fantasmé qu’elle en porte une, mais j’avais toujours été un peu trop stressé de lui soumettre l’idée. Du coup, il semblait qu’elle avait pris les choses en main. Doucement, je lui retirai pour dévoiler sa chatte nue en-dessous. Elle était déjà dégoulinante. Je gémis.

- Tu es déjà si mouillée pour Papa, ma petite chérie.
- S’il-te-plaît, Papa, dit-elle à bout de souffle. J’ai tellement envie de t’avoir en moi.
- Bonne fille, grognai-je.

Je mis mon gland contre sa fente et me glissai doucement en elle. Sa chatte pressa contre ma bite, comme pour la traire. Je gémis et la pénétrai encore et encore.

- Je vais te faire jouir sur toute ma bite, grondai-je.
- S’il-te-plaît, fais-moi jouir Papa, soupira-t-elle. S’il-te-plaît, prends-moi.
- Oh tu es à moi. Je fais ce que je veux de toi

Je fis des va-et-vient plus forts pendant que mon pouce venait titiller son clitoris. Elle ferma les yeux et leva les hanches, exigeant plus.

- Regarde-moi. Regarde-moi pendant que tu jouis sur ma bite.

Ses yeux s’ouvrirent. Ils étaient si sombres de désir, pendant que je la pénétrais et l’excitais, la faisant monter vers l’orgasme.

- Je t’aime, Papa, gémit-elle.
- Alors jouis pour moi, ma petite chérie.

Je t’aime aussi.
Elle eut le souffle coupé et son corps de crispa sous moi en jouissant. Tout son corps trembla et sa chatte se resserra autour de ma bite. Je gémis. Le plaisir de son orgasme me submergea et soudain j’éjaculai ma semence en elle.
Nous sommes restés comme ça sur le sol pendant plusieurs minutes. Je me retirai doucement avant de rouler sur le dos et de la prendre dans mes bras. Je posai un baiser sur son front pendant qu’elle se blottissait contre moi.

- Je t’aime, ma petite chérie, chuchotai-je.

Elle soupira, l’air parfaitement comblée et adorable. Elle m’avait fait une si bonne surprise avec la couche. Je repensai à ma propre surprise que j’avais à lui faire. Une surprise un peu plus bouleversante.
La semaine dernière, j’avais acheté une bague de fiançailles. J’avais prévu de la demander en mariage pendant le dîner avant qu’on change de programme. Elle était toujours dans la poche de mon pantalon, qui avait été jeté seulement quelques mètres plus loin. Ce n’était pas aussi romantique de lui demander sa main juste après le sexe, mais je lui revaudrais. Je pourrais la gâter d’un bon dîner juste après. Puis d’une belle lune de miel. Là où elle voudrait. Je souris tout seul en tendant le bras vers mon pantalon et attrapai la petite boîte en velours.

- Je dois te poser une question, ma petite chérie.
- Mmh.

Elle ne prit même pas la peine de me regarder, toujours apaisée par les sensations de l’orgasme. Ses yeux étaient toujours fermés et elle avait un sourire détendu aux lèvres.

- C’est un peu une question importante, dis-je avec un sourire en coin. Tu auras peut-être envie d’être réveillée pour ça.
- Je suis fatiguée, Papa, râla-t-elle. Ça peut pas attendre ?
- Je veux pas attendre, ma petite chérie. J’ai déjà attendu trop longtemps. Je veux plus attendre un seul instant.

Ses yeux s’ouvrirent en papillonnant et elle tourna les yeux vers moi, les sourcils froncés.

- De quoi tu parles ?

Je dévoilai la boîte en velours. Elle se redressa, pleinement alerte, les yeux grands ouverts.

 Maya, tu as infiniment embelli ma vie. Tu m’as sauvé de plus d’une façon et je veux passer le restant de mes jours avec toi. Donc s’il-te-plaît… veux-tu m’épouser ?

J’ouvris la boîte pour lui montrer la petite bague de fiançailles.
Elle me regarda, bouche-bée.

- T… tu es sûr ?

Je lui souris.

- Bien sûr que je le suis. Pourquoi est-ce que je serais pas sûr ? Je t’aime. J’aime prendre soin de toi. Je veux être ton Daddy toute ma vie. Du coup, ma petite chérie, est-ce que tu veux de moi ? Je te promets que je passerai chaque jour à essayer de te rendre heureuse.

Elle se mordit la lèvre, en souriant, et jeta ses bras autour de mon cou.

- Oh mon dieu, oui ! cria-t-elle. Je vais t’épouser.

Je souris, soulagé. Une partie de moi était inquiet qu’elle dise non. Elle pourrait être avec quelqu’un de beaucoup mieux que moi. Je ne la méritais tellement pas, mais pour une raison inconnue, elle était d’accord pour me supporter ; et même se marier avec moi. Je n’allais pas la laisser changer d’avis. J’allais prendre soin d’elle et la gâter pour le restant de mes jours.

- Je t’aime, chuchotai-je.
- Je t’aime aussi.

Doucement, je glissai la bague à son doigt et elle gloussa. Elle secoua la tête, comme si elle ne réalisait pas.

- J’arrive pas à croire que tu veuilles te marier avec moi. Je suis tellement collante et en manque d’attention.
- Pas du tout. Tu es une Petite et je suis ton Daddy. J’aime veiller sur toi.

Je l’embrassai, la tirant tout près de moi. Tout ce qu’elle était m’apaisait. Elle donnait un sens à ma vie. C’est sûr, la thérapie avait aidé, tout comme les cours d’auto-défense. Pourtant, elle était celle qui me faisait garder les pieds sur terre. Elle ne le réalisait peut-être pas, mais elle m’avait sauvé la vie.
Nous sommes restés là, couchés sur le sol, dans les bras l’un de l’autre. Je caressai sa main en regardant ma bague à son doigt. Je souris. Elle était mienne pour toujours. Je lui offrirai chaque partie de moi aussi longtemps qu’elle voudrait de moi.




Maya et Dylan sont désormais en chemin vers leur « heureux pour toujours » ! Après s’être sauvés mutuellement, l’amour a jailli et ces deux-là sont parfaits l’un pour l’autre. Pourtant, Luca, l’ami garde du corps de Dylan, ferme son cœur à l’amour. Sera-t-il capable d’ouvrir son cœur ?

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⏰ Dernière mise à jour : Mar 18 ⏰

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