Chapitre 16

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En multimédia vous avez Akiria et dans la vrai vie c'est une amie à moi qui est sur Watpadd sous le nom de Little_Pandacorn .
Bonne lecture!
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Il avait fait tous les hôtels, toutes les pensions et est jusqu'à même vérifier tous les recoins calmes et protégés qui seraient à même d'accueillir les deux fuyardes.

Rien.

Pas même le commencement d'un indice.

Un cri rageur s'éleva, rompant le silence religieux de soirée. Les habitants avaient peux être avalés les salades joliment dites par la polices. Pas lui. La police avait rapidement classé l'histoire. Pas lui. Tous ce si précieux petit monde venait promptement à oublier cet incident. Pas lui. Il savait qui était les voleurs, il avait soigneusement suivit leur trace jusqu'à l'hôpital mais à partir de là, plus rien. C'en était rageant, il avait été si près du but, si près ! Et pourtant il avait perdu leurs traces. Il en avait presque pleuré de rage.

Il balança toute sa haine sur une poubelle qui avait eu le malheur de se trouver sur son chemin et s'en alla rageusement noyer ses pensées dans un verre d'alcool. Car oui, il avait beau être un ivrogne doublé d'un toxicomane violent il n'en restait pas moins très intelligent et avait rapidement deviné le plan de sa salope de fille et sa bouffonne de copine.

Mais comment diable deux jeunes filles, dont l'une grièvement blessé par balle, car oui, il était au courant de cet incident car il avait récupérer des précieuses informations lors de son enquête approfondit au poste de police qui avait surtout consisté à boire des coups en écoutant les conversations. Malgré cela, sa patience avait porté ses fruits. Enfin bref, reprenons. Comment diable deux petites putes, dont une avait du plomb dans l'aille, avait pu s'échapper de l'hôpital puis disparaître dans la natu...

- LA NATURE !! Hurla t'il triomphant, ce qui fit sursauter la pauvre serveuse qui ne demandait qu'à faire son travail.

La poussant rageusement, il sortir en trombe du petit bistrot pour commencer une course folle en direction de la forêt. Maintenant qu'il y pensait, sa connasse de fille et la pute qui lui servait d'amie avait l'habitude d'y aller après l'école pour y faire je ne sais quoi. C'est avec des sombres pensées et un sourire malsain qu'il atteignit la forêt. À l'instant où son pied entra dans la forêt, une bourrasque, telle un ouragan, vint le frappé avec force. La forêt le rejetait. Elle ne voulait pas être le théâtre de ses mauvaises actions. Troublé mais pas moins fière de son effet, il continua sa course faisant difficilement abstraction des nombreux rejets de la forêt. Il marcha longtemps, soulevant chaque pierres, vérifiant chaque herbes, chaque buissons, chaque feuilles. Son corps était poussé par une folie meurtrière. La recherche fut longue et fastidieuse, mais rien ne pouvait l'empêcher d'atteindre son but. Sa haine s'amplifiait à chaque secondes.

Il était proche du but.

Il le savait.

Il le sentait.

Bientôt il pourra se vengé.

Alors, après plusieurs heures de recherches acharnées, de blessures et de fatigue, il trouva. En haut d'un arbre, faiblement caché par le peu de feuillages restant, se tenait une cabane. Un sourire remplit de mauvaises attentions apparut sur ses lèvres. Ce n'était plus qu'une question de minutes, voir de secondes. Il en aurait presque rit de victoire mais il se retint. Il se devait d'être discret afin de pouvoir mieux surprendre les deux salopes qui se tenaient en haut de l'arbre ne se doutant de rien. Il imaginait déjà leurs regards remplit d'effroi et désespéré à a vue.

Faisant attention à ne pas faire les moindre bruits pouvant dénoncé sa présence, il grimpas à l'arbre et se retrouva bien vite devant le linge qui servait de porte à la petite maisonnette. Dans un hurlement qui se voulait effrayant il arracha le tissu et rentra vivement dans la cabane.

Wolf Où les histoires vivent. Découvrez maintenant