Black kitsune

chapitre V : l'évasion

          Mes salutations !!! Ce chapitre est basé sur le point de vue de notre petite kitsune noire et vue qu'elle n'est jamais sorti de sa case, elle ne connais pas le nom de pas mal de choses et comme j'ai toujours été nulle en description je mettrais la signification entre parenthèses pour que vous soyez pas perdus. Vous avez vu mon illustrations 👀🤣 c'est de sa faute si ce chapitre a du retard 😂. bref bonne lecture.            

✨✨✨✨✨

***Point de vue de la renarde noire

J’étais dans ma chambre, si on peut appeler ça ainsi, après tout ce n’est qu’une pièce sombre avec à peine de la lumière qui y pénètre.
Comme à l’accoutumé j’attendais mon repas du soir qui avait 2 h de retard ce soir-là. Ils m’avaient peut-être oublié, qui sait ?
J’ai senti une présence à plus de1 00m de la case, au cours de ces 50 dernières années je l’ai toujours senti rôdée autour de la case sans jamais s’approchais, cette dernière se manifesté toujours dans l’après-midi.

Mais ce soir-là s’était différent car cette présence s’est rapprochée de la case à une vitesse folle et juste après j’ai entendu quelque chose de lourd tombé au sol, s’était trois masses lourdes, j’ai donc supposé que c'était les gardes.
Je n’ai pas compris pourquoi y’en avait trois depuis cette après-midi. Je ne comprenais pas ce qui se passait, la personne à qui appartenait cette odeur ne s’est jamais approché de la maison depuis plus de 50 ans alors pourquoi aujourd’hui et comment ça se fait que les gardes n’ont pas réagis à sa présence ?
Après le bruit des corps qui tombent, il eut un moment de silence et soudain une femme traversa le mur, elle était rousse jusqu’au cheveux avec des taches de rousseurs et de magnifiques yeux verts, elle était grande avec des formes généreuses, elle s’accroupie en face de moi, les yeux brillants et elle me regarda avec une expression que je n’avais jamais vue au paravent et bizarrement cela ne m’effrayer pas.
Après un moment de silence, elle me salua et m’annonça qu’elle était ma « mère ».« Une mère ? » s’était la première fois que j’entendais ce mot ; je lui ai donc demandais c’est quoi une mère, elle me prit alors dans ces bras et je senti mon épaule s’humidifié en même temps qu’elle poussait des petits cris et des reniflements comme si elle était enrhumée. Je ne comprenais pas ce qui se passer.
Son étreinte était chaude et douce, je n’ai jamais eu un contact physique de ce genre au paravent, je n’ai jamais eu de contact physique tout cour. Elle se releva au bout de quelques secondes, et défonça la porte et soudain j’ai senti une bouffé d’air frais et j’ai pu voir quelque chose de gros, de blanc et de brillant dans l’immense espace bleu qui se trouve tout là-haut et pleins d’autres petits points aussi brillants que la grande tout ça posé sur le machin bleu tout là-haut.
👉PS: il s'agit du ciel de la lune et des étoiles👈

Par terre il y avait des petits végétaux verts et frais sur lesquels se posaient mes pieds hésitants (herbes ) et enfin je sentais le vent faire voler mes cheveux. Je me sentais bien, pour la première fois de ma vie je ressentais quelque chose grandir au fond de moi et soudainement je senti mes lèvres s’étirer en un large sourire.

J'ai vu ma « mère » se transformé en une renarde qui fait deux fois ma taille, la renarde était majestueuse avec une fourrure épaisse. Après sa transformation, elle me regarda avec ses beaux yeux verts aux reflets blancs et me dit :
_Vite grimpe sur mon dos, il faut partir d’ici au plus vite, si on nous trouve ici on t’enfermera à nouveau si tu me suis tu ne le seras plus jamais !!!
Je ne serais plus jamais enfermé, je pourrais voir le truc blanc là-haut chaque soir, je pourrais voir ce qui se passe le jour, je pourrais sentir le vent me caresser à nouveaux le visage.

Mais qu’est ce qui me prouve qu’elle ne m’enfermera pas à son tour. Comment pourrais-je lui faire confiance. il faut que j’en ai  le cœur net .
_C’est quoi une mère ? demandais-je méfiante, après tout s’était la première fois que je la voyais !
La renarde réfléchit un moment avant de répondre :
_Une mère c’est la personne qui veut ton bonheur, le bonheur anticipât-elle, c’est le sentiment de bien-être que tu as ressentis en sortant de cette case.
S’était donc ça que j’ai ressenti, c’est donc cette sensation agréable que je sentais grandir en moi, c’est ça le bonheur. Si je la suit je pourrais ressentir ça tous les jours, cette femme ma sortie de ma prison et je ne sens aucune méchanceté dans le ton de sa voix, je vais donc lui faire confiance.
Je pris alors l’initiative de courir vers elle et je grimpai sans plus tardé sur son dos et je m’agrippais à sa fourrure dorsale par reflexe quand celle-ci fonça à toutes vitesse dans la forêt.
On ne tarda pas à arriver à la fin de cette dernière, à sa limite se trouvait une surface plane (un plateau) pleine de ses végétaux (herbes) qui entouré ma « prison ». A la vue de cette surface la renarde ralentie et se cacha derrière un arbre, et me demanda de ne pas faire de bruit elle observer par delà l’espace vert, au bout de ce dernier se trouver un vaste étendu d’eau (lac) entourée de grandes masses de pierres dures et escarpées ( rochers) derrière lesquelles ont entendais le fracas de l’eau sur ces parois, sur ces masses de pierres se trouvait des gardes qui faisaient leurs rondes.
La renarde semblée attendre quelque chose, je ne sais pas quoi, mais l’attente commencer à devenir long et le silence pesant , on entendait que le chant des criquets.
Ce silence fut brisé par le grognement de mon estomac car après tout je n’avais pas reçu mon 3éme repas du jour.
La renarde me dévisagea un moment avant de dire :
_Regarde dans la sacoche qui se trouve à côté de ma patte arrière il y’a un paquet emballer avec une feuille prend le il contient de l’aloco.
_De l’aloco ? demandais-je confuse