Chapitre 15

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PDV d'Aki

- Je vais vous racontez, déclarrai-je en m'asseillant au millier des garçons...

DANS LE PASSER! PDV EXTERNE

Une petite fille jouait dans la bibliothèque d'un comisaria. Son père l'avait laissée toute seule pendant qu'il était en réunion avec ces mots:

- Tu reste ici, ne bouge surtout pas! Sois sage d'accord?

Alors la petite fille n'avait pas quitter la bibliothèque. Elle voyait si peu son père que pour elle tout ce qu'il disait était la vérité ou juste. Ce n'était pas grave si il la laissait toute seule, si il ne lui avait pas souhaiter un joyeux aniversaire en retard ou s'il ne lui avait pas carresser les cheveux comme le fesait Fuyu. Quand il verrait qu'elle avait été très sage, il la féliciterai. Elle regardait partout, observant. Au bout d'un moment, elle pris un livre d'image sur les chats et s'état assise dans un coin pour lire. Ses longs cheveux roux formé=ait une barrière entre le livre et le monde exterieur et elle ne releva pas la tête pendant l'heure qui suivit.

 Jusqu'à ce qu'un grand bruit sours ce fasse entendre. Elle releva aussitôt la tête, juste à temps pour voir deux hommes entrer dans la bibliothèque et refermer la porte.

- Hé toi! Dit l'un des hommes en appercevant Aki. T'est qui petite?

Sa voie était douce et prometait qu'il était gentil. 

- Je m'appelle Aki et j'ai 4 ans! Mon papa il est en runion alors moi je l'attend ici et je suis sage. Je dois pas bouger.

- Ton papa il est flic?

- C'est quoi un flic?

- C'est un policier. Il est policier ton papa?

- Oui! Il est policier et même qu'il protège les gens!

- C'est très bien, dit moi il est quel grade ton papa?

- Heu...

- Il est important?

- Très important même! Il y a plein de gens qui lui obéisse.

- Donc s'il devait choisir entre toi et ne pas laisser s'échapper des criminels, qu'est-ce qu'il choisirait?

La petite se concentra bien fort.

- Hmmm, il me choisirait moi!

- Géniale ma puce, et dit moi tu sais où des bombes ferait le plus de domage?

- C'est quoi des bombes?

- C'est une arme qui fait BOUM!

- Vous allez faire BOUM?

- Non, c'est juste une question. Tu sais où on trouve des endroits important qui donne sur dehord?

- Dans le hall, il y a une porte une donne à un bureau avec plein de dossiers et dont il y a un mur si tu le traverse t'est dehord. C'est ça?

- C'est exactement ça. Maintenant tu va nous suivre bien sagement, si tu cris je te bute, ajouta-t-il en braquant un pistolet sur le frond de la petite.

Elle sentie que la voie avait changer. Et ce ne fut que quand elle regarda l'homme droit dans les yeux et vis le froid de ses pupilles qu'elle eu peur. Elle compris imédiatement qu'elle risquait de mourire. Alors elle suivit les hommes, en franchissant la porte, sa seule penssée fut:

Désolé papa, j'ai pas obéit.

Quand ils arrivèrent dans le hall, la receptioniste à l'acceuil les remarqua imediatement et laissa échapper un cris.

- Ecoute moi bien, dit l'un des hommes, tu vas appeler le père de cette petite.

Elle hocha la tête en tremblant. Elle pris son portable et appela:

- Chef? Il faut que vous veniez à l'accueil. Deux...Deux hommes me...menace votre fille. 

Cinq minutes plus tard, le père était à l'accueil.

- Ecoutez moi bien dit l'homme qui avait posé des questions à Aki. Soit vous liberez notre potes maintenant sois je bute votre fille.

- Votre ami est un criminel qui doit partir dans une heure en prison, je ne peux pas le relacher.

- Vous ne tenez donc pas à votre fille?

Le père hésita. Pas longtemps. Mais ça suffit Aki pour comprendre: Son père préfèrait garder son prisonié que la sauvé. 

En la voyant pleurer, le père sembla se rappeler son devoir de père. En vérité il n'aimait pa vraiment l'enfant, mais la voire était la condition pour toucher une pension de l'etat. Alors il s'éfforçait de la voire au moins une fois par mois, avait abandoné avec les autres. Fuyu et Natsu le détestait depuis qu'il avait frappé leur mère, Haru avait déjà tout compris. 

- Je... C'est bon, je le libère.

Le père donna un orde, et on alla en salle de détention. Aussitôt dans le hall, l'homme fut relaché. Celui qui tenait Aki la lacha et elle se dirigea vers son père. A peine trois pas, avant que le souffle d'une explosions ne l'envoie valdingué dans la pièce. Les trois crimines avait lancé la bombe dans la pièce aux dossiers, fermer la porte et s'était enfuis. Trois segondes, ça avait duré trois segonde. Ce fut également le temps de la cute d'Aki qui eu le temps de se dire: Je n'aurais pas du leur dire. Je ne veux plus jammais parler.

Et plus tard, elle eu beau en avoir envit, elle avait peur, elle était térifié dès qu'elle ouvrait la bouche.

Et si je te racontais tout... ChifuyuXReaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant