Dans les plaines
les fleures de joies
sont rasées par le vent des haines :
toutes les fausses reines, les faux rois
qui n'auront jamais les couronnes de pétales ;
tout ces costumiers qui n'ont rien pour le carnaval.
Dans le val, le vent avale
les âmes faible emportée par les lames.
Celles-ci veulent aller au ciel
mais sont capturées dans les nuages cruel...
Celles-ci piégées pleurent :
il pleut.
Celles-ci piégées crient :
il tonne.
Celles-ci piégées maudissent :
il éclate de colère.
Celles-ci piégées meurent :
c'est la fin des éclaires
Et quand je pense aux éclats de joies
qui, elles-mêmes, n'y survivent pas :
mes bras et des larmes m'en tombe,
la moindres brises me brisent
et alors j'explose comme une bombe,
je n'ai plus de prises : c'est la crise.
L'enfant dans mon cœur
malgré la douleur, le labeur,
avance contre le vent du malheur.
Le faux roi que je suis,
sait qu'il n'est pas un géni,
mais s'accroche à la vie
par la nostalgie....
Ou par la magie..?
Nous sommes des enfants
qui faisons tous face au vent.