Nous ne somme jamais prêt
à courire après ce qui est près :
nous ne pensons que disparaissent
les mains de ceux qui nous carressent.
Nous ne voulons être conscient
que nous ne somme que poussière au vent,
et que nous serons aussi souflés
par le temps qui nous a éssoufflés.
Pourquoi faut-il que nos familles,
que nos ami, et que notre esprit
s'envole en une danse si folle
qu'il n'y a, pour la décrire, de paroles...
Allez, allons-nous en aussi maintenant
car j'entends le vent qui m'attends.