Rain is Rain.... And Tears are Tears

Chapitre 15

Il aurait vraiment dû louper se putain train.

Peut après le dîner (ou plutôt le buffet UN PEU trop fournie), deux élèves plus âgés avaient mené Max et les autres premières années à leur dortoir.

Leurs dortoirs situés dans un couloirs sombre au fin fond des cachots.

Les cachots, donnant une vue immerger sur le Lac Noir.

Le Lac Noir qui abrite apparemment un Calamar Géant.

Bah oui sinon c'était pas assez menaçant.

Après avoir découverts la salle commune et sa chambre pour l'année à venir (où il avait eu la magnifique surprise de devoirs partager cet espace avec trois connards pompeux) ; Max s'était retrouvé avec ce qui ressemblait à toute la maison Serpentard dans la salle commune.

Youpi.

Pataugeant loin de ses camarades de chambres peu charmant qui avaient entreprit l'activité passionnante de lui lancer des petits sorts piquants ; Max se retrouva poussé par un élève plus âgé avant de trébucher sur un pied de table pour enfin finir sa course dans un canapé bizarrement vide, affalé de toute sa longueur, toujours humide de sa baignade impromptue, ses cheveux d'un châtain clair bloquant sa vision.

Les rires retentirent derrière la masse d'élèves plus grands, les voix aigües de ses nouveaux intimidateurs sonnant dans ses oreilles et appuyant sa honte.

Pourtant, après les rires, se fut un silence retentissant qui s'abattit sur la pièce.

Le jeune sorcier de 11 ans pouvait sentir tous les regards brûlant sur son dos, le figeant sur place.

Putain qu'est-ce qu'il avait fait encore ?

Se redressant doucement pour finir à quatre pattes sur le canapé et non pas allonger, Max sentit le rouge lui coloré les joues, la honte brûlante surchauffant son épiderme.

Il s'apprêter à s'assoir, espérant dissiper se silence de torture en rendant la situation moins gênante, mais les yeux bleus bébé du garçon se figèrent sur la figure devant lui.

En effet, il y avait un garçon assis au bout du canapé.

Les cheveux mi-long d'un noir corbeau déchaîner et un livre bloquant le visage de l'autre empêchèrent Max d'en savoir plus sur l'identité visuel du Serpentard. Mais celui-ci n'avait pas semblé le remarquer, continuant sa lecture.

D'ailleurs, en regardant de plus près, il pouvait voir le regard des plus grands alterné entre lui et ce mystérieux élève, une prudence et une impatience dans les yeux.

Le silence sembla finalement alerter le plus petit (il était vraiment petit, même pour Max et son mètre quarante), abaissant lentement le livre et montrant au monde un visage confus et les yeux verts les plus foudroyants que le jeune sorcier n'est jamais vu.

La petite bouille curieuse et confuse était complétée par le bâton de sucette coincé entre les lèvres rose du corbeau.

La chose tapis au fond de son esprit couina, avant de ronronner doucement à la vue du garçon.

Attends, pourquoi cette petite chose lui disait quelque chose ?

Avant de pouvoir y réfléchir une baguette fut pointer sur son nez.

Le silence devint tout d'un coup beaucoup plus dangereux.

Le petit Serpentard le fixer, sucette toujours en bouche, ça baguette de bois foncé pointé droit sur Max.