Chapitre 13

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Jack était plongé dans son livre (Magie noir, sacrifice et papillons par Arnold Silverberry) étendu dans une rocking-chair, un plaid sur les genoux et une cigarette à la bouche.

Les étendu d'herbes vertes devant lui été seulement cassé par les quelques arbres, semblables à des épicéa communs, répartis devant, cachant le petit chalet à la vue des autres.

Les grands arbres créent une barrière dense et une forêt intéressante à explorer.

Et un terrain parfait pour poser différent type de pièges- magique ou moldu.

Ce fut...très instructif

Surtout quand des campeurs avaient voulus s'installer dans les allants tours.

Jack souris en se remémorant l'excuse de son père auprès de la police locale, une histoire sur les écureuils et les ratons laveurs qui venait souvent les importunés, l'accueil d'un nouvel enfants fragile de santé qui pourrait surement contracter une maladie en contact de ses animaux, de lui, John, un père célibataire, veuf et paniqué qui ne voulait que le bonheur et le bienêtre de ses enfants.

Son père avait tellement joué le papa inquiet et plein de remord que le flic lui avait donné des conseil pour garder les vermines éloignés.

Jack s'était empressé de faire une mauvaise imitation du jeu d'acteur de son père auprès du Petit, gagnant un rire pétillant en échange que le garçon essaya de garder derrière ses mains.

John l'aurait poursuivi normalement mais il ne fit que lever les yeux au ciel pour ne pas faire peur à Harry qui commencait de plus en plus à s'ouvrir dans un environnement calme et adapté.

...Enfin adapté, si on oublie les tueurs à gages, les couteaux qui traine un peu partout et le foutu Sombral qui vivait au fond du jardin.

Aahh les créature de l'ombre lui avait manqué.

Contrairement à ses craintes, le Petit c'était jeté dans le nouvelle environnement comme un canard dans l'eau, pas effrayer par les couteaux, aillant plutôt peur des poêles à frire et de la gazinière.

Cela avait était légèrement maladroit au début, John s'habituant à la nouvelle présence, Jack essayant d'être moins mère poule sur le gamin et Harry essayant de comprendre pourquoi il ne dormait pas dans la penderie.

Mais ils s'en sortaient, plutôt bien d'ailleurs !

Harry voyait une thérapeute deux fois par semaines, Willow Bernstein, une dame petite au petit yeux et au cheveux blanc comme neige. Ils n'avaient pas encore creusé trop profondément mais Harry s'était ouvert étonnamment facilement à la vielle dame. Enfin d'après ce que Jack avait pus comprendre. Puisqu'il ne pouvait pas être dans la pièce avec eux-

Jack ferma son livre et inspira profondément, retient sa respiration, puis expira.

Il répéta l'action jusqu'à ce que toute surprotection inapproprié (c'est comme ça que Willow l'avait appelé) sorte de son organisme.

L'adolescent n'avait...pas bien réagit lorsqu'après la première séance du Petit, Willow l'avait pris à part pour lui parler de dépendance.

Codépendance.

Elle avait été franche et impitoyable avec son explication, tout le contraire des phrases douces et bien choisi qu'elle avait utilisé avec Harry.

Jack en avait retiré des conseils pour éviter tout comportement dangereux qui mènerais à une relation codépendance, un numéro de téléphone d'un collègue qui pourrait l'aider avec ça et beaucoup de colère.

Rain is Rain.... And Tears are TearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant