- Intissar
"Tu n'es plus là où tu étais, mais tu es partout là où je suis."
- Victor Hugo
1 mois plus tôt
Tout autour de moi été dissiper, le vacarme était assourdissant, des explosions éclataient, soulevant des nuages de sable brûlant, j'essayais de ne pas révéler ma peur car sur le dos de Muezza cela pouvait dégénérer, elle n'était pas susceptible au bruit mais, elle est l'une des seule pouvant ressentir mon stress, j'essayais de me mettre debout sur son dos afin de désarmer un de mes ennemis, mais je n'avais pas eu le temps de m'entrainer à cela, je resta donc assis et leva mes deux mains pris une de mes flèche gravée et la lui lança en vissant son casque, je continua de galoper et entendis le corps de se soldat tomber.
Je me baissa à de nombreuses reprises afin de ne pas recevoir de multiple lance ainsi que des balles, une envie de vomir me prit, l'odeur âcre de la fumée se mêlait à celle du sang, et ma bouche avait un goût de poussière qui ne voulait pas s'en aller.
Chaque inspiration venait me brûler les poumons mais qu'elle fut mon crie de peur lorsque je vit une de mes plus proche amie au sol, du sang sortant de son ventre, sans même réfléchir quelques secondes je stoppa mon cheval, fit demi tour et avança jusqu'à elle, son cheval était parti, il fallait que je le retrouve, Gunes étais l'un des seuls être vivant qui lui restait. Lorsque j'arrive a sa distance tout en zigzagant afin d'éviter les balles et de les faire éviter à Muezza.
- Tien bon, je vais te faire sortir d'ici, ne t'inquiète pas, lui dit je essayant de ne pas la stresser, je te le promets, j'ai toujours tenue mes promesses envers toi.
Son visage se torda de douleur, mais elle essaya tout de même de me faire un sourire, il se voulait lui aussi rassurant, je descendit du dos de Muezza lorsque je vit que les lances ne se faisait plus aussi forte que de coutume, je força sur mes pieds pour ne pas tomber et la pris par les aisselles essayant de la mettre sur le dos de Muezza, lorsqu'elle se trouvait sur celui si, je lui dit;
« Attends moi ici, juste deux secondes, je vais retrouver Gunes », je lui avait de nouveau fait une promesse et j'allai la tenir In Shaa Allah (si Dieu le veut), je courra le plus rapidement possible en évitant les diverses cadavres, blessés et lances qui se dressaient devant moi.
Mon arc était avec moi, et j'avais bien fait de la garder, je vis des hommes de l'empire de l'Est essayant de piqué Gunes qui se débattait du mieux qu'elle pouvait, je courra vers elle et lança une flèche qui atterrit dans le milieu de la main droite d'un homme, lorsque je m'apprêtais à lancer ma seconde, flèche un bras vint emprisonné mon cou, je ne réfléchit pas une seconde et planta la flèche qui étais dans ma main droite dans l'abdomen de mon assaillant, il lâcha mon cou afin de tenir son ventre et tomba à terre, je repris la flèche que j'avais enfoncé dans son abdomen et la lança sur la deuxième personnes qui tenait Gunes, lorsqu'ils fûmes tous à terre je courra jusqu'à Gunes et monta sur son dos, nous galopâmes jusqu'à arriver à Muezza qu'elle fut mon soulagement lorsque je vis qu'ils étaient encore là et vivant. Je me mis sur le dos de Muezza et attrapa le licol de Gunes, et nous galopâmes jusqu'à l'endroit où se trouvaient les blessés. Plusieurs guerrières à moi qui été elles aussi blessée se trouvaient là, il y'en avait beaucoup trop et si nous perdions notre bataille, cette pensée vint perturber mon cerveau qui essayait de rester optimiste.
- Les filles, je vous promets que nous allons remporter cette bataille, ne perdez pas espoir, je vous sortirai d'ici vivante, leurs lançai-je pour qu'elles ne perdent pas espoirs comme j'étais entrain de le faire.
Je remonta sur mon cheval qui était tâchée du sang de Meryem, et avança le plus vite possible vers nos ennemis, il fallait que je trouve leur commandant, il fallait que je le tue.
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DYNASTIE ( en réécriture )
RomansaVengeance et secret ne s'appareillent pas, alors qu'en est-il de l'amour ? Dans une contrée fort lointaine d'Asie se cache une femme, surnommé Al-Sirriya, dans les méandres de la nuit elle devient, la plus grande mercenaire que la péninsule arabiqu...