(Ps: dans le multimedia c'est la chambre de Merla )
Pvd Merla
Ce matin je me reveille avec une migraine atroce je ne peux parler de gueule de bois puisque je ne sais pas boire. En fait maman ne me l'aurais jamais permis.
Lorsque j'ouvre finalement les yeux et que je regarde le decor,je réalise que je n'avais pas rêvé et oui tout les événements de la veille n'etaient pas du tout un rêve. Dommage... Je les aurais bien effacés s'il le fallait.
Putain kisak te pasem mal reponn telefonn sa...
Moi qui croyait que les amis de Bianca auraient pu être moins snob,mais non. Elle non plus ne m'avait pas defendu. Je me rappelle bien de son regard ignoble sur moi,pourquoi je me suis laissé emporter par le moment. Je n'aurais jamais du pleurer,et j'ai frappé ce beau jeune homme au passage. Il avait l'air confus quand il me regardait lorsque je parlais à ma mère au téléphone. Son regard persistait comme s'il s'inquiétait. Il était plutôt beau et même beau tout court, peut-être que je me trompe car mes yeux étaient embués de larmes tandis que je cachais cette histoire à ma mère.
Il portait juste un jogger noir avec des toms puis un tshirt avec minions dessus,mon caractère favoris,il était d'une simplicité mais à la fois élégant et faisait jeunot avec le jogger.
De haute taille il faisait sacrément beach boy, son teint café au lait s'harmonisait parfaitement avec ses cheveux noir huileux ondulés,sa bouche bien dessiné était surmonte d'un nez assez droit. Son regard me semblait profond mais je ne pouvais distingué la couleur de ses yeux qui me fixait parce que j'étais trop loin et il faisait noir.
Ouf... Je sens une bouffé de chaleur me monter pendant cette description de lui. Ben... C'est absurde je ne l'ai vu qu'une fois et surement je ne le reverrai plus... En plus il avait assisté a cette stupide scène il doit vraiment me plaindre là....
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Girl's power
Dla nastolatkówDe retour, ca fais quand même longtemps, mais je ne vous avait pas oublié. L'histoire continue et j'espère n'avoir pas petdu la plume mais cette histoire est tellement ancrée en moi que je n'en publirai jamais même une toute petite parcelle. Bonne l...