Noods or no ?

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Je regarda par la fenêtre plusieurs fois pendant la nuit, et à chaque fois il était là. Je ne savais pas quoi faire. Alors j'appela la police.

-Bonjour centre de police que puis-je faire pour vous ?

-Il y a un homme devant chez moi et il ne veut pas partir.

-D'accord et que voulez vous qu'on fasse ?

-Venir le chercher !

-Madame vous savez que il y a des situations plus grave que cela !!! Nous n'avons pas le temps pour ça au revoir.

Le bip du raccrochement m'arracha une larme. J'avais peur, très peur. Et je ne voulais surtout pas rester avec lui. Alors je ferma mes rideaux et parti me coucher.
                                     ***
Le lendemain, il n'était plus là. Un grand vide sonnait dans la forêt, ce vide m'effrayait plus que tout.

Je pris mon petit déjeuner, et parti me préparer. Aujourd'hui c'est mon premier jour de travail. Comme dress code on peut porter ce qu'on veut, il faut juste mettre un tablier, des gants et une charlotte. Ça change de Los Angeles.

Je l'habilla avec un tee-shirt manche longue noir ,et un cargo gris foncé. Tous ça suivi de quelques bijoux.

Je parti de la maison, fit bien attention à la fermer à clé

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Je parti de la maison, fit bien attention à la fermer à clé. Et monta dans ma voiture, prête à entamer une nouvelle journée de travail.

Le trajet ne dura pas longtemps, j'avais croisé Jean qui partait faire je ne sais quoi.

Je me leva de ma voiture et me dirigea vers mon lieu de travail.

J'ouvris la porte et salua la gérante.

-Bonjour madame, vous allez bien ?

-Oui très bien Layla je vais te montrer comment on fonctionne ici.

Je suivi ma patronne qui m'emmenait dans une toute petite pièce avec 5 casier, elle me montra lequel allait être le mien et me donna des vêtements.

-Bon alors tient un tablier, une charlotte et d'ailleurs fait bien attention à mettre tous tes cheveux dans la charlotte. Et voilà des gants, pareil met les bien sinon ce n'est pas hygiénique.

Je répondit oui de la tête et parti enfiler mon « uniforme ».

Quand je revins elle me montra la cuisine avec les employés et comment j'allais faire à la caisse.

-Donc quand un client arrive tu prend sa commande et tu lui emmène, ensuite il te donne les sous mais fait bien attention à ce que tu prends et ce que tu rends. Sinon il n'y a rien de spécial à savoir, soit juste polie et souriante.

-D'accord entendu.

La gérante me laissa ,pour commencer avec le premier client. C'était une dame âgée qui venait acheter son pain et des gâteaux pour ses petits enfants. Elle répartit toute souriante de ses achats.
***
La journée passa très vite, et aucun client n'avait été malpoli avec moi. Je rentra donc contente de ma première journée de travail.

Mais en arrivant vers ma voiture je vis un homme accoudé dessus, qui semblait me fixer. Je m'approcha de lui, prêté à l'insulter mais en arrivant il sorti un pistolet et me le pointa sur le ventre très discrètement de façon à ce que personne ne le voit.

-Re bonjour princesse, j'espère que tu es terrifiée parce que toi et moi on va discuter.

Aucun mots ne sorti de ma bouche. Juste un souffle. Il me dirigea vers ma voiture et me fit conduire jusqu'à chez moi. Je passa le trajet le plus désagréable de toute ma vie.

Arrivée devant chez moi, il me fit sortir et me força à ouvrir la porte. Puis il entra avec moi.

-D'accord princesse maintenant tu vas aller t'asseoir sur ce fauteuil nous allons discuter toi et moi.

Puis un élan de colère monta jusqu'à la bouche pour sortir en forme d'insultes.

-Espèce de sale fils de put€ tu te prend pour qui a m'appeler princesse. Tu sais ce qu'elle te dit la princesse? Tient !

Un joli doigt d'honneur se déposa devant son visage. Son visage qui ne débordait d'aucune émotions. Il me prit le poignet et m'avertit.

-Je vais te donner un conseil, je suis quelqu'un de pas très patient alors si tu ne veux pas que je te bais€ sur ce fauteuil tu devrais fermer ta jolie petite bouche avant que je le fasse moi même. Compris, princesse ?

Je ne répondit pas a sa question et alla m'assoir dans le fauteuil. Il  s'assit juste devant moi. Sur une chaise.

-Je sais que ma présence te dérange . Mais je te propose un marché.

Je le regarda, intriguée par sa prochaine phrase.

-Le marché est que tous les jours tu m'envoie une photo de toi dénudée, et en échange je ne traînerais plus devant chez toi, mais si tu oublies ne serais ce qu'un jour, je viens chez toi et je te bais€ avec la première chose que je vois. Alors marche conclu ?

Était-il fou de me proposer cela ? Personnellement je pense que oui. Mais en y réfléchissant il me laisserait tranquille.

-Mais j'ai une question ?lui demandais je.Est ce que tu vas me faire du mal si tu reste devant chez moi ?

Il me regarda de haut en bas et me dis.

-Je vais tellement te faire souffrir que même respirer te fera du mal. Et alors tu ne pourras respirer que par moi princesse.

Prise de panique j'accepte son marché.

-D'accord, marché conclu.

-Très bien, ça commence maintenant.

Il sortit me laissant seule, avec une nud€ a faire en urgence.

Je me précipita en urgence devant mon miroir et pris une photo. Puis je cliqua sur envoyer.

J'ai intérêt à y penser tous les jours sinon je suis bais€e (a tous les sens du terme)

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J'ai intérêt à y penser tous les jours sinon je suis bais€e (a tous les sens du terme).

Love or Revenge ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant