𝑐ℎ𝑎𝑝𝑖𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥

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En sortant de l'université je ne peux pas m'empêcher de penser à cette longue journée que j'ai eu endurer. Et bien sûr à ses deux heures de maths que j'ai eu à la toute fin de journée, ce qui m'avais permis de dormir pendant une bonne heure mais maintenant j'avais plus l'air d'être un cadavre complet plutôt que d'un étudiant finissant sa journée à l'université.

Puis avec la réunion à la bibliothèque dont j'avais été obliger d'assister d'après Matthis s'était encore plus long qu'une simple journée de cours normal. Surtout en sachant que cette réunion n'avais pas servis à grand chose.

Oubliant ce petit détail j'avais déjà commencer à faire mon petit trajet habituel jusqu'à mon arrêt de bus, qui heureusement n'était pas aussi loin. Et mon regard ne pouvait s'empêcher de se poser sur chacune des voitures qui passaient dans la rue. Il était passé dix-huit heures alors ce n'était pas très étonnant de remarquer un nombre incalculable de voiture passer par ici.

Étant presque perdu dans mes pensées durant une fraction de secondes c'est la sonnerie de mon téléphone qui me ramena au monde réel et je fut forcé de répondre directement sans même savoir qui avait pu m'appeler.

— Mec on est dans la merde.. m'avait informé Gabriel alors que j'avais à peine répondu

— Il se passe quoi encore ? Me dit pas que t'as passé l'aspirateur dans l'appart et que t'as aspirer l'une des boucles d'oreilles de Manon.. si c'est le cas t'es dans la merde tout seul tu te demerde.

— Nan c'est pas ça c'est encore pire que l'histoire de l'aspi..

— Manon a foutu le feu à la cuisine en voulant cuisiner le repas de ce soir ?

— Putain mais qu'est-ce que tu me racontes la ? Mec je te parle d'un truc grave..

— foutre le feu à la cuisine c'est classer ou chez toi pour pas être considéré comme grave sérieux ?

Des fois, j'avais beau vivre en compagnie de Gabriel depuis bien trop longtemps, j'avais toujours du mal à le comprendre. Surtout lorsqu'il parlait d'urgence puisque ça pouvait être un début de feu à l'appart, comme le fait qu'il manque des cigarettes, des bières ou de l'alcool à la maison.

— Alors non mais pour La défense de Manon c'est arrivé qu'une seule fois, s'était-il permis de dire, puis c'est encore plus grave que Manon qui fou le feu à l'appart.

— Bon dit moi parce que la je vois vraiment pas ce qu'il peux y avoir de grave si c'est autre que pour cette raison la.

— Il y a plus de bières à l'appart, le frigo est complètement vide c'est la fin des soirées avec les collègues le vendredi soir et c'est la fin des soirées entre nous trois.. tu t'en rends compte de ça lucas ?

— Tu sais que tu travailles dans un bar Gabriel ? Et que dans ce bar tu peux y aller même lorsque tu travailles pas, donc plus de bière à l'appart mais pleins de bières au bar au coin de la rue..

Suite à quoi j'avais simplement raccroché. Comme quoi, avec Gabriel les situation graves n'avait par moment absolument rien de grave et c'était simplement lui qui sur réagissait par rapport à ça.

Ne prenant même pas la peine de regarder mon téléphone une seconde fois puisque je savais pertinemment qu'il risquerait de me rappeler pour rejouer son rôle de Gabriel en détresse, j'avais laisser mon téléphone glisser dans ma poche. Et heureusement pour moi j'étais enfin arrivé à l'arrêt de bus.

J'avais voulu m'assoir à l'arrêt de bus mais mon regard fut attiré par de la fumée de cigarettes et en suivant d'où provenait cette fumée mon regard se posa sur le nouveau que j'avais vu à la bibliothèque lorsque Matthis nous avait forcé à nous y rendre après les cours.

𝒂 𝒕𝒓𝒂𝒗𝒆𝒓𝒔 𝒏𝒐𝒔 𝒓𝒆𝒈𝒂𝒓𝒅𝒔Où les histoires vivent. Découvrez maintenant