Je m'appelle Émilie et j'ai 19 ans. Je suis blonde et fine. Avec des petits seins et une taille fine. Mes fesses sont bien rebondis et rondes grâce au sport, même si elles ne sont pas énormes. J'ai les yeux verts et beaucoup de tâches de rousseur. J'ai un visage angélique qui me donne l'air bien plus jeune que je ne le suis. On me le dit tout le temps. Et je ne peux pas l'oublier vu le nombre de fois où l'on me confond avec une collégienne. Pourtant je suis bien une femme ! Avec des idées, des projets, et je sais ce que je veux.
Malheureusement, les gens ont du mal à passer au dessus de mon physique. On a beau me dire que je suis belle, jamais personne n'a essayé quoi que se soit envers moi. Sexuellement, je parle. Je suis toujours la copine mignonne que l'on traite comme une poupée et devant laquelle on n'ose à peine employer le mot " cul ". J'en ai vraiment marre de ce rôle. Parce que malgré mon tempérament calme et réservé, je sais très bien m'affirmer. Et là, je veux vraiment baiser. Je suis encore vierge malgré mon âge. Certes je ne suis pas vielle. Mais ma chatte réclame !
En cette belle matinée d'août, il faisait déjà presque vingt-cinq degrés dans la maison de vacance de ma famille. Ils étaient tous allés se balader et m'avaient laissé seule avec la grande piscine, et les innombrables pièces de la maison. La villa aux tuiles rouges était située dans une petite ville du sud peu habitée. Je ne connaissais donc personne là bas que j'aurais pu inviter. De toute façon, j'aimais être seule.
Vers 11h00, quand la température ne cessait d'augmenter et que j'avais fini mon livre en me balançant dans mon hamac, je décidai d'aller faire un plongeons dans l'eau pour me rafraîchir. Ma peau était devenu si matte grâce au soleil. Les traces de maillot sur mon corps témoignaient des longues heures que j'avais passé au soleil. Une idée me vint alors à l'esprit :
Et si je me baignais nue ?
Il n'y avait personne pour me voir de toute façon. J'avais la maison pour moi toute la journée. Et puis, mon bronzage serait encore plus joli comme ça.
Au bord de la piscine, je laissai tomber ma robe légère et défit lentement les nœuds de mon haut de maillot avant de faire glisser ma culotte sur mes jambes. Je me sentais toute excitée à l'idée de me baigner nue. Cette activité me paraissait si interdite et si coquine. Je pensais à l'éventualité que quelqu'un me remarque, et me regarde caché derrière un muret ou un buisson.
Je plongeai dans l'eau.
Mes tétons étaient tout durs. Était-ce à cause de la température de l'eau ou à cause de l'excitation que me procurait la situation ?
Je me mis à nager lentement dans le long bassin. L'eau glissait sur ma peau. Sur toute ma peau. Même sur mes parties les plus intimes. La sensation était divine. Si agréable. Je me sentais tellement détendue. Après quelques minutes, je me mis sur le dos et me laissai flotter, en planches. Les oiseaux et les insectes chantaient. Je m'endormais presque, le bout des seins pointés vers le ciel.
Alors que j'étais presque inconsciente, des voix attirèrent mon attention. Je m'empressai de me diriger vers les rebord de la piscine. Ma maison était postée sur un chemin en hauteur adossée à une espèce de colline. La piscine surplombait un petit chemin sinueux que quasiment personne n'empruntait. Cependant, comme par hasard, ce jour là, un groupe de jeunes garçons y passait en vélos. Ils étaient en short, torse nu. Certains d'eux portaient des sacs à dos. Ils criaient et se chamaillaient tout en riant. Ils étaient un peu plus jeunes que moi. Sans doute encore au Lycée. Ils descendirent de leurs vélos et se partagèrent une bouteille d'eau.
M'avaient-ils vu faire la planche ? Étaient ils montés plus haut avec leurs vélos ? Ils étaient plutôt mignons. Surtout un. Un brun avec les cheveux très très courts et le teint foncé. Juste à ce moment, ce dernier leva la tête. Je me demandai si il me voyait. On n'apercevait pas grand chose d'en bas, mais étant donné que j'étais au bords de la piscine, il pouvait sans doute voir mon buste dépasser de l'eau. Il leva la main avec un regard malin et me fit un coucou. Je lui répondis en souriant. Puis il se retourna, et ils finirent par s'en aller.