Je m'appelle Tressy Minielle, je suis une jeune secrétaire de 22 ans dans une boîte de publicitaire.
Passons.
L'important dans cette histoire c'est ce que je fais au bureau. Mon petit passe temps secret. La vérité, c'est que je suis une vraie coquine. Je suis assoiffée de sexe, et attendre toute la journée au bureau sans me toucher est impossible pour moi. Depuis un certain temps, j'ai un grand bureau pour moi toute seule car la collègue qui travaillait avec moi est en congés maternité. Cela signifie que je n'ai même plus besoin de m'éclipser aux toilettes pour laisser libre court à mes petits désirs. Car oui je me touche au bureau.
Ce jour là, il était 13h45 et comme souvent c'était le moment de la journée où la charge de travail était moindre. Effectivement ma patronne était une personne du genre à vouloir s'activer le matin pour pouvoir commencer son après-midi calmement. C'est pourquoi elle avait rarement besoin de mon aide dans ces horaires là. Mon esprit commençait alors à divaguer vers mon entrejambe.
Comme souvent au travail je portais une jupe stricte sous laquelle se cachait un collant coquin, découvert au niveau de ma chatte, à fin d'avoir accès facilement au fruit de mes envies et en réduisant les risques de me faire surprendre. ça y est. J'avais envie de me toucher.
Je sortis alors mon téléphone sur lequel se trouvait mes histoires érotiques favorites et commençait à les lire. Comme prévu l'effet de ces dernières était immédiat. Ma chatte s'humidifia très rapidement et tout mon corps devint brûlant. Je commençai alors à soulever ma jupe pour découvrir mes longues jambes quand la porte de mon bureau s'ouvrit. Je me redressai alors subitement et tomba nez à nez avec le visage aimable de la dame de ménage.
« - Bonjour ! Excusez moi mais je dois passer maintenant car personne ne peut venir demain matin. Je ne veux pas vous déranger.
Je soupirai intérieurement. J'avais tellement envie de me toucher après ma petite lecture. Je ne pouvais pas m'arrêter là. J'allais devoir retourner à mes vielles habitudes et aller m'enfermer aux toilette. A vrai dire, cela ne me gênait pas trop. L'idée de pouvoir être entendue ou même attrapée rendait le jeu encore plus excitant.
Je pris mon sac et me rendit alors dans les toilettes pour femme à l'autre bout du couloir. Je marchais d'un pas pressé, les gens pouvaient-t'ils remarquer mon excitation dans mon langage corporel ? heureusement, les couloirs étaient à moitié vides.
J'arrivai aux toilettes, pressée d'assouvir mes envies. Je vérifiai rapidement si ces dernières étaient vides et m'installai dans une cabine. Même si les toilettes du bureau étaient très propres, car lavées minutieusement très régulièrement, par soucis d'hygiène, j'avais sur moi un petit flacon de désinfectant à fin de nettoyer avant moi, et une petite serviette fine que je posais sur la cuvette baissée des toilettes. Après avoir tout mis en place pour mon confort, je m'installai sans plus attendre et ouvris les jambes en grand, pour découvrir ma chatte nue et humide sous ma jupe. L'air frais que je sentis passer sur mon sexe renforça mon excitation. Quelle salope je faisais. Je repris mon téléphone et retournai lire mon histoire coquine là où je l'avais laissée. Sans attendre, je passais ma main sur ma chatte de haut en bas, afin de la préparer doucement à ce que j'allais lui infliger. Elle était déjà si trempée. Ces histoires ne manquaient jamais de me rendre folle d'excitation.
Je caressais mon sexe langoureusement sans quitter des yeux mon téléphone, c'était une histoire dans laquelle un employé de bureau léchait avidement la chatte de sa patronne. Je m'imaginais en tant que patronne avec mon assistant qui me léchait le clitoris sous mon bureau. Je passais mes doigts sur mon bouton hypersensible de manière circulaire. Ça me rendait folle. Je commençais déjà à trembler. J'avais envie de plus. J'avais envie de sentir ma chatte remplie. J'insérai alors un doigt lentement en moi. Du moins je titillais mon entrée pour me donner encore plus envie, et me pousser à la frustration et l'excitation maximum. Quand je n'en pu plus, j'enfonçais enfin mon doigt en moi. Un gémissement de soulagement m'échappa. Je m'arrêtais prudemment pour être sure que personne ne m'avait entendu. Il n'y avait personne dans les toilettes. Je commençai alors sans attendre à doigter ma petite chatte affamée. Je me masturbais avidement. Je ne tardai pas à rajouter un deuxième doigt en moi pour m'ouvrir la chatte encore plus. Je touchai mon point sensible encore et encore. Ma chatte commençait à sérieusement couler, mais cela m'excitait encore plus.