Chronique de Yasmine : Tombée love de son agresseur, elle ne le méritait pas.

🥂CHAPITRE XLVII🥂

À ce moment là je m'inquiétais vraiment, est ce que j'allais perdre mon travail? Et comment un feu peut-il se rendre jusqu'ici ? Je me posais plein de questions sans réponses, où était Marwan à ce moment là ... ?

Dans la peau de Moha

Quelques heures plus tôt

Aujourd'hui c'était le jour tant attendu. On allait braquer l'entreprise ou Yasmine elle travaille pour prendre toute l'oseille qui se cache dans le coffre fort. Vous allez me demander si j'me sens mal, pas du tout. J'men contre fiche d'elle et de tout ce qu'il y a autour depuis que j'ai ma part. Après notre dernière conversation on se s'est plus revu ou reparler et tant mieux, toute façon elle fait vraiment trop la princesse.

On avait une dernière réunion de groupe pour se départager les tâches finales. Moi j'étais trop chaud, j'allais enfin goûter au succès. Ah et mon travail au garage j'ai quitté, j'me fais beaucoup plus de liasses ici. Du coup je me ramène au Q.G et je vois que tout le monde est déjà là, sauf un. Il manquait Omar, d'ailleurs c'est un des plus importants dans l'équipe. On l'avait averti que s'il ne se pointait pas, il allait prendre cher. Même si c'est le taff de sa reus on s'en bat les reins, dans la vie c'est soit tu manges ou soit tu te fais mangé.

Le chef : Merci à tous d'être là. Comme vous le savez aujourd'hui c'est le grand coup, il ne faut pas se louper. Vous aurez tout ce qu'il vous faut et ne vous faites pas chopper, soyez discret. Si j'entends un homme crier comme Amjad l'avait fait j'vous tire une balle entre les yeux c'est bon?

Ouaah il rigole vraiment pas lui. Il part dans une autre salle et on se regardait tous en mode on dirait vraiment une mission d'un film d'action. Il revient avec un gros sac qu'il met sur une table devant nous.

Le chef : Avec ça vous serez sains et saufs.

Il ouvre le sac et là wow, j'étais abasourdi. Y avait que des armes à feu, des gilets par balle, des grenades, des cagoules, du piment en spray... Mais le plus choquant c'était les armes ! Y avait des petits pistolets, des gun, même des sniper, carabines...
On prend tous une à deux armes qu'on planque dans notre pantalon, on enfile notre cagoule et notre gilet par balles. J'me croyais dans une team de mafia, j'étais trop chauuud !

Un gars : Eh mais il manque pas Omar là ?

Le chef : Mdrr, il a voulu faire le malin encore une fois, il va payer très cher.

Hichem : Mais faut le comprendre il va pas détruire la vie de sa sœur wsh.

On l'a tous fusillé du regard, mdr j'crois que lui il a oublié qu'il m'a forcé à rentrer ici pour remplacer Ismael qui est mon cousin donc d'où il se permet de faire le fragile?

Le chef : Hichem si t'essayes de le défendre la grenade juste la j'te la met dans ta gueule donc si tu veux rester sage, boucle-là.

Mdrr, la violence ici c'est hard. Bref on se re désigne nos tâches histoire de pas faire n'importe quoi, donc moi j'allais m'occuper de trafiquer le système de caméras et les autres devaient évacuer les employés bref y avait plein de trucs à faire. Après la réunion on se dirige dans des grosses voitures et en route vers l'entreprise prête à se faire niquer.

Le chef il s'était déjà renseigné comme quoi en après midi ça allait être le meilleur moment car les boss ils partent. Y avait que les employés, dont Yasmine, mdrrr elle va comprendre à sa vie. Bref on arrive, y a un gars qui entre par une porte en arrière tout doucement et qui sonne l'alarme de feu. Quand on l'a entendu, on s'est garé un peu plus loin en attendant que tout le monde sorte. Y avait vla du monde qui paniquait, moi j'me régalais. Ensuite pour ne pas que les pompiers viennent, on les a appelé (un gars s'est fait passé pour un directeur à l'aide de fausses cartes d'identité) pour leur dire que c'était qu'un test d'alarme. Les pauvres cons ils nous ont cru. Lorsque tout le monde s'est enfui dehors, la voie était libre. Ont est descendu de la voiture chacun notre tour et on est rentrés par une porte de sortie d'urgence. On la à peine ouverte que y avait encore du monde qui descendait les escaliers, du coup ils nous ont vu. Ont avait donc pas le choix de leur mettre un coup de pression.