Je vous jure dans ma tête c'était le bazar !
Donc moi je suis que sa pote ?Sur ma vie ça va pas se passer comme ça.
Elle me racontait son histoire, un moment elle sort un truc de sa poche. C'était une chaîne en or.
Elle : C'est lui qui me l'a offert le jour de mes 20 ans ...
Moi : Wouaaaah, c'est vraiment beau.
Elle : Il ne t'a jamais offert de cadeaux ?
Moi : Nan puis ça fait que quelques mois hein ..
Elle : Mmh, peut-être qu'au fond t'es pas la bonne, la vraie c'est moi.
Je savais même pas si je devais la croire, d'un côté avec son air hautain je me dis que c'est faux, mais de l'autre avec toutes les preuves, il y a une possibilité.
On a parler une bonne heure, plus elle parlait plus j'avais envie d'écraser leurs visages au sol. Mon téléphone se met à sonner, c'est lui qui m'appelle.
Elle : Met Haut-Parleur.
J'exécute, je sais même pas pourquoi je l'écoutais.
Moi : Allô ?
Lui : Ouais , j'ai finis plus tôt t'es où ?
Moi : Au Starbucks à côté.
Lui : Azi j'arrive.
L'autre que elle souriait.
J'attends cinq, dix minutes. Il se pointe enfin. Dans quelques secondes, il allait être aux enfers des mensonges. Et moi, au paradis des vérités. Je me prépare déjà à sa réaction.
Il entre. J'analyse chacun de ses gestes.
Il me voit, son expression change aussitôt lorsqu'il remarque que je ne suis pas seule.
Il se dirige à notre table.
Lui : Kamilah ? Mais qu'est ce que ...
Mdr, pourquoi il bégaye même?
Lui : Qu'est ce que vous foutez ensemble ?!
Elle : *Elle se lève* Bébé ! Ça fait longtemps ...
Il l'a regarde, me regarde, l'a regarde, puis me regarde.
Lui : Vous .. Vous connaissez ?
Moi : Apparemment, oui.
Lui : Comment ?!
Moi : Comment ? Déjà c'est moi qui devrais te poser des questions !
Lui : Mais Kamilah tu fous quoi ici ?
Elle : Je lui parlais de nous.
Lui : Starf'Allah.
Moi : Assis-toi.
Lui : Quoi ?
VOUS LISEZ
Chronique de Yasmine : Tombée love de son agresseur, elle ne le méritait pas.
Novela JuvenilJe la regardais, sensible à son charme, mais impuissant. Je ressentais ce que tout homme cache, mais je n'avais plus rien à camoufler puisqu'elle m'avait complètement cerné. Elle me connaissait comme le fond de sa poche, ce qui m'affaiblit petit à p...