Pauvre merde !

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Les tremblements de Lucas, reprirent légèrement, le regard vers le bas, il avait l'aire de chercher ses mots, encore assez perturbés

Lucas- j ...je.. I. l .. i .. Il

Essaya t'il de s'exprimer sans succès, serrant un peu son emprise sur moi, il a l'aire terrifié. Je me penche à son oreille le voyant encore assez agiter

Batiste- tout va bien Lucas, je suis là, je te protège, calme toi, respire doucement d'accord ?

Lui dis je doucement à l'oreille, il hocha doucement la tête, avant de reprendre sa respiration qui était saccadée, il trembla moins, et desserra son emprise de ma chemise blanche, enfin blanche et rouge désormais.

Lucas- il... il ..a es...es..essayé d..de m.. m.. me vi.. vio.. violé

Réussi t'il, à articuler encore sous le choque, reprenant son emprise sur ma chemise, se cachant le visage sur mon torse. Pardon ?... Je vais tuer ce putain de BATARD !  Je regarda ma soeur avec une grande fureur dans les yeux, alors que de la déception ce lisait dans le sien. Je me tourna vers ma tante et mon père, celui ci serrée les poings en regardant Nicola, alors que ma tante avait les larmes au yeux

Cerise- je suis désolé ! Tout est de ma faute... Nicola avait fait des remarques déplacées pendant le dîner et je n'ai rien dit. Je ne pensais pas qu'il allait vraiment le faire, je pensais que c'était les paroles en l'aire d'un homme ivre... je vous dois mille excuse Lucas ...

S'excusa ma tante, au yeux remplie de culpabilité, mon père regarda sa soeur avec empathie, avant d'aller appeler un garde. Pendant ce temps, je me relevais en tenant toujours Lucas dans les bras, je le senti encore assez faible, ses jambes tremblant encore un peut . Je compte pas le lâcher de si tôt. Ma soeur me suivi et se leva aussi, un regard méprisant envers Nicola qui reprenait un peut ses esprits.

Jean Michael- J'ai toujours su que tu n'étais qu'une pauvre merde !

S'exclama mon père, en voyant Nicola totalement réveillé, l'homme se reprit alors une baigne bien placée. Puis mes hommes arrivèrent enfin, je les regarda les dents serrées leurs faisant comprendre que c'était une histoire plutôt sérieuse. J'aurais aimer tabasser Nicola a mort, mais il y a encore Lucas, je ne veux pas le perturber plus que ça et ne pas montrer quelque chose d'aussi violent à mon mari.

Batiste- enfermé moi ce porc dans le plus miteux des cachots. Compris ?

Ordonne je, froidement au homme qui s'exécutèrent sans attendre. Nicola parti, le reste de ma famille reparti à leur cartier, n'ayant plus rien à dire sur l'incident. Je resta Lucas dans mes bras, encore légèrement tremblant

Lucas- je suis désolé Batiste ...

S'excusa soudain l'homme, encore apeuré dans mes bras. Pourquoi s'excuse t'il ? Il n'a rien fait de mal ..

Batiste- pourquoi t'excuses tu ?

Demande je doucement, pour garder une atmosphère réconfortante pour l'homme encore apeuré

Lucas- J'ai dû gâcher ta journée avec ça, tout est de ma faute, si j'avais été plus fort j'aurais put le repousser et ça s'aurait arrêter là ! J'ai gâcher tes retrouvailles en famille... tu as même passer à tabac ton oncle à cause de moi !

Me répondu mon époux, essayant d'arrêter de pleurer en retenant ses larmes, ses yeux envahi par l'humidité, me brisant légèrement le cœur. Cette homme s'en veux d'avoir été agresser, parce que cela a atteint mon humeur ? ... ça reste une agréable retrouvaille familiale grâce à lui, et c'est même pas lui qui a gâcher tout ça, c'est ce batard de Nicola, de toute façon je l'ai jamais vraiment apprécié ce porc. Lucas est tellement attachant et soucieux, il veut simplement faire les choses bien, et il a réussi. Je saisi doucement son menton, pour être sûr qu'il me regarde dans les yeux. Son petit visage ravager par la culpabilité et les larmes, ses joues avait rougis, et ses yeux étaient brillant des larmes qui couler encore sur ses petits joues, même ainsi il est mignon

Tu m'aimes ... moi ?!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant