Le réveil est doux ce matin...
Les mains de mon Maître passent délicieusement sur mon corps endormi. Il sait que je suis très sensible et ça lui fait plaisir de me torturer à ce moment-là !
C'est un ordre de sa part, je dors totalement nue, pas que cela me dérange, c'est mon habit de nuit habituel et la présence de celui qui me possède à mes côtés à le don de rendre mon corps brûlant en toute occasion. J'ai de la chance, Maître aime dormir avec moi, il peut me posséder quand il le désire comme cela... En pleine nuit, si l'envie l'en prend et encore endormie si c'est son envie.
J'ai encore de multiples traces sur le corps de notre rude séance de la veille. Ses mains passent sur chacune d'entre elles laissées par un des jouets de flagellation, ses dents ou encore ses mains. J'aime cette sensation. Je comprends vite que cela ne va pas en rester là !
Maître se colle à mon dos, son torse le réchauffe alors que je suis déjà brûlante, son bras passe sous ma tête pour que sa main puisse avoir accès à mon cou qu'il saisit. Sa queue, déjà gonflée de plaisir, est placée entre mes jambes, pas de pénétration juste cette érection entre mes jambes. Cela a le don de me faire mouiller comme une dingue, de désirer qu'il me prenne... Sa queue fait de légers allers-retours et est vite recouverte de cyprine. Une de ses mains s'évertue à torturer ma poitrine et l'autre à enserrer mon cou. Cette légère emprise à raison de moi, j'en veux plus bien plus ...
« S'il vous plaît Maître baiser moi, j'ai envie de sentir votre queue défoncer ma chatte ... »
« Tu utilises des mots bien crus dès le matin, c'est une bonne salope ça ! »
Je remue mes hanches et mes fesses essayent de faire glisser la queue de Maître dans mon intimité.
« Arrête ça tout de suite... Si j'ai envie de te prendre, tu sentiras ma queue au fond de toi quand je le déciderais ... »
Je stop immédiatement mes mouvements, je ne veux absolument pas me priver de ce plaisir.
« Je suis désolée Maître, je ne recommencerais plus, mais je vous désire tellement, je ne pense qu'à vous et mon corps ne désire qu'une chose ... Que vous le preniez. », dis-je à moitié gémissante et étranglée par cette main qui enserre de plus en plus mon cou. Maître lâche mon corps, je gémis de mécontentement, sa présence me manque déjà.
« A ta place, à genoux ... »
Je me lève et vais mettre à genoux devant le lit, les mains sur mes cuisses paumes vers le ciel, les yeux sagement baissés. J'entends des bruits et des tintements autour de moi, certains reconnaissables d'autres plus incertains. Je frémis d'avance aux douces mélodies que j'entends.
« Relève-toi. »
Je me redresse, les yeux toujours baissés. Il passe un collier en cuir avec un anneau autour de mon cou, à cela viennent s'ajouter des contraintes sur mes poignets qu'il met dans mon dos et qu'il relit à mon cou. Un bâillon avec une jolie boule vient compléter l'assortiment.
« Je ne veux pas t'entendre, aucun gémissement, je veux être au calme. A quatre pattes sur le lit. »
Je m'exécute rapidement, mais mon équilibre laisse à désirer sans l'aide de mes bras. Je finis la tête dans les oreillers et le cul en l'air.
« Au bord du lit petit pute. », je recule tant bien que mal, une claque s'abat sur mes fesses, je sers les dents pour ne faire aucun bruit. Ma poitrine sur le lit, les pieds au sol, les jambes droites et le cul relevé, la position est humiliante ... Des attaches viennent s'ajouter à mes chevilles toutes deux reliés d'une barre, je ne peux plus fermer les jambes. Maître n'en a pas fini avec moi, chacune de mes chevilles sont reliées au pied du lit. Je suis à la totale merci de mon Maître ...
