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Cela faisait une semaine que je n'étais pas parti en cours car j'étais malade, j'y retourne donc aujourd'hui mais en arrière je croise directement mon harceleur alias sp.

Il était tout seul et en me voyant il vient directement me voir.

Sp: pourquoi tu n'étais pas la la semaine dernière ?

Commence t'il froidement.

Tp: se ne sont pas tes affaires sp !

Je le détourne et je retourne en classe. C'est la pose du midi et en sortant de ma classe je sens quelqu'un me tire vers une sorte de salle à balai.

Sp: je ne me répéterai pas, pourquoi tu n'es pas venu la semaine dernière ?!

Tp: je t'ai dit que se n'était pas t'es affaires ! Alors laisse tranqui...

Sp: je me suis inquiétée alors dit moi se qui c'est passer maintenant ou tu le regrettera !

Sur le moment je fut surpris et fis les gros yeux mais je reprends finalement les esprits en lui répondant.

Tp: ...j'étais malade...

Il prends chaque côté de mon visage et une expression d'inquiétude apparaît sur son visage.

Sp: ça va ? Tu va mieux ? Tu n'a mal nul part ? Tu avais quoi exactement ?

Tp: pourquoi autant de question ?

Sp: je te l'ai dit c'est parce que je m'inquiète alors répond moi stp

Tp: j'avais juste des grosses nausées et j'étais très fatiguée...

Tp(pense):..et je pouvais plus tenir debout à cause de la fièvre.

Je sens ses lèvres se poser sur mon front comme pour regarder ma température.

Sp: tu est encore un peux chaude, tu avais combien de fièvre exactement ?

Tp: je...j'ai pensé à vois haute ?

Sp: oui alors réponds mois stp.

Tp: 38.5

Sp(souffle): sans mentir !

Tp: 41

Sp: tu devrais rester chez toi pour te reposer encore un peux, je te raccompagne.

Il allait sortir mais je le retiens par sa manche.

Tp: sp, merc...

Je me fais couper par c'est lèvre se posent sur les miennes se qui a le don de me faire extrêmement rougie, j'ai actuellement les joues en feux.

Sp: ne me remercie pas, c'est tout à fait normal

Tp: d'accord, alors je veux bien que tu me ramène chez chez moi
Mais à une condition !

Sp: laquelle ? je t'écoute

Tp: je veux que tu me porte car je suis fatiguée...

Je n'ai pas le temps de finir ma phrase qu'il me porte déjà, je sourit et je m'accroche plus confortable à lui.

Sp: dort, je vais te ramener chez toi.

Il sort de la petite pièce où il nous avait amené et tout les regards se posent sur nous et et chuchotant se font retentir.
Nous pouvons entendre des élèves dire des phrases du genre:
"Ils sont trop mignon ensemble",
"Ils sont en couple ?" Ou encore "c'étais sûr qu'il allait finir ensemble".

Je le sens sourire, se qui me fait sourire aussi et il nous ramène ainsi chez moi

Je le sens sourire, se qui me fait sourire aussi et il nous ramène ainsi chez moi

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