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Mes yeux s'ouvrit lentement, ce que j'observa était...plutôt démoralisant. C'est à sa que ressemble la mort...? A un plafond degeulasse.

Puis, ma vision s'élargissa. Je reconnus à présent une chambre. Une chambre dont je n'avais jamais vu. Mais une présence à l'autre bout de la pièce était ce qui est le plus flippant.

Je m'adosse sur le lit de plus en plus consciente, enfin, si mort on peut avoir une conscience. Le lit émis un grincement. Cela alerta cet personne qui ce retourna.

Je reconnus ce visage si familier...le visage du garçon tatoué. Celui au crâne rasé qui m'appelle l'hystérique. Mais alors...

je ne suis pas morte ?

Il rire s'échappa de ses lèvres me fixant depuis sa chaise.

non, tu n'est pas morte.
— alors...il est quel heure ? Enfin, on est quel jours...?
— 18 décembre 23:07.

Un soulagement me traversa le corp apprenant la nouvelle. J'ai seulement dormis quelques heures. Néanmoins ce sentiment. Mon cou me fait extrêmement mal, rien qu'en le touchant ça me brûle.

tu devrait pas toucher.

Après cette réponse, il retourna a ces occupations sur son bureau. Ne pouvant plus faire face a mon regard qui le fixe. J'en profite pour admirer...la vie. L'oxygène, le toucher, l'odorat et tout ce qu'il suit. C'est seulement après avoir frôler la mort, qu'on ce rend compte de ce qui nous entoure réellement. Actuellement c'est simplement une chambre, et certainement la sienne. Celle d'un inconnu. Ainsi, je réalisa que je viens me réveiller dans le lit d'un inconnu. Cela me mena à cette question.

quel est ton nom ?
— Ashtray.
— dis-moi ashtray, qui ta donné ce nom de merde ?
— tu devrais faire attention à ce que tu dit, surtout quand tu sais que sans moi, tu serais morte à l'heure qu'il est.

Alors, c'est lui qui m'a sauvée ? J'ai du mal à le croire...il regardait la scène sans bouger le petit doigt. et a présent, il m'annonce que c'est lui qui m'a sauvé la vie ?

— mais si tu ma sauvée, c'est bien pour une raison. Alors même si je me moque de ton nom, je sais que si ça devait recommencer, tu me sauverais une nouvelle fois.
— faux. Si je devais recommencer je ne t'aurai pas laissée approcher cette pièce.

Je ne réponds rien et le regarde de dos, mais il ce retourna et s'avanca jusqu'à arriver à ma hauteur.

c'est quoi ton vrai nom ? Demande-t-il une fois devant moi.
Sloane.

Je lui répondit comme si cela était une évidence. Mais en y réfléchissant un peu...j'aurai peut-être dû lui mentir une nouvelle fois. Mais après tout, je ne le reverrai plus jamais. Alors autant être sincère pour une fois, surtout après son geste.

— peut-être que j'ai hérité d'un nom de merde Sloane, mais au moins...j'ai jamais failli mourrir avec un accident debile.

Ok, je retire tout ce que j'ai dit, j'aurais dû lui mentir droit dans les yeux, sans regret.

excuse moi, le dealeur professionnel !
— t'es dealeuse ?
— tu crois je suis ici pour quoi ?
— dormir, tu te rappelles...comme tu me le suppliais tout à l'heure en pleurant ? Rigole-t-il.

Je savais que je n'aurais pas dû suivre ce plan. Voilà où ça ma mener.

je vais te les faire bouffer mes larmes si tu la fermes pas.
— à genoux, s'il te plaît.

ʙᴜsɪɴᴇss ᴘᴀʀᴛɴᴇʀ | ᴀsʜᴛʀᴀʏ ᴏ'ɴᴇɪʟOù les histoires vivent. Découvrez maintenant