Si le soleil attend la lune,
Et que dans le ciel, une éclipse se forme.
J'admirais le spectacle depuis les dunes,
Pour avoir une vue plus uniforme.
Un phénomène étrange mais majestueux,
Regardez, tant la nature nous offre,
Ne pas observer serait injurieux,
Pour l'univers dont la beauté se décoffre.
Devant moi, l'océan s'étant.
Il se prolonge dans l'infini du paysage.
Le bleu des vagues ne laisse indifférent,
Sous le reste de soleil voilé par les nuages.
Un fin brouillard venait s'installer.
Ajoutant un air frais a cette scène.
Le paysage devenait étoilé,
Créant une atmosphère sereine.
Le ciel se fonce,
Les astres habillent l'obscurité,
Il a des réponses,
A mes questions dérobées.
Le sable blanc à mes coté,
Que j'analyse tant bien que mal.
Pour parvenir à y trouver,
Un joyau marginal.
A la recherche d'une merveille,
Qui m'évoquerait celui que j'aime.
Celui qui m'ensorcelle et qui m'ensoleille
Celui à qui sont dévoué tous mes poèmes.
Une gemme d'une teinte bleutée,
Des ton vert qui, entre eux, se fondent.
Son insupportable beauté,
Venant des eaux profondes.
Je voyais en elle,
Le meilleur des êtres,
Par sa nuance translucide et naturelle,
Je voyais un phénix renaître.
Marbrée d'arêtes blanche,
Elle était somptueuse.
En moi, cette pierre déclenche,
Une attraction furieuse.
Elle brille de mille feux,
Grace à la réflexion des astres brillants.
Le vent se voulait silencieux,
Face à ces lieux que j'aime tant.
Je la pris entre mes doigts.
Pour mieux admirer cette perle rare.
J'y retrouvais trop de "toi"
Elle était le plus beau des miroirs.
Soudain, une idée me vint.
Cette pierre venait des océans,
Dotée du même bleu divin.
Mais le destin lui réservait un avenir différent.
Je l'ai su dès le premier regard,
Elle te revenait entièrement.
Elle est une œuvre d'art.
Tout comme toi, je l'aime tellement...
