Gabrielle Marshall, jeune photographe de presse, fraîchement sortie de ses études, s'était promis de ne jamais revoir cet homme avec qui elle avait eu une aventure fugace et intense, loin de se douter de qui il était.
Elle allait très vite regretter...
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Le réveille dans la voiture de Jung il y a de sa 2h a été compliquer. Le mal de tête, les souvenir qui revienne par brides. Park Jung-Hee, ces mains, ces mots doux et ces caresses tendres, ces cheveux soyeux, le volant contre mes fesses, claxonnant plusieurs fois par manque d'espace. Je crois que je ne suis pas près de l'oublier...
Je ne me souviens de quelques moments gênants, quelque écart de conduite, moi qui danse sur le bar, pied nue avec Jack et Jung chantant à tue-tête du Britney Spears. Je me souviens avoir tirer Jung par la colle avant de l'embrasser contre le mur des toilettes. Ma tante qui embrasse Jack... et tout un tas d'autre souvenir que je préfère oublier.
Alors quand j'arrive au journal, c'est assez compliquer d'avoir les idées claires. Je regrette déjà cette soirée. Je n'ai même pas pu avoir le temps de m'inquiéter, j'ai tout juste eu le temps d'arriver à l'heure et dans un état et une tenue convenable.
Je reste planter là, devant le bâtiment, que dis-je l'immeuble imposant au grande lettre MOVE, de longue seconde avant me décider à entrer. Quand j'entre, je range mon casque de musique qui m'isolais du reste du monde encore quelque instant, mais tout me parait bien diffèrent de la première que je suis venue pour mon entretiens d'embauche avec la directrice des ressources humaines. Il faut dire que je n'avais pas eu le temps d'admirer les lieux. Les bureaux de ce journal sont juste époustouflants. La hauteur sous plafond est démesure et ce qui me marque le plus sont le nombre incalculable de plante tout vert éparpiller dans le hall accompagner de fauteuil en cuir brun ou plusieurs personnes semblent travailler en solo. reflète le magasin dans son entièreté et donne le ton. On s'imagine facile la luxure moderne et sobre du 21ème siècle avec des touches de bois et de vert. Les gens qui marchants rapidement, visiblement presser, me donnant légèrement le tournis et me donnant une idée du rythme de travail.
Rapidement, je repère le bureau d'accueil en bois brute et brun, assez imposant et presque majestueux, trôner dans le hall, pièce maitresse du lieu. En arrière-plan d'immense licher qui ont fait la réputation du magasin sont exposer comme des œuvres d'art, là où sont positionner de chaque coter deux ascenseurs. Je m'approche doucement, ma sacoche d'ordinateur et d'appareil photo sur l'épaule, j'essaie d'interpelle un agent d'accueil pour me guider.
Un jeune homme d'environs mon âges me souris et entreprend de me montre mon étage a peine ai-je finis de prononcer mon nom.
- Je suis James, je travail à l'accueil, je suis chargé de te faire visiter ton nouveau lieu de travail, se présent-il chaleureusement en me tendant sa main.
J'étais loin de m'imaginer un accueil si bienveillant dans un milieu si froid de réputation. Je mets un temps à lui serrer la main me demandant comment je dois agir, ou bien si je dois me méfier. Le contact avec les inconnus et moi ça fait deux parfois surtout quand je n'ai pas bu.
