Chapitre 12: Chambre 204

5.7K 23 0
                                    

Maître et moi avons passé une magnifique soirée hier soir...

*La veille*

-Tu aime sa sale chienne

Étant bâillonné avec mon string aucun son pas même un gémissement ne peut sortir de ma bouche, tandis que je suis attaché à la croix de St-André mon maître en en train de m'octroyer une séance d'impacte que je ne suis pas prête d'oublier, ça doit faire trente minute que Maître alterne entre cravache, martinet, baguette et le paddle, un vrai sadique.

*Aujourd'hui*

...Je sens toujours mes fesses brûlantes, suite à nos ébats de la veille. J'ai dormi dans mon panier, décision du maître, je n'ai pas réussi à dormir longtemps à cause de ma douleur mais je ne suis pas digne de dormir auprès de mon maître et sentir sa douce chaleur.

Maître vient de se réveiller, je l'observe s'asseoir en douceur au bord du lit et baisser son caleçon, il faut que j'aille le saluer. Sans même attendre un ordre de sa part, je me dirige à quatre pattes dans sa direction, arrive à lui j'embrasse chacun de ses pieds puis je me place au niveau de sa bite, j'embrasse son gland et le suce légèrement. Maître ne bouge pas et ne fait aucun bruit, je déteste lorsqu'il agit de la sorte, j'ai l'impression de ne pas le satisfaire, alors j'en gouffre entièrement sa bite et je fais des vas et vient très rapide, après quelques minutes je le sens tremblant et de petit grognement sors de sa bouche, soudain il enfonce ma tête sur sa bite et se lâche dans le fond de ma gorge; c'est une sensation dont jamais je ne me lasserai, sentir sa semence chaude couler dans ma gorge et ce goût que j'apprécie tant mmh... .

*quelques heures plus tard*

Pendant que Maître est sorti je suis resté à la chambre d'hôtel, attendant son retour je matte une série sur netflix lorsque la porte s'ouvre; Maître rentre dans la chambre, dépose les sachets qu'il tient et retire ses vêtements afin de rester en caleçon. Il s 'assoit sur une chaise dans le coin de la pièce et me fait signe de venir à ses pieds alors je dépose mon téléphone, je descends du lit et me déplace à quatre pattes vers lui puis je m'agenouille à ses pieds.

-Récite moi les règles ma chienne

-Oui Maître

Je m'installe correctement : fesses sur les talons, les mains sur les cuisses paume vers le haut et les jambes écartées.

-Les yeux baissés en votre présence, je conserverai

Jamais vos décisions je ne contesterai

Jamais les jambes je ne croiserai

Une attitude humble et respectueuse je conserverai

mon temps libre à votre plaisir et votre bien-être je consacrerai

Irréprochable et parée toujours je serai

Par mensonge ou omission, la vérité je ne travestirai

Toutes les tenues imposées avec fierté je porterai

Avec quiconque dans nos jeux même comportement j' adopterai

De mon corps, jamais aucun accès je ne vous refuserai

De vos punitions, toujours je vous remerciera

-Bonne chienne, je t'ai achetés quelques jouets va voir dans le sac

Je me dirige vers le sac toujours à quattres pattes, je le prend et une fois ouvert et un grand sourire apparaît sur mon visage; il s'agit d'une longue corde noir pour le bondage et un bandeau avec écrit "bonne chienne" en dorée, mes deux mots favoris.

-Il ne nous reste plus beaucoup de temps pour aujourd'hui, alors mets toi debout jambe et bras écarté

J'exécute l'ordre de Maître, et il vient me mettre la corde sur le cou, autour de chacun de mes seins qu'il ne manque pas de presser très fort mais j'aime cette sensation. Il continue doucement et sans faire aucun bruit, il passe de chaque côté de mon entre-jambe et donne une petite caresse à mon clito, ce simple geste m'excite déjà beaucoup étant clitoridienne. Une fois fini je baisse mes bras endolori et je n'ai même pas le temps de les secouer qu'ils se font attraper et attacher avec une autre corde.

-Tu es magnifique avec cet attirail, mets toi à genoux. Je peux prendre une photo de toi, de dos évidemment, j'aimerai garder un souvenir de ces nuits à l'hôtel.

-Bien sur Maître je vous empire.

Je me place correctement jambe bien écartée, dos droit, tête relevée, Maître prend la photo puis viens me la montrer.

-Regarde comme tu es belle, offerte à moi, nue et attachée par mes soins, une vraie chienne soumise.

C'est vrai que je me trouve pas mal sur cette photo, mes fesses bombées rose entouré de corde, sont si attirantes que je me fesserai moi même.

Maître récupère le martinet et sans dire aucun mots il abat une dizaine de coups d'affilée sur mes seins déjà rougeâtre à cause des cordes. Plus il continue, plus je pointe, plus j'ai mal, et plus j'aime sa, nous sommes fait pour être ensemble: un sadique insatiable et une masochiste en chaleur.

L'hôtel BDSMOù les histoires vivent. Découvrez maintenant