𝐂𝐇𝐀𝐏𝐓𝐄𝐑 𝟐𝟐

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Le trajet c'était passer en silence je voulais juste me reposer je voulais juste rien entendre je voulais juste rester tranquille

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Le trajet c'était passer en silence je voulais juste me reposer je voulais juste rien entendre je voulais juste rester tranquille.

Nous arrivons dans une grande villa au lieu de l'hôtel , je descendu de la classe G au même moment Giorgia arriva en près de moi et me fit un grand câlin.

— Je suis tellement contente de te revoir putain ! Elle dit en prenant mon visage. Elle va le regretter ne t'inquiète pas.

Elle me regarda longuement avant de me prendre avec elle.

— On est venu ici parce que on va devoir rester un peu plus longtemps à propos de Ben ensuite nous allons retourner en Sicile. Elle m'expliqua.

J'hocha la tête, nous étions rentrer dans la villa il y avais personne dans la villa juste les gardes je me demander où était les gars.

— viens je vais te faire un bain chaud tu le mérite et je vais te faire un plat français que Jay m'a appris à faire.

Elle me sourit puis me laissa dans ma nouvelle chambre, je m'installa dans mon lit en repensant à ce qui c'était passer je commença à pleurer silencieusement en regardant mes bras tacher du sang de d'Adrien.

—....Brenda ? C-ça va, je sais ce qui sais passer la bas...je suis tellement désolée Brenda. Elle dit tristement en le prenant dans ces bras.

J'éclata en sanglot elle essayer de me réconforter mais j'arrive pas à m'arrêter de pleurer j'ai vraiment était traumatisé.

— J'ai crue que j'allais mourrir là bas.....ils m'ont violer, ces hommes m'ont détruit il ont pris ma dignité ma virginité, mon honneur Giorgia !!! C'est fini pour moi. Ils mon tuer physiquement et moralement......

— Non ne dit pas ça.....Je suis tellement désolée.....J'ai pas les mots..

— C'est normal il y a rien a dire j'ai plus rien à faire dans ce monde, Giorgia, j'ai envie de mourrir je suis fatigué.

Elle me fixa longuement avant de me prendre dans ces bras en parler elle me caressa le dos en me chuchotant des mot doux, peut a peut je réussi à me calmer.

— C'était comme ça que ma mère me calmer quand je voyais mon père tuer des hommes devant mes yeux quand j'avais 2 ans.

Nos yeux se croisèrent je la fixa sans parler avant qu'elle me sourit tristement.

— Bon la douche est prête tu viendra ensuite me voir je mettrais de la crème sur tes brûlure. Elle se leva avec un petit sourire avant de me laisser.

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