La nuit tombée sur Paris, toutes les routes étaient éclairait par des faisceaux de lumières provenant des lampadaires. Le froid de l'hiver faisait grelotter G qui perdu dans ses pensées n'avait même pas penser à remettre sa veste qui reposait encore sur son avant-bras.
Il avançait rapidement, faisant des pas l'un devant l'autre le plus rapidement possible. Il semblait vouloir échapper à quelque chose, à quelqu'un. Quelques minutes, plus tard, il arrivait enfin devant la porte de son immeuble, rassuré, il soupira et rentra dans le hall de l'immeuble. Il se précipita pour prendre les escaliers, avec de grandes enjamber, il grimpa les marches.
En arrivant chez lui, il semblait être encore déboussolé de toutes ses sensations, il sassait sur le bord de son lit, et en détachant sa cravate, il se souvenait alors qu'il avait un repas important le lendemain, avec des membres politique à l'issue des prochaines élections qu'il devait avoir lieu dans le pays. Sur ses pensées, il s'écroula de fatigues et s'endort.Le lendemain G arriva au palais de l'Élysée, la réception avait déjà commencé, tout était minutieusement préparé jusqu'au plus petits détails. Il alla retrouver les membres de son partis et commença à discuter. Quelque chose attira son attention, du moins quelqu'un. Une silhouette qui ne connaissait que trop bien, un homme assez grand, brun, avec toujours le même costume. Il ne mit pas longtemps à réaliser que c'était bien son plus grand adversaire, J.
- Mais qu'est qu'il fait là ? Se demanda G à voix basse en tournant le dos à celui-ci.
Il se mit à siroter sa coupe de champagne rapidement comme si quelque chose le rendait nerveux, il voulait échapper à cette rencontre. Mais c'était sans connaître son concurrent...
- Bonjour monsieur A.
Cette voix fit presque s'étouffer G qui venait d'avaler de travers prit par surprise.
- Bonjour monsieur B répondit-il en se raclant la gorge.
G essayé de cacher sa gêne devant J, mais au moment où il releva ses yeux, il croisa le regarde de celui-ci. Ils ressentirent tout deux une connexion particulière, une alchimie qui planait au-dessus des deux politiciens.
J le fixais en effectuant des minuscules mouvements, en regardant ses yeux, son regarde se déplacer de son œil droit, à son œil gauche, et ses lèvres.
Le temps semblait s'être mis sur pause, et leurs yeux n'arrivaient pas à se quitter.
G sentait une chaleur montait en lui, son esprit était brouillé par la personne qu'il méprisait le plus au monde.
J, il avait l'air de savoir ce qu'il faisait, comme ci il voulait l'énerver, et jouer avec ses nerfs . Il lui adressa alors un sourire, qui fit pâlir les joues du premiers ministre.L'annonce du repas les poussa à reprendre chacun leur esprit, se saluant d'un hochement de tête, ils rejoignaient chacun leur place respective.
G, une fois assis, balayé du regard la table complètement troublé de ce qu'il venait de se passer. Il n'avait jamais ressenti ça, lui qui sortait d'une relation amoureuse compliquer, il ne comprenait pas comment il aurait pu ne serai ce qu'une seconde éprouver une telle émotion envers celui qu'il pouvait l'agacer au plus au point.*****
Le lendemain, G se réveilla avec l'esprit ailleurs. Il n'avait pas passé une bonne nuit, se remémorant ce regard insistant qu'il avait échangé à la réception.
Il ne connaissait pas très bien J, mais de ce qu'il avait pu observer pendant les débats, et les sorties politiques rien ne pouvait l'attirer, il secoua la tête comme pour chasser de son esprit l'image incessante de son adversaire.
Il fut pris de bouffées de chaleur en se remémorant son ancienne histoire d'amour. Cette histoire qu'il l'avait profondément détruit. Il n'avait été qu'un objet, il avait dû supporter tout un tas de choses pénible qu'il n'avait pas demandé pour ne serait ce qu'être aimé un petit peu en retours. Cela lui avait laissé des cicatrices, il se demanda même s'il avait finalement connu le vrai amour.Son téléphone sonna, il venait de recevoir un message.
" Bonjour, j'espère que vous avez passé une bonne nuit, parce que moi, je n'ai pas réussi à chasser votre image de mes pensées. "
G sent le sol s'ouvrir sous ses pieds, qui pouvait bien lui envoyer un message de ce genre alors que le jour venait de se lever ?
Le numéro n'était pas enregistré, il commença à analyser la suite de numéros, mais rien ne lui faisait tilt.
Lui qui n'avait pas réussi à dormir à cause de ses pensées qui elles-mêmes étaient occupées, l'empêchant de trouver le sommeil. G comprit que c'était J, il sentit une vague de chaleur montée jusqu'à ses joues en faisant les 100 pas dans son appartement.
Comment avait-il pu avoir mon numéro ? Se demande G complètement interloqué par ce qu'il venait de recevoir. Il regarda son téléphone une dernière fois, le verrouilla et décida d'aller se préparer pour affronter cette journée qui n'avait que drôlement commençait.La journée se finissait, G était lessivée de toutes ces heures de réunions, il n'avait qu'une hâte retrouvée sa voiture au parking souterrain pour pouvoir rentrer chez lui et enfin dormir. Il arriva devant sa portière, enfin, en l'ouvrant, il ne remarque pas l'autre voiture qui était garée à-côtés, prit par la fatigue, il cogna la voiture d'à côté ce qu'il le fit sursauter. Il vit quelqu'un sortir de la voiture, G passer une main dans son cou rouge de gêne.
" Vous venez d'enfoncer ma portière".
Il leva la tête d'un coup sec reconnaissant la voix qu'il venait d'entendre.
- Monsieur B, je ne savais pas que c'était vous, excusez moi. Répondit G.
Je... Je ne savais pas que vous étiez ici aujourd'hui, continuai til.- J'ai dû rencontrer le président qui m'a informé de notre prochain débat, mon cher G.A. dit-il en se rapprochant doucement de G ce qu'il le fit reculer contre sa propre voiture.
- Je ne vous en veux pas pour les dégâts, cela m'aura permis de vous voir étant donné que vous ignorer mes messages reprit J.
G ne savait plus où se mettre, il baissa la tête et en l'espace de quelques secondes, il se retrouvait bloquer entre le torse de son concurrent et sa propre voiture. Il pouvait ressentir le parfum de celui-ci, il sentait sa respiration s'accélérer, l'espace d'un instant, il se sentait captivé par les yeux marron de son adversaire, et ressentait exactement la même chose que le veille. J pouvais remarquer tout ça de l'extérieur, ce qui lui décrocha un sourire.
- Bonne soirée monsieur A, répliquait-il d'une voix basse mais douce en se reculant toujours un sourire en coin jusqu'à rejoindre sa voiture.
G restait planté là, le cœur encore serré de ça qu'il venait de vivre. Regardant la voiture s'éloigner, il comprit que juste l'espace d'un instant, il avait apprécié ce moment.
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DES SOURIRES DANS L'OMBRE. ATTAL X BARDELLA
RomansQuand l'amour détruit peut-il réparer également ? *** Ceci est totalement de la fiction, et ne doit pas être pris au sérieux. l'histoire est romancée, pour étudier chaque facette de chaque personnages👀 Il risque d'avoir des fautes d'orthographes...