Gabriel attal x Emmanuel Macron

Chapitre 6 : un coeur espèrant

Attal n'était aujourd'hui, pas à son bureau ( surprenant je sais ). Aujourd'hui, comme depuis trois jours d'ailleurs, il était sur son canapé, prétendant d'être malade pour ne pas aller travailler.
Depuis cette nuit, il ne supportait plus de voir le visage d'Emmanuel.
Il s'était dit que finalement, peut être que cette nuit comblerai ses désirs, et mettrait fin à ses tourments, mais non.
Il ne voulait pas d'une nuit avec Macron, mais d'une vie.
Il le savait bien, si il retournait travailler, il n'oserait pas regarder Macron dans les yeux.
Il serait pourtant obligé d'y retourner le lendemain, faisant face au regard sterne d'Emmanuel.
Il avait espéré, qu'au moins après cette nuit, Macron lui montrerait un peu de tendresse, mais non, toujours rien.

Le lendemain

Il se baladait dans les couloir de son lieu de travail, la boule au ventre. Il avait peur de le croiser, lui.
Il réussit à l'éviter, et presque toute la journée s'écoula sans que rien n'arrive, mais alors qu'il allait rentrer chez lui, qu'il franchissait la porte, une main agrippa son poignet.
C'était Macron. A la vue de l'homme, le cœur de Gabriel accéléra.

- Attal, je vous cherchais

Et on était de retour au vouvoiement, pensa Gabriel.

- je m'apprêtais à rentrer, au revoir. Répondait Attal, essayant d'écourter au maximum la conversation.
- je sais que vous essayez de m'éviter, Attal. Annonça Macron d'un ton sec, tout en lui agrippant le poignet plus fort.
- je ne vois pas de quoi vous parlez.
- au contraire, je crois que vous savez très bien, vous n'avez fait que m'évitez toute la journée. Qu'est ce qu'il se passe ?

Gabriel hésitait, devait il s'exprimer du fond de son cœur ?
Puis sans réfléchir plus que ça, il se lança.

- La vérité, c'est que cette nuit, ce n'était pas assez, je ne vous veux pas comme ça, je vous veux en tous ce que vous pouvez être, un aimant, un partenaire, un président. Lui avoua Attal, qui sentait l'adrénaline courir dans ses veines.
- Gabriel, je vous ai déjà dis que ce n'était pas possible. Réplique Macron d'un ton détaché et las.
- mais je n'en ai rien à faire ! Vous ne faites que me donner des signaux contraires depuis le début ! Un coup oui un coup non, juste aimez moi ! C'est tous ce que je vous demande, un peu d'amour ! Explosa Attal, sentant le besoin de vider ses pensées.
- Gabriel arrêtez ceci tous de suite ! S'exclama Macron.
- non ! Répondez moi ! Rétorqua Gabriel
- vous voulez une réponse ?! Très bien, je ne vous aime pas et ne pourrait jamais vous aimez ! S'écria finalement Macron.

La nouvelle fut comme un choc pour attal, qui sentit ses yeux s'écarquillé et son sang se glacer. Il se sentit triste, mais bien vite, la colère et le ressentiment prirent le dessus.

- c'est donc comme ça que ça se termine entre nous ?

Macron, baissa les yeux au sol, puis les releva, le regard froid et déterminé.

- non, ça ne se termine pas comme ça entre nous. Ça n'avait jamais commencé.

Et sur ce, il tourna les talons, franchit la porte, et parti vers le soleil couchant.
Attal, resté figé après cette dernière parole, tomba à genoux, les larmes coulant sur son visage.
Le rejet était dur, oui, mais pas plus que le déni d'un amour qui fut.

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Bonjour ? Bonsoir ? Au revoir.
Nan je dec, je mets vraiment toute mon âme dans les chapitre en ce moment, je l'ai peut être déjà dit, mais je m'implique beaucoup trop dans une merde pareille.
Anyway, goodbye, and stay hydrated !