Gabriel attal x Emmanuel Macron

Chapitre 8 : tu hors de ma vue

Une journée avait passé depuis le baiser de Gabriel avec Bardella, il n'avaient pour l'instant rien déclaré de concret, mais Gabriel sentait que c'était le début d'une bonne chose.
Il était maintenant, comme toujours, à son bureau ( on ne change pas les bonnes habitudes).
Bardella et lui passaient parfois dans les couloirs, main dans la main, ils voyaient les autres leur jeter des regards intrigués, mais il n'en n'avait rien à faire.
Alors qu'il balayait du regard les derniers relevés sur la hausse du prix des capotes, qui rendait les français malheureux, un coup de fit entendre à la porte.
Il se leva pour aller ouvrir, et la porte eut à peine tournée de ses gonds qu'il se retrouvait plaqué au mur.
Il leva les yeux, et vit Macron, les main des deux côtés de sa tête. Une odeur d'alcool et de mâle alpha émanait de lui.
Gabriel sentit sa respiration s'accélérer. Il se fixaient des yeux, sans rien se dire, en tout cas jusqu'à ce que Macron prenne la parole.

- tu l'aimes bien ton petit jeu hein ? Grogna Macron.
- excusez moi ? De quoi parlez vous ? Répondit Attal, confus.
- avec Bardella, c'est ça que tu me fais hein ? Tu veux me rendre jaloux c'est ca ? Arrête de jouer Gabriel et vient avec moi.

A ces mots, Gabriel sentit une vague de désir l'envahir. Mais cela ne dura point, car la colère s'empara de lui bien trop vite.

- c'est une blague putain ? Vous m'avez rejeté ! Je vous aimais Macron ! Je vous aimais ! Et vous, vous m'avez balayé de la main comme une vulgaire fourmi !( Gabriel était certes vulgaire, mais n'était pas une fourmi )
J'ai pris tout ce que vous me donniez ! Le moindre geste affectueux, je l'ai adoré ! J'ai fait de la sorcellerie dans ma chambre pour que vous m'aimiez ! J'ai mis le doigt sur le nez à chaque heure miroir, en demandant à ce que ce soit réciproque !
Vous ne pouvez pas me rejeter, et après revenir comme si de rien n'était ! Il f jr un temps, ou j'aurais accepté ça ! Où je serais revenu, rempart jusqu'à vos bras. Mais plus maintenant ! J'ai compris que ce ne servait à rien, alors merci de ne plus m'importuner ! TU HORS MA VUE !
( si c'est phrase semble bizarre, c'est normal, merci d'avoir la réf )

Et sur ce, Gabriel sortit en courant de son propre bureau, sous les yeux effarés d'Emmanuel.
Gabriel se sentait bien maintenant qu'il s'était affirmé, mieux qu'il ne l'avait jamais été, mais au fond, il était encore plus mal qu'il ne l'avait jamais été, même si il ne le réalisait pas encore.

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Bonjour bonjour !
Petit chapitre qui apparaît de manière ✨random✨ mais voilà.
Alors pour rassurer certains d'entre vous, oui ceci est bien une macrattal. ( il faut juste construire un peu l'intrigue pour que la fin n'en soit que meilleure )
D'ailleurs en ce moment je travaille sur deux autres fanfiction qui vont sortir sûrement cette semaine ( c'est aussi de l'humour, c'est pas des fanfics premier degré )