DULZURA

CHAPITRE 4. Lendemain

Hello ça va ? 🌪️🤍

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| Enfin bref, bonne lecture |

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Je me réveille avec un mal de crâne énorme, les souvenirs de la fin de la soirée d'hier encore embrumés dans mon esprit fraîchement sortis de son sommeil.Je passe d'ailleurs quelques minutes à me remémorer le pourquoi du comment. J'étais arrivé au stade où je ne savais même plus comment j'avais atterri dans mon lit.

Mais à peine eus-je poser le pied à terre, des tonnes de flashbacks me frappèrent violemment.

Ses iris vertes émeraudes planter dans les miennes

Le coup de feu qui avait résonné dans toutes la maison

" Avec plaisir Monsieur Da silva"

Putain de merde, je me rappelais de tout dans son integralité a présent, et, à mon plus grand étonnement, mon père avait éé assez gentil et cool face à la connerie que nous avions faites.

Mais je ne me faisais tout de même pas de faux espoirs, il avait dû se rendre compte que j'étais bien bourré et il attendait sûrement que je sois sobre pour que je ressente a 100% le châtiment qu'il m'infligera.

J'etais quand meme un peu rassuré de savoir que je n'allais pas être la seule que mon paternel allait détruire, tous ses fidèles capo allaient y passer.

C'est égoïste de penser comme ça ? Sûrement, mais je n'en avais clairement et simplement rien a foutre.

Je prends ensuite la direction de ma salle de bain avec malgré moi, un peu de stress.

En dépit du fait que j'allais être avec mes meilleurs amis pour affronter Rafael, je n'ai pu empêcher une boule nerveuse de se placer dans mon ventre.

Je décide donc d'enclencher l'eau chaude au maximum pour atténuer l'angoisse qui arrive à naître en moi au mépris de moi-même.

L'eau brûlante au contact de ma peau me fait le même effet que les trajets à moto.

Elle me détend et me permet de m'évader autre part pour ne plus songer a mes problèmes.
Au bout de dix minutes, je sors enfin de la douche et constate que mes jambes ainsi que mes bras sont devenu rouge écarlate.

J'aurais peut-être dû doser sur la température. Une fois habillé, coiffé et maquillé, je prends une grande inspiration, puis descend les grands escaliers qui mènent au salon principal.

Une choque me frappa d'un coup lorsque je vis l'étendue des dégâts de notre veillé d'hier.

Je ne m'étais pas rendu compte de ce qu'il se passer vu le monde qu'il y avait mais maintenant que j'étais totalement sobre, le constat des dégradations me heurta fortement.

Mon père allait me tuer.

Des gobelets vides traînaient un peu partout par terre. Toutes sortes de liquides jonchaient le sol de la cuisine.

Un nombre incalculable de papier, bout de verre et balle de ping pong s'éparpillaient dans toutes les pièces.

         - on est mort beauté fatale, murmura Cruz derrière mon dos.