DULZURA

CHAPITRE 6. Vassily Volkov

Hey hey hey !!! Ça va ? 🤍

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| Bonne lecture |

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                                 - Sergio, qu'est ce que tu veux encore ? dis-je d'un ton monotone qui masquerait presque mon trouble face à son torse coller à mon dos.

      - du calme, je venais t'aider à prendre le champagne, c'est tout.

Un rictus s'échappa de mes lèvres et je me délivrai de son emprise avant d'écraser mon talon de dix centimètres sur son pied.

Louboutin, j'espère que tu kiffes Herrera.

                                     - la garce ! s'exclama-t-il alors en laissant tomber les verres qu'il tenait dans ses mains par terre.

Le bruit du verre qui s'explosa contre le parquet attira l'attention de toutes les personnes présentes et bientôt, tous les hôtes et invités de ce dîner apparurent en trombe devant nous.

Mon regard croisa celui de cet emmerdeur de Sergio et il me fixa quelques secondes, un sourire en coin sur les lèvres avant de déclarer :

                                    - je venais aider notre chère lyra, mais elle n'a visiblement pas apprécié.

Son regard dévia vers les morceaux de coupe en cristal brisés au sol, puis, il accorda un coup d'œil désolé a mon père.

                                     - je croyais qu'elle était assez grande et mature pour comprendre que nous ne sommes pas des ennemis mais bon...

L'enfoiré ! Comme si lui me considérait comme son allié ! c'est la blague du siècle. Je passais maintenant pour une gamine superficielle et inéxperimanter dans le monde des ententes de la mafia.

Et pour couronner le tout, mon père devait penser que c'était moi qui avait fait tomber ses coupes par terre.

Ce fils de pute était fort, très fort. Mais il était hors de question que je me laisse faire de la sorte, surtout par lui.

                              - oui enfin, j'essayais juste que tu ne poses pas ta main sur mon cul comme tu en as l'habitude, roucoulais-je en le regardant dans les yeux, un large sourire victorieux sur le visage.

Il ne répondit rien, se contentent de me fixer d'une œillade amusé.

                               - pardon ? s'exclama alors Alvaro visiblement choqué par le fait que son fils soit un gros dalleux.

Mon père, lui, ne dit rien, il avait compris à mon expression joyeuse que j'avais menti. Je le voyais dans ses yeux, il me connaissait trop bien pour se laisser avoir avec mes techniques de manipulation hors pairs.

Mais à part lui, tout le monde avait l'air d'avoir cru à mon mensonge, ils pensaient tous que Sergio aurait été capable de faire ça.

Même les capos de son propre cartel. Pas vraiment étonnant vu sa réputation et sa gueule de dieu grec, après tout.

                           - sortez de cette cuisine tout de suite, nous intima le propriétaire des lieux, je prend le repas.

Ne voulant pas l'énerver davantage, nous accédions tous à sa demande et nous nous dirigeâmes vers la grande table de la salle à manger.