CHAPITRE 7. vingança

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Hello ça va ? 🤍

J'espère que vous allez bien ! N'hésitez pas à votez et commentez !

| bonne lecture |





Sergio

                        - bon, on commence ou quoi ? J'en ai ras-le-bol de vous deux sérieux !

Au vu du ton qu'employait mon meilleur ami, je compris qu'il avait hâte de finir ce travail pour ne plus avoir à supporter nos dispute de gamin.

Je tourne la tête d'un mouvement vif, en même temps que la petite brune à mes côtés, près à lui dire de se la fermer, mais elle fut plus rapide que moi.

                         - Oh, c'est vrai ? Monsieur Cole en a marre ? Tu sais quoi ? J'en ai rien à foutre, alors tu te la fermes avant que je te pointe mon flingue sur la gueule, Estúpido (abruti)

Mes mains se crispèrent toutes seules d'un mouvement instinctif. Je n'aime pas la façon dont elle a de s'exprimer, son petit air hautain qu'elle affiche en permanence sur son visage me donne de réels envie de meurtre.

Surtout quand elle s'adresse a mes gras.

Mais pour une fois, je ne dis rien, Cole devait apprendre à se taire de temps en temps, particulièrement quand il s'agit de mes petits différends avec la princesse Da Silva.

C'était entre elle et moi et uniquement entre elle et moi. Les membres de nos gangs respectifs n'étaient absolument pas concernés.

Mes iris rencontrèrent celles de Lyra et mes poings ne se resserrèrent d'avantage sur eux-même. En prenant conscience de ma réaction, elle m'adressa un large sourire accompagné d'un doigt d'honneur qu'elle brandit en ma direction avant de prendre place en face de Cole.

J'essayai alors de camoufler un grognement derrière une quinte de toux bruyante qui me valu le regard de tous les élèves présent sur moi, ainsi qu'une remarque de notre très cher professeur.

Franchement, je préférais quand elle me suppliait pour que je la prenne dans tous les sens.

Mes relations sexuelles n'avaient jamais été un secret pour personne. Même celle que j'entretenais avec des femmes de l'âge de mon père.

Au bout d'une demi heure à plus s'insulter que travailler, mon manque de patience commença déjà à faire surface.

J'avais passé le plus clair de mon temps a effacé tout ce que lyra écrivait sur son ordi, la contraignant à tout recommencer du début.

J'avais aussi malencontreusement renversé mon café sur ses précieux talons. Sa réaction totalement démesurée pour une simple paire de talons m'avait valu une gifle en pleine tête.

                              -  une simple paire de talons ? m'avait-elle hurlé alors que je lui disais de ne pas en faire un plat, tu sais combien coûte ses "simples talons" espèce d'enfoiré ? Je te jure que je vais te tuer un jour !

                              - Dommage que nos pères sois de vieux et si bon amis et que tu ne puisses donc pas mettre tes menaces à exécution..., murmurais-je pour l'énerver encore un peu plus.

                              - ferme la, m'assena-t-elle avant de me tourner le dos et de se replonger dans le « travail » que nous étions entrain de faire.

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