Personne Ne Sait Se Que L'avenir Nous Réserve

🌹 Partie 23 🌹

Bonne lecture à tous 📖 :

Comme convenu je me suis levé très tôt le matin pour aller au marché acheter les condiments pour la cuisine et des fruits j'ai fait un bon plat je savais que la plupart du temps les gens prépare du riz gras donc j'ai voulu faire de l'exception en préparant des frites aux poulets accompagné d'alloco et de sauce d'oignons comme dessert j'ai fait une salade de fruits comme me l'avait apprise tata djalikatou parce que quand je vais chez elle je préfère être avec elle dans la cuisine pour apprendre plus de choses et j'avoue que ça m'aide beaucoup. Comme c'est ma première fois de participer à cette rencontre en famille mes belles sœurs m'ont laissé le soin de faire la cuisine. Après que tout soit fini j'ai pris mon bain pour me débarrasser de toute ces odeurs de cuisine et autres je voulais vraiment me faire plaisir je me suis mise sur mon trente un avec un tout petit peu de maquillage et m'a tenu et mes escarpins on en parle pas j'avais y du mal à me reconnaître sur le miroir sans vouloir me venté j'étais tellement magnifique que je ne l'ai jamais été auparavant j'ai mis un voile et attaché le morceau de tissu qui sert de voile en une vraie femme africaine j'étais satisfaite du résultat avec le Bazin Bamako qui faisait du bruit tata djalikatou ne fait jamais les choses à moitié. Tout était prêt on attendait que moi et Koto Souleymane était là à riposter  heureusement j'avais fini.

Lui: je finirais jamais de vous comprendre vous les femmes à prendre tous ce temps pour vous habiller.

Djan Fatima: pourtant on fait tout cela pour vous faire plaisir.

Lui: je risque de m'énerver là Halima je te jure si tu sors pas on va partir et.....

Moi : je suis là vous n'allez qu'à même pas partir et me laisser ici.

J'avoue avec tous ces regards braqué sur moi je voulais courir directement dans ma chambre et aller me changer c'est comme si on les avaient mis en pause quoi ils me fixaient comme si j'étais une télé si djan Binta n'avait pas parlé je me serais sans doute enfuie.

Elle : machallah Halima t'es magnifique pour une fois mon beau frère n'a pas joué au con.

Koto Souleymane : ouais tu as raison première dame elle est super j'ai cru voir un mannequin devant moi.

Elle : j'étais dit de ne pas m'appeler comme ça ou me parler dans cette langue de blanc dont je ne comprends pas du tout ne m'insulter pas dès.

Moi : c'est ça djan Binta il t'a insulté il dit que tu es moche et que tu ressembles à une vieille.

Lui: soubhanallah tu m'as entendu dire ça si je t'attrape ton mari ne va pas te reconnaître vilaine sorcière.

C'est ainsi que Koto Souleymane l'appel parce que c'est la femme de son grand frère et aussi lorsque qu'il ont quitté le village pour Conakry pour se débrouiller à ce moment Koto Souleymane n'était qu'un simple lycéen donc djan Binta l'a soutenu et s'est occupé de lui comme une mère l'aurait faite pour son enfant c'est pour ça qu'il a beaucoup d'estime pour cette dame. Djan Binta la pauvre elle comprend rien en français même bonjour si on l'a parle français elle pense carrément qu'on l'a insulté où l'on n'est entrain de la critiquer mais n'empêche malgré elle comprend rien elle réveil c'est enfants très tôt le matin pour qu'ils révise leurs leçons et s'assure de s'asseoir là à les écouter et à les surveiller gare à l'un d'entre eux de se taire c'est le fouet qui va parler.

Koto Ousmane : j'étais dit Binta que personne ne t'a insulté ça signifie première femme. Vous pouvez arrêter vos chamailleries pour qu'on y aille vous êtes des enfants des fois vous devenez insupportable à la fin ( il le disait avec tout son sérieux)

Koto Souleymane : c'est compris grand père j'espère tu vas n'a pas oublié tes verres correcteurs j'ai vais là-bas pour mangé et non pour ramasser les gens avec toutes cette nourriture je sens que je vais me régaler.