🌹 Partie 19🌹

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Bonne lecture :📖

Mon mari était là devant moi on était tous dans le jardin de l'oncle. décidément il s'attendait pas à me voir ici il me lançait des regards qui disait " que est ce que tu fais ici "mais j'avais pas son temps je préférerais fixé l'autre côté du jardin ou peut être qu'il me fait tellement peur que j'ose pas le regarder droit dans les yeux. Après les interminables salutations avec l'oncle Tidiane il est rentré dans le vif du sujet.

Oncle Tidiane : mon fils si j'ai demandé à ce que tu viennes c'est qu'il y a quelques choses de grave.

Karim : na'aam oncle je vous écoute.

Oncle Tidiane : ma fille m'a fait part que tu veux plus la laisser poursuivre ces études est ce vrai ??

Karim : tout à fait elle n'a pas tord.

Il était plus respectueux que d'habitude je reconnais pas cet homme assis devant moi.

Oncle Tidiane : et cela pourquoi ?? Parce que c'était la seule condition de votre mariage et nous savons bien tout les deux sans cette condition elle n'allait jamais accepté de se marier avec toi. Pourtant tu avait juré devant tout monde que tu acceptait la condition.

Karim : vous aviez parfaitement raison mon oncle. J'avais dit qu'elle allait poursuivre ses études. Mais les temps sont durs actuellement c'est à peine si j'arrive à m'occuper des charges de la maison elle même elle le sait elle aurait dû me comprendre. mais l'épouse indigne qu'elle est ne le fera pas. je travaille plus donc je n'ai pas ou trouver l'argent pour financer ses études elle n'a qu'à se contenter de ce qu'elle a appris jusqu'ici.

Mon oncle : je t'ai écouter mon fils et sache que je ne prends partie pour personnes vous êtes tous les deux mes enfants mon sang. Mais je te permet pas d'insulter ta femme devant moi et que ça soit la dernière fois que tu la dénigre en public.

Karim : c'est compris mon oncle.

Oncle Tidiane: bien c'est tout à fait normal que tu ne travailles pas ça peut arriver à tout le monde de perdre son emploi. Mais sache que quelques soit la situation tu dois prendre soin de ton épouse le mieux que tu peux. Tu n'es pas obligé de lui payer ses études on comprend que tu en as pas les moyens mais il y a les écoles publiques qui sont là tu peux l'inscrire pour qu'elle puisse
poursuivre ces études sans que tu ne payes grand chose.

Karim : c'est compris mon oncle je verrai de mon mieux pour l'inscrire le plutôt possible.

Oncle Tidiane: c'est bien et toi ma fille
J'espère qu'aller à l'école ne vas pas t'empêcher de remplir tes devoirs d'épouse et t'occuper de lui comme il faut ??

Moi : oui mon oncle je n'y manquerai pas je ferai de mon mieux.

Oncle Tidiane : je compte sur vous pour faire de votre mariage une réussite.

Nous : inchallah.

Alhamdu'lillah au moins il y a quelqu'un qui peut lui faire entendre raison j'étais surprise mais je préfère attendre qu'il agisse pour pouvoir croire que le problème est réglé. l'oncle nous donner plein de conseils à chacun de nous et nous a fait plein de douas il était déjà 18 heures donc on a demandé la route on s'est dit au revoir avec l'oncle et toutes sa famille j'étais ébahi la personne qui était à côté de moi c'était complètement métamorphosé et tenez vous bien pour la première fois il m'a tenu la main on marchait main dans la main le temps que nous sortions de la cour de l'oncle fallait voir son sourire qui ressemblait plutôt à une grimace. Il m'a ouvert le portail pour que je sors en premier la galanterie qui n'était que de courte durée lorsque nous sommes arrivé derrière la cour il a tracé sa route et s'est engouffré dans un taxi comme si on s'était jamais connu sans se soucier si j'avais mon transport ou pas en plus le crépuscule approchait il menaçait aussi de pleuvoir on était à la fin du mois de septembre j'ai galéré pour avoir un taxi il a fallu que je marche devant deux carrefour avant que je n'ai un taxi je suis arrivé à sangoyah( c'est le nom du quartier où nous habitons) à 20 heures il y avait pas de courant dans le quartier tout était sombre il pleuvait beaucoup on voyait personne au dehors j'avais eu peur qu'il m'arrive un malheur mais alhamdu'lillah je suis rentrée saine et sauve. Apparemment la porte n'était pas fermé je suis rentrée il y avait qu'une torche qui illuminait la chambre monsieur mon mari m'attendais impatiemment sur une chaise j'ai fait comme si je l'avais pas vu pour aller me débarrasser de mes habits qui était mouillé j'étais tellement épuisé mais c'était sans compter sur lui il avait quelque chose derrière la tête il a fermé la porte à clé et m'a propulsé contre le mur comme un ballon j'ai cru que ma colonne vertébrale c'était briser tellement j'avais mal j'ai rien vu venir il me donnait des coups de poing partout sur le corps je pouvais rien faire face à lui à part pleuré et le supplier d'arrêter il me répétait sans cesse que l'avais humiliée devant notre oncle donc qu'il allait me punir pour ça il m'avait battus comme un animal il me jetais tout ce qui lui passait pas la main que ce soit les assiettes ou les verres j'ai cru qu'il allait en finir avec ma vie pendant ce temps djan Binta et son mari frappait à la porte pour lui supplier d'arrêter de me battre après des heures de bastonnade il n'était toujours pas satisfait il m'a déchiré les habits et a abusé de moi sans aucune once de pitié à mon égard pourtant il était tout à fait conscient il n'était pas du tout ivre après qu'il est fini de satisfaire sa besogne il m'a amèrement sortie c'est mot de sa bouche.

Personne Ne Sait Se Que L'avenir Nous RéserveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant