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Chelou votre pote.
...
Pas longtemps après je me suis rendu au travaille.
J'essayais de paraître normal mais j'en avais vraiment marre, je souffrait de ce manque.
Ma mère allait peut être mourrir, Selyan est en famille d'accueil et la pourriture qui me sert de père je ne l'ai pas revu depuis.
J'ai une collègue à moi de nom de Oriane, je ne vais pas vous mentir mais elle est assez bavarde.
Oriane: Et t'as vu le papi la bas il m'a demandé des cigarettes et je lui ai dis que c'était pas ici qu'il fallait en acheter mais il ne m'a pas écouter et-.. attend, tu m'écoute Nawel ?
Moi: Oui oui continue.
Oriane: Ducoup je disais...
Le soir j'attendais juste d'aller me garer dans le parking, chaque jours j'attendais ce moment avec impatience.
C'était une longue journée comme les autres.
À la sortie du travaille il faisait nuit, après rien de si étrange étant donner qu'on est en Hiver.
J'ai marché jusque l'arrêt de metro car ce jour là je n'avais pas ma voiture.
Je me suis posé en attendant le métro quand une voiture s'est arrêté face à moi.
J'ai vu la fenêtre se baisser, cette voiture la, je la connais...
À l'intérieur, il n'y avait personne d'autre que Iyed.
-Vien monte.
Moi: je rentre en métro.
Il a soupire puis a repris le parole.
- J'vais pas me répéter 2 fois Nawel.
Je me suis levé puis je suis monté côté passager.
Après tout j'en avais un tout petit peu envie aussi...
-C'est pas trop tôt.
Je l'ai regarder grave mal, il a du sentir que je le regardait.
Il a rit légèrement.
-C'est bon je rigole avec toi.
Je me suis mise à sourire comme une mongole.
Moi: Tu me dépose chez moi ?
Il m'a regarder une fraction de seconde puis s'est reconcentré sur la route.
-Pas maintenant, il est encore tôt.
Je voulais lui dire de me dépose chez moi mais j'ai préféré l'écoutait, je lui faisais totalement confiance.
Moi: On va où alors ?
Il a laissé paraître un petit sourire mais ne m'a pas répondu.
En vrai je m'en fichais totalement d'où on allait, j'étais en train de contempler sa beauté, c'est fou d'être aussi beau.
Il a pris la départemental puis à commencer à rouler de plus en plus vite.
Au bout d'une trentaine de minute il a repris une route normale puis a commencé à faire des petit tours en roulant tranquillement.
Je me suis alors mise à fixer ses mains, il en avait une sur le volant et l'autre sur la boîte de vitesse.
Moi: On est bientôt arrivé ?
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Nawel- Les yeux d'un amour sincère..
RomanceParfois, il suffit d'un regard pour changer une vie. Histoire réelle. Couverture faite par @iamlaysaold. Si tu passe par la 🫶🏻🫶🏻