Nawel- Les yeux d'un amour sincère..

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Et voilà que j'étais retombé dans son emprise

...

À l'hôtel:

Moi- Iyed, je veux partir d'ici..

-Part, qui t'empeche ?

J'ai soupiré.

Moi- Reste tout seule alors.

Je me suis lever puis j'ai regroupé  tout mes affaires, il ne réagissais pas, ce qui m'énervait.

Je pliais mes affaires, à contre coeur.

Je voulais partir mais quelque chose me retenait.

Dans tout les cas, l'amour n'apporte que des problèmes.

-Tu vas vivre où ?

A ton av-..

-Chez Marco.

Mince, qu'est ce qui m'a pris.

Il était sur le lit, il posa le coussin sur sa tête.

Moi-Puis lui au moins, il ira pas baiser des prostitués.

-Marco en lui même c une pute.

Il m'a énervé.

Je suis sorti en claquant la porte puis je me suis dirigé vers la sorti, je me retournais tout le long de l'allée pour voir si il était pas là.

Il ne l'était pas, il se contre-fiche de ma présence visiblement.

J'ai pas envie de passer pour la personne qui veut être le centre de l'attention, ou chercher les compliments mais cela m'a vraiment blessé.

Je me suis posé sur un banc, il faisait nuit, j'ai sorti mon téléphone quand je senti une présence.

Marco.

Marco- Salut !

Je me tourna vers lui, j'étais épuisé.

Moi- Comment tu vas ?

Marco- Super, qu'est ce que tu fais dehors à cette heure ci?

Je ne voulais pas en parler, encore moins à lui.

Moi- Mon séjour à l'hôtel s'est terminé et je n'ai pas de moyen de transport pour rentrer chez moi.

Je l'ai vu poser sa main sur son menton, il devait réfléchir.

Je l'ai vu pointé le doigt en l'air en souriant.

Je vous jure que cet homme c'est une plaie, on aurait dit un robot.

Marco- Je peux te déposer en moto si tu veux, il fait un peu froid mais rien de mal.

J'ai souris.

Moi- Si sa ne te dérange pas, je ne serais pas contre.

On est monté sur sa moto et m'a prêter un casque, je lui a donner l'adresse du parking où on avait l'habitude de se garer moi et Iyed, ma voiture se trouvait la bas.

Il me déposer, on se fit la bise puis il quitta les lieux.

Je suis retourné dans ma voiture, côté conducteur.

J'ai fermer les yeux et poser ma tête sur mon dossier, quand je senti son odeur.

- C'est pas trop tôt.

J'ai failli faire une crise cardiaque en entendant sa voix, qu'est ce qu'il fait ici.

Je n'ai pas oser parler, j'étais juste paralysé devant lui.