L'effet papillon

Adrien dit ses premiers mots partie 2

Note de l'auteur :Les dates étant particulièrement importantes, je me permets de vous rappeler que les événements relatifs aux cinq premières saisonsse sont passés de septembre 2015 à juin 2016. J'ai choisi cettedate, car c'est l'année de sortie du dessin animé.

Cela faisait sixmois maintenant qu'Adrien était né et il se dit qu'il étaitpeut-être temps de prononcer ses premiers mots. Il hésitait encoreà informer ou non son père de son état. Du côté pour, c'étaitun homme riche et puissant au ressource presque illimité qui luiserait utile pour comprendre sa situation. Maintenant, ce n'étaitpas non plus le père de l'année, il était toujours occupé etlaissait le personnelle de maison s'occuper de lui. Cela restaitquand même un être intéressant à étudier et à observer.

Il finit par enconcevoir une certaine fascination pour le personnage. Et comme, iln'avait rien de mieux à faire, il en vint assez naturellement àle stalker. Enfin dans les limite ou ses capacité extrêmementlimité de bébé, le lui permettait, car après tout lorsqu'onfaisait quatre-vingt centimètre le bras levé une porte ferméreprésentait une prison de laquelle, il était impossible des'enfuir.

C'est de cettefrustration qu'il découvrit qui lui fit prendre conscience de sespouvoirs. Alors qu'il était enfermé dans sa chambre d'enfant,il se dit que la vie d'un bébé n'était pas très différentede la vie qu'il avait dans sa vie antérieure. Enfin au moins, iln'avait pas à se taper les cours de chinois, d'escrime et depiano. Mais d'un autre côté, il avait été Chat Noir, un hérosque Gabriel Agreste en dépits de toute son autorité ne pouvaitentraver. Il lui arrivait donc parfois d'allé se balader sur lestoits de Paris. C'était les seul moments de sa vie d'avant ou saliberté n'était pas contrainte. Il y repensait souvent avecnostalgie.

Et c'est durantl'une de ses rêveries qui lui était devenue coutumière que legarçon découvrit ses pouvoirs. Lorsque cela arriva, celui qui étaitautrefois Adrien se demandais si un jour, il serait à nouveau unchat vagabondant sur les toits de Paris. Lorsqu'il fut sorti de sarêverie, il se rendit compte qu'il s'était transformé enchaton.

Un instant surprit,il ne fut pas décontenancé. Il se dit qu'il devait faire un rêveconscient, c'est-à-dire un rêve ou l'on avait conscience d'êtredans un songe. Cela lui était déjà arriver dans sa vie passé.Adrien considérait que c'était le seul moyen que son esprit avaittrouvé de lui accorder un moment de liberté. Le garçon avaittoujours considéré cela comme un cadeau rare qui se devait d'êtresavourer sans délai et au maximum, car on ne pouvait pas savoirquand le réveil surviendrait.

D'un bon, ilsauta par-dessus les infranchissables barreaux de son berceau. Puis,comme à l'époque où il était un héros s'enfuit par lafenêtre et alla se promener dans le quartier. Il se trouvait dansune vaste propriété dont le jardin ressemblait davantage à ungrand parc voir à une petite réserve naturelle. La propriétéétait gigantesque et aurait fait passer le manoir des Agreste pourune maisonnette. En s'éloignant des sentiers et en s'enfonçantdans les bois, il s'était un peu perdu et avait crapahuté pendantdix minutes avant de trouver un cours d'eau qu'il avait vu plutôtprès des abords de la maison. En suivant, le bois, il sorti du boiset arriva à un pavillon sous lequel le son père et d'autre adultediscutai.

Même si ce n'étaitqu'un rêve l'occasion était trop belle pour ne pas en profiter.Aussi discrètement que possible, il se rapprocha pour écouter cequ'il disait. Cependant, quelque chose au plus profond de son être- Son instinct félin, peut-être - le fit hésiter etl'avertissait que s'il s'approchait trop près de ce kiosqueles cinq adultes le repéreraient. Il eut beau se raisonner en sedisant que cela n'avait aucun sens et que même s'il se repérait,il n'avait aucune raison particulière de se soucier outre mesurede la présence d'un chaton qui s'était égaré dans lapropriété, il ne put s'approcher davantage. Il avait déjàressenti ce genre de sensation lorsqu'il était le porteur duMiraculous du chat -même si cela n'avait jamais été aussi fort-et cela lui avait souvent été salutaire.