nous passons l'heure suivante à traverser les épais et ombragés qui recouvrent la ville, en rentrant lentement chez nous. À peine un mot est prononcé par l'un ou l'autre de nous pendant que nous avançons, s'arrêtant chaque fois que nous entendons une sirène au loin. Au moment où nous trébuchons à travers les broussailles et atterrissons dans notre jardin, je suis couvert d'éraflures et de saleté. amy, pour sa part, semble en grande partie indemne. Mais bien sûr qu'elle l'est.
Les lumières sont toutes éteintes alors que nous pénétrons sur la pointe des pieds dans la maison de mon enfance, une maison Tudor majestueuse mais relativement modeste. Papa et Deborah doivent être endormis maintenant.
Il est, après tout, plus de deux heures du matin. J'espère que papa ne posera pas trop de questions sur ce que je fais à la maison, le matin je lui ai dit que je dormirais chez Riley. Mais il n'est pas vraiment du genre à surveiller, et je doute que Deborah ait encore l'intention de garder un œil sur amy. Avec un peu de chance, nous serons en sécurité.
Elle et moi nous glissons par les portes de service et montons péniblement l'escalier recouvert de moquette, esquivant l'escalier grinçant, arrivant enfin au palier du deuxième étage. Il y a trois chambres dans la maison de mon père: la chambre principale juste à côté du palier, que lui et Deborah partagent maintenant, et deux pièces plus petites de chaque côté du couloir. Ma chambre est en bas à droite, celle d'amy est à gauche elle ne prend même pas la peine de dire bonne nuit avant de se détourner et de se glisser dans sa chambre.
Avec un soupir, je regagne mes propres quartiers à l'autre bout du couloir.
Fermant doucement la porte derrière moi, je me laissai tomber sur mon lit, enfouissant mon visage dans l'oreiller moelleux et luttant contre l'envie de crier. Je ne peux pas faire le tri dans tout ce qui s'est passé entre nous ce soir. Entre les moments tendus pendant Seven Minutes of Heaven et sa caresse accidentelle mais torride après que je sois tombé du treillis, je suis totalement perdu. Ce soir, c'était la première fois que nous nous voyions en dehors de l'école et de la maison depuis que Deborah et elle avaient emménagé. Et c'est certainement la première fois que quelque chose d'aussi.... chargé se passe entre nous.
Je me retourne sur le dos, fixant le plafond. Les étoiles qui brillent dans le noir que j'élevais quand j'étais enfant sont toujours suspendues au-dessus de ma tête, malgré mon statut de quasi-adulte. Avec un pincement au cœur, je me rends compte qu'elle et moi sommes condamnées à nous séparer une fois que nous aurons dix-huit ans et que nous aurons terminé nos études secondaires. Je ne saurai jamais ce qui aurait pu se passer entre nous, si nos parents n'avaient pas tout gâché en se mettant ensemble. Là encore, elle n'aurait probablement jamais appris mon nom sans eux. Donc je suppose que je devrais être un peu reconnaissant. Insistez un peu.
Sachant que je ne m'endormirai jamais avec toute cette tension accumulée à l'intérieur de moi, me retourne et j'ouvre le du haut de ma table de nuit. Lá, caché parmi un fouillis de maquillage et de bijoux, se trouve un minuscule appareil déguisé pour ressembler à un tube de rouge à lèvres. Son objectif réel est beaucoup plus conforme à ce dont j'ai besoin en ce moment.
J'appuie sur un bouton caché de la petite balle et souris alors qu'elle prend vie. Mon vibromasseur fiable le meilleur petit ami à piles qui soit. M'allongeant, je descends le vibromasseur entre mes jambes, le glissant sous la culotte en dentelle qu'amy tenait dans ses mains il n'y a pas quelques heures. La simple pensée de mains larges et capables suffit à me faire jouir presque immédiatement.
Ravalant un faible gémissement, j'arrive dans ce string en dentelle noire, avec le visage d'amy suspendu dans mon esprit tout le temps.
J'espère que ça ne rendra pas le petit- déjeuner trop gênant, me murmure-je, savourant la vague relaxante qui m'envahit alors que je plonge dans un sommeil profond et satisfait.
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ma demi-sœur et moi ( adaptation )
Romancecette histoire ne m'appartient pas s'abstenir de toutes copies éventuelles