Désolé pour les fautes. Je n'ai même pas relu, car j'ai un examen à préparer. Merci de votre compréhension.« Chapitre : Didier aux Mbourois et Mbouroises »
Allez, en avant ! Attachez bien vos ceintures, l'avion décolle !
.......... Je sais que tu vas rencontrer Mutaib, et je sais aussi que tu ne l'aimes pas. Maintenant, tu as deux options : soit tu me dis pourquoi tu fais tout cela, soit je t'accompagne. C'est à toi de choisir....,,,.....
—Chaya lamtoro sall nop yiy Saax si bop nite pour mouy dégue fane la nék si yaw si sa bop wala si say tank (Chaya Lamtoro Sall, où sont exactement situées sur toi les oreilles qui te permettent d'entendre, sur ta tête ou sur tes pieds ?) Écoute-moi bien aujourd'hui : je suis d'une grande classe et je ne me rabaisserai pas à discuter avec toi.LAISSE-MOI TRANQUILLE , Chaya Lamtoro Sall. Pour ta gouverne, cela ne me dérange absolument pas que tu m'accompagnes ; je te présenterai comme mon petit frère, puisque tu aimes être mon petit chien.
—Cette classe que tu prétends avoir aujourd'hui, comporte-toi en conséquence. À présent, c'est à toi de m'écouter. Est-ce réellement ce que tu désires, que je te laisse partir ? Très bien, je vais te laisser, je vais t'oublier, je ferai comme si je ne t'avais jamais connu. Mais avant cela, tu vas me regarder droit dans les yeux et tu vas me dire, sans vaciller, que tu ne ressens absolument rien pour moi, que tu ne vois rien de spécial en moi. Alors seulement, je m'effacerai de ta vie.
Je l'ai observée du coin de l'œil, cherchant à capter la moindre réponse à travers son regard. Ses expressions la trahissent : elle étouffe sous la pression. Ses mains tremblent légèrement, et elle n'ose plus me regarder. Inconsciemment, elle joue avec ses doigts, un geste révélateur de son stress et de son manque de confiance. Après quelques instants, elle relève la tête avec timidité, me fixant de ses yeux où une multitude d'émotions se mêlent.
—C'est compliqué c'est comp..li...qué.., Lamtoro, c'est vraiment compliqué. L'amour seul ne suffit pas, je te l'ai déjà dit et je te le répète : je ne suis pas prête à aimer. Les circonstances ne sont pas favorables, et mon cœur n'est pas disposé à s'engager dans une telle aventure
—Qu'est-ce qui t'empêche d'avancer ? Est-ce parce que tu as vu Minus se décrocher des procureurs ? Est-ce une question d'argent ? Putain J'ai eu la naïveté de croire que tu étais différente. Je voyais en toi quelqu'un de spécial, j'avais envie de te protéger, de te faire sourire, de t'apporter le bonheur. Je voulais t'élever au rang des femmes indépendantes et éclatantes. Mais décidément tu n'en vaux pas la peine. Descends de ma voiture, immédiatement.
Paff.
Une gifle sur ma joue.
—Pourquoi es-tu si impulsif, Lamtoro ? Pourquoi tires-tu des conclusions hâtives ? Ai-je l'air d'une profiteuse ? Ai-je l'air d'une femme matérialiste ? Tu veux savoir ce qui m'intéresse chez Mutaib ? Au-delà de l'amour, c'est la haine. Certaines personnes s'unissent par amour, mais moi, je vais m'unir à Mutaib par la haine. Je ne ressens rien pour lui, tout ce que je souhaite, c'est qu'il paie sa dette. Je veux rétablir une vérité, honorer une personne, faire tomber les masques et révéler la lumière. Voilà pourquoi Mutaib m'intéresse. Quant à Minus, ne t'avise plus jamais de le traiter de matérialiste. Elle n'est pas comme cela, elle est mon amie, et tu le respecte.
Quant à mes sentiments pour toi, oui, je t'aime. Oui, j'ai des sentiments pour toi. Si je ne suivais que mon cœur, je te ferais l'homme de ma vie. Mais le problème, c'est que je suis guidée par ma raison, et je préfère suivre ma raison plutôt que mon cœur. Et sais-tu ce que ma raison me dicte ? C'est de poursuivre cette mission et d'oublier les amours. Maintenant que tout est clair, je ne veux plus te voir.
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La génération 2000
RomansaMarie Guylaine Cisse est une professeure de psychologie, très belle, élégante et intelligente, dotée d'une confiance en soi inébranlable, d'audace et d'un esprit de conquête qui constituent son unicité. Pour Marie Guylaine Cisse, personne n'appartie...