chapitre 11

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-Donc, pour résumer, l'odorat, pour tout ce qui est accident de la route, vue, pour littéralement conduire, toucher, pour le volant, l'ouïe pour entendre la radio, et le goût, à déterminer

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-Donc, pour résumer, l'odorat, pour tout ce qui est accident de la route, vue, pour littéralement conduire, toucher, pour le volant, l'ouïe pour entendre la radio, et le goût, à déterminer.

Oscar hoche la tête.

-C'est ça.

-Le goût, c'est pour boire l'eau de ta gourde.

Il rit.

-Ça m'aide pas à gagner la course. Tu demanderas à Lando, s'il boit.

Nour soupire.

-Comme si rouler à 300 n'était un assez grand danger, il décide de se déshydrater... c'est la sélection naturelle, au bout d'un moment, tu sais.

Oscar éclate de rire.

-Vous vous êtes fâchés ?

La jeune femme secoue la tête.

-Non. On se voit pas trop, il est occupé avec George Russell, et moi avec toi, donc...

Elle hausse les épaules avant de froncer les sourcils, et Oscar hausse un sourcil au même moment où les yeux de Nour s'arrondissent.

-Pas comme ça ! Genre, je déjeune avec toi et il déjeune avec George.

Oscar sourit.

-J'avais compris, Nour Aït Idir.

-Puis c'est dans notre nature de se bully. Je perpétue la tradition, rien de plus.

Le pilote hoche la tête et plisse les yeux en voyant Daniel au loin faire des grands signes avec ses bras. Nour semble s'en rendre compte, puisqu'elle se retourne et pouffe de rire.

-Je sais pas ce qu'il essaie de te dire mais il y met beaucoup d'énergie.

Oscar hausse les épaules, vraiment confus. Si Lando se moque ouvertement de son intérêt pour Nour dès qu'il les voit ensemble, Daniel n'en sait rien, il essaie forcément de lui dire autre chose.

-Ah, lance soudain Nour. Il veut te croiser pour te dire un truc, non ?

-Oh, oui, t'as raison.

Il répond un pouce en l'air, et Daniel sourit, visiblement satisfait, avant de partir.

-Je vais te croire, puisqu'il valide mon pouce en l'air sans plus de débat.

-Je m'en souviens. Il avait déjà dit ça l'autre fois.

Oscar soupire.

-Il pourrait passer chez Mclaren. Ce n'est pas comme s'il ne connaissait personne dans le coin.

-Je suis d'accord avec toi, Oscar Piastri.

-Merci, Nour Aït Idir.

Le repas reprend, et elle finit par soupirer.

Certitudes » PIASTRIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant