Chapitre 6

1.2K 53 3
                                    

Olivia

Je suis au bureau toute la journée et après l'incident avec Bailey, je préfère l'éviter au moins pour la matinée.
Un autre groupe a pris le relais.

Mais Bailey, Luna et Mathias sont là pour le sport et le nettoyage.

Bailey s'occupe des camions avec Luna tendis que Mathias lui, a préféré choisir le poste d'accueil.

Je sortis de mon bureau, une envie pressente m'atteins.
Dans le couloir j'entends des rires et étant intriguée, je me dirige vers les camions.

En apercevant Bailey rire au éclats et Luna tremper jusqu'à l'os, un sourire se posa sur mon visage.

Voir Bailey aussi solaire me donne chaud au cœur.

_ Tu est irréprochable Bailey ! Hurle Luna riant de plus belle, Bonjour, capitaine.
_ Bonjour Crawik, Laurens. Dis-je en faisant un signe de tête

Cette dernière, me tend un léger sourire, remettant sa brassière en place, elle sembla gênée de ma présence.
Me voilà déçu.

Je rejoins donc les toilette, pour qui j'étais venu au dépars.

Après 2 interventions avec l'équipe de relay, le soir arriva plus vite que prévue, Luna, Mathias et Bailey devaient être partie depuis bien longtemps.
Enfin c'est ce que je pensée en voyant Bailey affaler sur un fauteuil.

Je venez à peine de fermer mon bureau, et d'informer à l'équipe de garde que je partais.

_ Laurens, rentrez chez vous.
_ Je vous attendez ! Dit-elle en se levant
_ Que me vaut cette honneur ?
_ Rien de bien gravissime, hier, j'ai oublier ma veste dans votre voiture.

Cette même veste que j'ai reniflée en boucle avant de rejoindre ma demeure.
Je l'avais laisser la où elle étais et heureusement d'ailleurs.

_ Je n'ai pas oser vous embêter ce matin pour vous le dire, suivez-moi.

Je mens à la perfection, une bonne qualité qui peux vite devenir un défaut.
Nous regagnons ma voiture.

_ Veux-tu que je te dépose ?
_ Volontiers.

D'accord, j'essaye de gagner du temps à rester au près d'elle mais j'espérais qu'elle me parle.
Elle s'installa, moi de même.

On aimes les trajets en silence. (C'étais ironique)

_ Bailey, tout va bien ?
_ Bien sûr, et vous tout va bien ?
_ Comme sur des roulettes.
_ Parfait, alors.
_ ouai, parfait.

Dit donc, qu'est-ce qu'elle peux m'agacer des fois.

_ Bailey ?
_ Hmm ?
_ Parle moi.
_ Parler de quoi ?
_ Tu te fou de moi ?
_ pas du tout, tu veux parler de hier ?

Soudain blanc totale, je n'ose plus lui répondre espérant qu'elle continu pour moi.

_ Je t'ai embrasser sans faire exprès, c'est pas un drame, je le referais sans hésiter !
_ Je parler de t'a crise d'angoisse.
_ Ah.

Les papillons étaient là, mais dieu sait que je déteste montrer mes émotion, me cacher derrière une armure me sembler évident.

_ J'en ai déjà fait pas mal !
_ Tu le referais sans hésiter ?

Étonnement, nous avons prononcer ces deux phrase en même temps.
J'étais tellement gênée que mon regard était virée droit devant.

_ Je ne dit plus rien. Annonce t-elle en pinçant ses lèvres
_ Moi non plus. Soufflais-je

Nous arrivons à un carrefour, évidemment, comme je porte la poisse, le feu rouge est pour nous.

_ Ne descend pas, nous somme à un feu rouge et en plein milieu d'une route à quatre voies. Dis-je faisant référence à hier

Bailey éclate de rire, j'avoue que c'était pour faire tomber la tension, j'ai réussie c'est le principal.

_ T'inquiète, la prochaine fois tu me laissera dans mon fauteuil en piteuse état. Dit-elle reprenant son sérieux

aïe

Mes sourcils froncé, je me tourne vers elle, Bailey sembler s'amuser. Mais ça ne me faisant pas du tout rire.

_ Détend ton string, et évite de froncer t'es sourcils ou tu aura des rides. Dit-elle en les pointant du doigt
_ Tu est insolente, Bailey.

Elle ricane puis se replace, tendis que je démarre au feu vert.

Je ne suis pas une psychopathe mais j'avais retenu son adresse, juste au cas où.
Arriver devant, Bailey se détache, n'oubliant pas sa veste.

_ Chinois, ça te dit ? M'annonce t-elle
_ Tu me propose un rencard ?
_ Dans un chinois, évidemment, gare toi sur le parking, je t'attend.

Je ne pouvais pas refuser, je ne le voulais pas, j'ai ce besoin d'être avec elle, Bailey m'apporte quelque chose de nouveau, du piment à la vie.

Après avoir garer ma Mercedes, je la rejoins sur le trottoir, elle m'indique que le resto se trouve au bout de la rue.

Sur la route, elle me raconte que c'est son préféré de tous, je contante de le retenir et de l'écouter attentivement, ses cheveux blond vol dans tout les sens mais elle continuas, passant son bras en dessous du miens.

Trente minutes plus tard, je paye l'addition entière, la blonde n'avait pris que quelques sushi et quelques ravioles.

Nous sortons prenant un grand bol d'air frais, puis nous rejoignons l'entrée de son appartement.

_ Merci, pour le chinois. Dis-t'elle se rapprochant d'un pas
_ Il n'y a pas de quoi.

J'avais le sourire au lèvres, Bailey s'approchas encore un peux plus.

_ Je peux te faire un câlin ?
_ Si il n'atterrit pas sur ma bouche, bien évidemment.

Elle rigola et se Jetta presque dans mes bras, je l'entour des miens.

Bailey

J'enfouis ma tête dans son cou, inspirant son parfum qui sens étrangement le monoï.

_ Monoï ? Demandais-je
_ Bien trouver, cannelle ?

Je me retire d'un coup sec.

_ Personne n'a réussi à le trouver !
_ j'y suis addict, c'est peu être pour ça. Répond t-elle simplement

J'admire encore quelques instants sa beauté.

_ À demain, Olivia ?
_ À demain, Bailey.

Puis elle regagne sa voiture, j'étais sur un petit nuage.


A suivre...

DROWN { en correction }Où les histoires vivent. Découvrez maintenant