Chapitre 16

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bailey

Plus tard dans la soirée, après m'être changer avec une simple chemise et un jean, des coups surviennent à ma porte puis celle-ci s'ouvre.

_ J'ai fais des lasagnes, tu viens ?

Je ne répond pas, j'ai envie mais quelque chose me bloque.
Je me lève et la regarde en croisant les bras.

_ Bailey je t'en supplie, je déteste te voir silencieuse.

_ Je n'ai pas était assez claire ? Je ne veux plus que tu me parle.

_ Bien, si c'est pas des paroles que tu veux entendre, passons au gestes.

La brune s'approche de moi, me coinçant contre mon bureau.
Elle presse ses lèvres contre les miennes, cette sensation en bas de mon ventre reviens tendis qu'elle se colle un peux plus à moi.
À bout de souffle, nous nous écartons, ses lèvres rougies s'étire en un immense sourire.

_ Si tu croie qu'avec un bisou, tout va rentrer dans l'ordre, tu à tord, Regina.

Elle commence alors à déboutonner ma chemise mais je l'arrête juste avant la fin.

_ Le sex ne marche p-
_ tais-toi ! Me coupe t'elle en pressant encore plus fortement ses lèvres contres les miennes

Tout s'enchaîne vite, nos habits sont étaler sur le sol de ma chambre, étonnement porte un porte-jarretelle. Elle me pousse, je tombe en arrière sur mon lit.

_ Je rêve ou t'avait tout prévu ?

_ Je donne ma langue au chat.

Elle se met à califourchon, mes mains. s'amènent automatiquement à ses hanches.
Je l'embrasse avec passion et dévie des baisers humidifiers sur sa mâchoire et son cou.

Nous avons passer une nuit torride remplie d'excitation et de provocations.
Nous voilà rejoindre les bras de Morphée, encore trempée de nos ébats, ma tête reposant sur sa poitrine et ses mains venant faire de doux massage sur le haut de mon crâne.

C'est bien la première nuit où je n'ai pas eu de cauchemars.

Ayant oubliée de fermer les stores, la lumière du jour me réveille.
Je ne me suis pas réveiller ne serais-ce qu'une seule fois.
Je tacherais de gratifier Regina, pour cela.

Je dégage mes cheveux qui étaient devant mes yeux, encore dans le coaltar, des images de hier soir me reviennent en tête, je sourie bêtement.

Je relève la tête, espèrent pouvoir admirer le visage endormie de la brune.
Au lieu de ça je tombe sur deux yeux noisette me scrutant.

_ Bonjour, toi. Me susurre t-elle

_ Bonjour...

Maintenant gênée, j'essaye de cacher tout les possible parties de mon corps en dehors du drap.

_ Bien dormi ? Me demande t-elle

_ C'est de loin la plus belle nuit que j'ai passer.

_ Je suis ravis de l'apprendre.

Un rire nerveux sort de mes lèvres, la faisant ricaner.

_ Ça te dit, croissants et café ?

_ Absolument.

Elle quitte le lit, retirant la chaleur avec.
Mes yeux l'admire et imprime chaque petit bout de cette magnifique femme.

Elle enfile un peignoir en soie et en sort un pour moi de la même couleur.
Je l'enfile également sortant du nids douillet.

Nous regagnons la cuisine, mon regard suis Regina qui verse du café dans deux tasse à part égale.

une envie de me coller contre elle me viens en tête, sa chaleur me manque et étonnamment son corps aussi.

je me résigne quand elle se retourne, les deux tasses en main et qu'elle s'approche de moi pour effectuer un doux baiser sur ma joue.

mon dieu, cette femme va causée ma perte.

Nous nous installons dans le canapé, cette fois c'est un silence apaisant qui s'installe.

_ Depuis que je suis petites, je n'arrête pas de faire des cauchemars, en particuliers ou ma mère est en premier plan, je n'ai jamais vraiment réussi à les faire partir, je voudrais te remercier, probablement que tu n'a strictement rien fait, mais hier soir je n'en ai pas fait, même pas un seule, alors merci, Regina.

_ J'ai appris il y à longtemps, pour faire fuir ses cauchemars, il suffis d'une présence apaisante. Bailey, cette après-midi j'aimerais te présenter quelqu'un, comme tu le sait, j'ai deux vies, mon travail et ma vie personnelle.

_ Je t'écoute Regina, désormais, plus rien ne peux me choquer après avoir appris que tu était sous une fausse identité et que tu était ma garde du corps attitrée. Dis-je en ricanant

_ Je suis maman, j'ai un petit garçon, âgée de sept ans.

_ Et le père ? Dis-je soudainement

_ Ce n'est que ça, qui te préoccupe ? Dit-elle après un léger rire

_ Regina ? J'insiste

_ Il n'en à pas, tout simplement parce que je l'ai adopté.

_ Comment s'appel t-il ?

_ Henry... Henry Mills.

_ Et bien... J'espère qu'il va m'adorais tout autant que toi tu m'adore.

_ Pas du tout, moi je t'aime.

Bouche bée et troublée par ses deux derniers mots, je laisse tomber mon croissant à terre.
Elle l'avait annoncer deux mots qui sembler difficile à mes yeux d'une facilité inconnue.

_ Et t'a mission ? Dis-je tout bas

_ Je l'ai échouée, je suis tomber amoureuse. Dit-elle jouant avec ses doigts

_ Moi aussi je l'ai échouée ma mission.

_ T'en avait une ?

_ Je m'étais promis de ne pas craquer pour la capitaine, au lieu de ça, ce matin je me suis retrouvée dans son lit.

_ Je t'en supplie, dit moi que c'est une façon de me dire que tu m'aime en retour ?

Je réalise ensuite que cette... Ma femme n'était pas patiente du tout.
Je m'approche d'elle, prenant son visage en coupe et lui offrant un doux baiser, qu'elle me rendis rapidement.

_ C'est plus claire ?

_ Je veux des paroles. Dit-elle croisant les bras

_ Tu vais réellement me forcer à te dire ces deux mots ?

_ J'insisterais jusqu'à la fin des temps si il le faut.

_ Je t'aime aussi, Regina Mills.

À suivre ...

DROWN { en correction }Où les histoires vivent. Découvrez maintenant