Point de vu de Jordan :
Je me réveille comme chaque matins puis pris mon téléphone. J'ouvre Instragam et remarque que Gabriel Attal m'a envoyé plusieurs messages. J'appuie sur la conversation et lis celle ci.
De : G.Attal :
Surveille ta folle de femme la prochaine fois. Elle est complètement taré. Hier soir, elle s'est pointé chez Rose et l'a menacé à ton sujet. Je ne serai pas intervenu à temps, elle aurait sûrement perdu la vie. Donc si tu veux que Rose reste en vie et en parfaite santé, éloigne ta vipère.Mon visage se décomposa. Comment avait-elle pu se rendre chez Rose ? Qu'est ce qu'elle avait bien pu lui dire ? Est ce que Rose allait bien ? Mon cœur s'emballa rien qu'à imaginer la scène. Elle a dû avoir tellement peur. Putain tout sauf Rose par pitié.
A : G.Attal :
Nolwenn n'est pas ma femme putain. Comment va Rose ??? Dit moi qu'elle va bien bordel. Je suis tellement désolé pour son comportement, je n'aurai pas cru qu'elle se serait pointé directement. Ce matin elle m'a montré une photo de Rose et moi et elle a complètement vriller jusqu'à me gifler. Dit à Rose que je suis désolé.Je n'y croyais pas. Nolwenn était folle à ce point là. Il fallait que je fasse quelque chose, Nolwenn était capable de se représenter chez Rose.
Je tape le numéro de sécurité du RN puis les appelle. Le téléphone ne sonne que deux fois avant que quelqu'un me réponde.
- Oui allô Monsieur Bardella que puis-je faire pour vous ? Me demanda la personne à l'autre bout du fil.
- Bonjour, j'aimerai que vos troupes aillent devant chez Madame Maréchal. Je souhaiterai une protection 24h / 24. Ne laissez personne accéder à la maison sauf Gabriel Attal et moi même. Merci, finissais-je.
- Euh Monsieur êtes vous sur de cela ? Je veux dire Madame la Première Ministre pourrait appelait de la sécurité par elle même, me dit l'homme.
- Vous n'avez pas à me poser de question, répondais-je sèchement. Je veux que vous vous rendiez sur place dès maintenant. Au revoir, saluais-je avant de raccrocher.
Il fallait que je la protège. Marine et sa nièce sont de vraies vipères.
2h plus tard, j'eu une réunion de dernière minute. J'arrive au QG, la tension était palpable, tous les regards rivés sur moi. Forcément, ils doivent tous être au courant de ma relation avec Rose, mais je reste impassible, le regard froid. J'avance jusqu'au salon, les bras ballants, Marine et Nolwenn se trouvaient sur le sofa un café à la main. Les deux femmes parlaient, on pouvait s'apercevoir qu'elles se posaient des questions.
- Bonjour, commençais-je sans les regarder.
Elles me répondirent puis Marine se lève et s'approche de moi les bras croisés.
- Tu savais que des soldats de notre parti surveillaient la résidence de Madame Maréchal ? Me demanda t'elle en cherchant toutes traces de mensonge dans mon regard.
Je reste naturel, rien ne pouvait se lire sur mon visage, j'étais très fort pour ce jeu.
- Non. Pourquoi voudrais-tu que je sois au courant ? Je dois prendre mes distances avec la Ministre, mentis-je.
Elle décroisa les bras puis lança un regard à Nolwenn, qui elle, avait encore du mépris envers moi.
- Jordan je sais ce qu'il s'est passé avec Maréchal et toi hier soir. Des photos ont fuités. Donc ne fais pas comme si du jour au lendemain tu l'avais oublié, me dit Marine.
- Et bas figure toi que si, mentis-je une seconde fois. Je me suis rendu compte de mon erreur, dis-je sans le penser. Donc si je te dis que je ne suis au courant de rien, c'est la vérité, puis je me retourne pour aller me prendre un paquet de bonbons qui reposait sur la table.
- Très bien, répondait Marine.
Nolwenn soupira et comme à son habitude, rajouta son grain de sel.
- En tout cas je me suis fait un malin plaisir à la menacer ce matin. Tu aurais vu sa tête, dit-elle morte de rire. On aurait dit un petit lapin maltraité ahahaha.
Pour m'éviter de faire ou dire une connerie je me dirige sur le petit balcon qui donnait sur la ville. Le soleil se coucher déjà, je n'avais pas vu la journée passée. Je soupire de colère. Cette femme me pousse à bout.
Je respire le grand air quelques minutes, m'apprêtais-je a rentrer à l'intérieur quand j'entendis le son de ta voix. Je me retourne directement, m'approchant de la rambarde.
Tu étais là, avec Gabriel. Tu étais souriante, débordante de bonne humeur, tu dansais et rigoler. Un vrai rayon de soleil. Je te regarde passait avec lui, main dans la main, vous étiez tout deux bien habillés. Tu portais une robe blanche qui épousait parfaitement ton corps de princesse et tu avais tes magnifiques cheveux long détachés. Mes yeux étaient rivés sur toi ne voulant plus te lâcher du regard. A ce moment là, une jalousie me parcourait, te voir aussi joyeuse avec lui, sans ma présence, cela me brisait le cœur. Je ne pouvais rien faire d'autre que de te regarder, j'étais destiné à rester à la case départ. Je devais le faire pour toi. Ma carrière comptait aussi beaucoup mais c'est, et ça sera toujours toi avant tout. Tu chantonnais, toute souriante, la mélodie de ta douce voix résonnait en moi. Puis tu t'éloignas sans même m'avoir vu. Je me sentais vide sans toi. Tu étais ma lumière.
Pour toi, je devais rester entre les griffes de Marine et sa nièce. Ma seule chance de t'épargner d'une chose irréversible.
- JORDANNNN, cria Marine me faisant sortir de mes pensées. La réunion débute alors ramène tes fesses et focalise toi, m'avertit-elle.
Je regarde une dernière fois le beau paysage éclairé par le somptueux couché de soleil, ton rire résonnait encore un peu. Je m'écarte du rebord puis fais demi-tour. Une longue soirée m'attendait et sans toi.
MESSAGE :
Et voici le chapitre n•12 !! J'ai mis du temps à le sortir car aujourd'hui je n'avais pas vraiment la motivation d'écrire mais je me devais d'en sortir un quand même !! Je sais il n'est pas très long mais j'ai essayé de faire de mon mieux !! Merciii pour tout encore une fois ;)
Plus que 8 chapitres avant la fin..
Bisoussss <333
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Politiquement Amoureux
FanfictionJordan Bardella est une figure politique jouant un rôle important en tant que président du Rassemblement national. Quant à Rose Maréchal, qui est la nouvelle Première Ministre, tête de la Renaissance, élue à la suite de la démission de Monsieur Atta...