Point de vu de Rose :
Je me réveille doucement puis observe mon entourage. Mais où suis-je ? Et pourquoi ? Je tente de me relever pour pouvoir avoir des réponses à mes questions puis une douleur aiguë longea ma jambe droite. J'abandonne vite l'idée de me lever et comprends que je suis dans une chambre d'hôpital. Je tourne la tête puis j'observe Gabriel qui était là, celui-ci dormait profondément sur le fauteuil situé à quelques mètres de mon lit. Cela devait faire un bout de temps qu'il était là, il avait les trois premiers boutons de sa chemise ouverts, ses cheveux décoiffés et il était déchaussé laissant apparaître ses chaussettes à motifs hamburgers, ce qui me fait rire.
- Putain, se réveille-t-il en paniquant. Oh Rose tu es enfin réveillé.. Soupire-t-il encore endormie.
- Doucement Gab tout va bien, lui assurais-je. Je viens de me réveiller il y a quelque minutes. Peux tu m'expliquer comment et pourquoi je me retrouve ici ? Lui demandais-je.
- Je ne sais pas non plus Rose. Hier après ton débat, tu m'as appelé en me demandant de venir te chercher, puis je t'ai retrouvé endormie, ta jambe était drôlement enflée ce qui explique ta douleur, m'assura Gabriel.
J'essayais de me souvenir ce qu'il y aurait bien pu se passer pour que Gabriel me retrouve dans un tel état, mais rien de me venait à l'esprit.
Gabriel me voyant réfléchir me dit :
- Ne force pas trop Rose, tu es encore fragile. Les médecins m'ont dit que tu aurais fais une chute de plusieurs mètres.
Je me refaisais la scène en boucle. J'ai étais au débat, puis celui ci prit fin. Mais il y a eu cette main qui m'a attrapé. Jordan.
- C'EST BON, m'écriais-je. Après le débat hier soir, Jordan m'a attrapé le poignet puis il m'a dit que rien n'était de sa faute et que je n'y étais pour rien non plus. Il me disait qu'il ne pouvait pas m'expliquer dans ses conditions, il pleurait, il s'est excusé d'innombrables fois, racontais-je la gorge serrée par les souvenirs douloureux. On s'est embrassé comme pour se dire adieu puis Nolwenn est arrivé. J'ai alors paniqué et je suis partie me caché dans l'arrière pièce.
Gabriel me tenait les mains, je tremblais, tous ses souvenirs, ce mariage dont Nolwenn parlait, je n'en pouvais plus.
- Doucement Rose, me dit Gabriel. Prends ton temps. Puis il déposa un baiser sur mes mains tremblantes.
Alors je poursuivis :
- Nolwenn lui a demandait avec qui il était. Puis elle a commençait à lui parlait d'un mariage, qu'entre eux c'était l'amour fou et que rien ne pourrait les séparer, arrivais-je à articuler entre deux sanglots. Je ne pouvais plus entendre ça Gab, c'était trop. C'était sois je sautais sois j'allais démolir cette pouffiasse. Alors j'ai sautais, puis je t'ai appelé et là suite est noir, je ne me souviens de rien, finissais-je.
Gabriel me rapprocha de lui puis m'enlace, je me sentais si bien mais si mal à la fois. Il me manquait.
- D'accords je comprends mieux pourquoi tu as chutais alors. Jordan va mal, il faut qu'on sache pourquoi, dit-il d'un ton assuré.
- Oui il va mal et il me brise le cœur, j'aimerai tellement l'aider mais il ne me dit rien. Je l'aime putain.
- Je te promet qu'on va tout faire pour l'aider Rose mais repose toi pour le moment, c'est important.
- Merci Gab.
Point de vu de Jordan :
Je venais de me réveiller, encore une nuit à ne pas fermer l'œil, pensé à tout, à elle. Je décide d'allumer la télévision pour visionner les informations. Puis je te vis, selon les journalistes tu étais tombé de plusieurs mètres, tu as étais transporté par Gabriel aux urgences. Je n'en revenais pas, mon cœur battait à la chamade, mes jambes commencèrent à trembloter, je jouais nerveusement avec mes mains, la culpabilité. Je n'aurais jamais dû te laisser seule.
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Politiquement Amoureux
Hayran KurguJordan Bardella est une figure politique jouant un rôle important en tant que président du Rassemblement national. Quant à Rose Maréchal, qui est la nouvelle Première Ministre, tête de la Renaissance, élue à la suite de la démission de Monsieur Atta...