Ensorcelée par le viking

Chapitre 1

Feyre devait être en train de se promener comme à son habitude dans la forêt qui entourait son village, mais elle venait de se prendre la tête avec sa grand-mère car elle se montrait trop curieuse vis-à-vis des vikings qui avaient envahit les côtes non loin de leur petit village.

Malgré les réprimandes de la vieille femme, elle ne pouvait s'empêcher d'être curieuse vis-à-vis de ces hommes et femmes qui semblaient si différents d'eux tout en étant si similaires, cela faisait une dizaine de fois qu'elle venait tout près de leur campement le soir une fois le soleil couché afin de les observer en secret.

Assise derrière les herbes hautes, elle prenait des notes de ce qu'elle voyait, décrivant à la perfection chaque geste qu'ils faisaient, elle noté même les détails de chaque personne du clan qui marchait devant ses yeux et lorsqu'elle rentrait chez elle, elle dessinait les traits afin d'avoir un portrait.

Sa curiosité aurait raison d'elle un jour, mais malgré cela elle se sentait captivé par se peuple qui venait de d'autres terres, des terres glaciales. Etait-ce pour cela qu'ils avaient décidé d'envahir les terres irlandaises ou étaient-ce pour faire des irlandais des esclaves comme les rumeurs disaient sur ce peuple.

Ces observations prouvaient le contraire, ce n'était pas un peuple si sauvage et sanguinaire, comme les villageois disaient, ils étaient très doués de leurs mains.

Les vikings étaient pratiquement autonomes, ils produisaient leur propre viande en élevant eux-mêmes les animaux dans de grandes fermes. Elle avait remarqué qu'ils avaient des vaches, des poulets et même des cochons. Ils partaient tous les matins et pêcher des centaines de poissons, elle le savait car elle avait appris à lire sur les lèvres.

De plus, ils cultivaient eux-mêmes également, leurs légumes et leurs plantes. Ils avaient un grand champ ou ils cultivaient des tomates, des patates, du blé et également des poireaux et toutes sortes de légumes qu'elle n'avait pas encore clairement identifié.

Elle les regarder avec tant d'intérêt que parfois elle avait l'impression d'être plus proche que des membres de son village, qui avaient plusieurs dit à sa grand-mère qu'elles devaient partir car étant toutes les deux guérisseuses les vikings ou même les chevaliers qui avaient prit de force plusieurs des terres autour de celles du village pourraient être intéressaient par leurs différents dons.

Depuis sa plus tendre enfance elle se rappeler des nombreuses disputes avec les villageois et sa grand-mère qui refusait toujours de partir, elle avait construit seule sa maison, tout en s'occupant d'elle alors qu'elle n'était qu'une enfant qui venait de vivre l'un des plus gros traumatismes de sa vie.

A seulement 2 ans, même si elle n'en avait pas vraiment de souvenirs clairs, elle avait assisté au meurtre de son père bien-aimé par sa propre épouse, cette femme avait était marié à son père par ses parents depuis leur adolescence.

Mais selon les dires de sa grand-mère, sa mère souhaitait avoir un meilleur style de vie, le style de vie paysanne ne lui convenait pas et elle n'aidait jamais son époux lors des tâches domestiques et lorsqu'il s'occupait des animaux ou de la ferme en général.

Sa mère avait tout de même accepté de faire 2 enfants rapprochés afin que les gens du village ou ils habitaient arrêtent de parler dans son dos, non, elle n'aimait pas son époux alors que ce dernier était tombé sous son charme. Très rapidement, son attitude aurait changé elle se serait rapproché d'un chevalier qui venait récupéré les pièces d'or en le nom de son seigneur.

Les villageois l'auraient alors rapporté à son époux qui ne pensait pas une seule seconde qu'une femme aussi belle pourraient le trahir de cette façon alors lorsqu'il rentra le soir il eu une conversation avec elle à ce sujet. Sa grand-mère restait vague quand à la suite de la soirée car en quelques heures à peine, son père était mort et leur maison avait prit feu bien sur avec la complicité de leur propre mère qui avait décidé de prendre la fuite sur le cheval du chevalier laissant le feu décidé de l'avenir de ses deux enfants.