La nuit passa rapidement et lorsque la jeune femme ouvrit les yeux le lendemain matin, il n'entendait pas le moindre bruit à l'extérieur de la maison, surprise elle ouvrit la porte et vit Olda qui s'apprêtait justement à venir la chercher, Swen et Darren attendaient tous les deux patiemment à l'endroit ou la vieille ils avaient appris énormément de choses.
- prépare toi vite il est tard, le jarl m'a demandé de te laisser dormir jusqu'à ce qu'ils partent les petites îles autour de nous, seuls les enfants et les femmes enceintes sont restées, ainsi que les esclaves mais ne t'inquiète pas ma petite tu ne risques rien et puis ils reviennent tous ce soir – dit Olda en lui faisant un léger clin d'œil
Feyre hocha simplement la tête avant de filer derrière le petit rideau pour se laver, pendant ce temps-là elle pouvait entendre Olda qui examinait les petits éléments de décoration qu'elle avait placée lors de son arrivée.
- tu aimes beaucoup peindre à ce que je vois, tu es très douée cela serait une grande qualité pour notre peuple tu sais ? Nous n'avons pas énormément de peintre aussi doués que toi – dit Olda en admirant les détails du dessin qu'elle avait fait la veille
La jeune femme prit une serviette et essuya son corps, elle mit la serviette autour d'elle et sorti de derrière le petit rideau, elle sourit en voyant Olda admirer son croquis qui d'ailleurs n'était toujours pas finit. Alors qu'elle allait justement le lui dire, elle la vit se retourner et ouvrir les yeux en voyant le haut de sa cicatrice qui se trouvait sur son tibias gauche, elle n'avait pas pût le remarquer la veille car cette dernière porter sa longue robe.
- ce n'est rien tu sais, je n'ai plus mal maintenant alors cesse d'afficher cette tête triste s'il te plait Olda cela m'inquiète plus que de raison tu sais – dit Feyre en se tournant dos à la femme pour s'habiller calmement, aucune autre cicatrice n'était visible sur son corps au plus grand soulagement de la femme qui se demandait déjà comment elle avait bien pût l'avoir
- raconte moi l'origine de cette cicatrise j'en prie, est grave ? Qui te l'a fait ? – demanda Olda en s'approchant afin de l'aider à se coiffer car la jeune femme semblait nerveuse à l'idée d'être en retard pour le programme de la journée qui s'annoncer aussi intéressant que celui de la veille
- lorsque j'étais petite, ma grand-mère m'a laissé sans surveillance pendant quelques secondes et je suis malheureusement tombée de l'étage de notre maison, j'avais la jambe en sang, c'était vraiment horrible mais je ne pleurais pas car je savais qu'elle pourrait me soigner qu'importe la gravité de ma blessure alors j'ai serré les dents et elle m'a recousue sans réellement m'endormir car j'étais une vraie pile électrique malgré l'hydromel qu'elle m'avait fait boire pour que je sois plus calme pendant l'opération – dit la jeune femme en souriant, elle remercia la femme de l'avoir coiffée et ouvrit alors la porte avant de doucement la refermer derrière elles
- et bien, une vraie tête brulée dis-moi – dit Olda en rigolant s'approchant calmement du duo de jeunes hommes qui attendant patiemment le début du cours
- oh si tu savais la nuit qui suivit tout ça, je n'ai fais que pleurer et me plaindre de la douleur que je ressentais dans tout mon corps, l'hydromel ne faisait tout simplement plus effet, contrairement à ce que je pensais j'avais mal à présent et je devais supporter la douleur – dit la jeune femme en s'asseyant à côté de Swen, tous les deux la saluèrent et elle en fit de même en souriant
- je me disais bien, c'était étrange que tu ne pleures pas malgré la gravité de ta blessure, cependant tu as était très courageuse tout de même et je dois bien l'admettre c'est très impressionnant et certains de nos guerriers adultes devraient prendre exemple sur la petite fille que tu étais et les jours suivants ? – demanda Olda avec tendresse
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Ensorcelée par le viking
Любовные романыFeyre n'était pas totalement inconsciente du danger qui était dorénavant sur les côtés irlandaises, les vikings s'y étaient installés depuis quelques mois afin de conquérir de nouvelles terres et d'avoir plus de ressources. Parfois, il arrivait que...