TW : crise de panique
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Point de vue de Gabriel :
13h57- « une chose est sûre c'est qu'au RN ce sont des menteurs jusqu'au bout et que des paroles en l'air, il m'avait dit vers 13 heures il est bientôt 14 heures »
J'attendais Jordan pour qu'il me ramène chez moi, déjà pour rattraper le travail manqué mais aussi à cause de Stephane, même si je redoutais de ce qu'il allait me dire ou faire...
*bruit de clé*
- « C'est pas trop tôt »
- « AHH » cria Jordan
- « En plus d'être en retard c'est une flippette »
- « Déjà que je vous ai accueilli chez moi monsieur le Premier Ministre je vous demande un minimum de respect »
- « Oui oui bon allez je vous attend dans votre voiture »
- « Hein ? »
- « Bah pour me ramener chez moi »
- « Ah mais ça va pas être possible »
- « Mais je ce n'est pas une question, je ne vous donne pas le choix »
- « Nan mais j'avais compris mais c'est juste pas possible »
- « Et pourquoi donc ? »
Cette histoire commençait à m'énerver, déjà que je me retrouve chez mon opposant politique, qu'il revienne de sa réunion en retard, il n'est pas possible de me ramener chez moi ?
- « Tout le quartier est fermé par les forces de l'ordre à cause d'une manifestation je crois »
- « Mais oui et moi je suis la reine d'Angleterre »
Il me fait perdre mon temps et je commence à perdre patience
- « Et ben allez regarder de vous même »
- « C'est ce que je vais faire, vu que dans votre parti vous ne savez que mentir je ne vois pas pourquoi je devrai vous croire »
- « Je vous en prie »
Ce ton arrogant, il m'insupporte, mais je sais très bien qu'il sait que j'ai raison. Il ne souhaite que du mauvais et dans ce cas me faire perdre du temps.
J'ai un rôle de Premier Ministre à tenir et j'ai toujours été sérieux dans mon travail, ce n'est pas un petit « djeuns » qui va m'en empêcher.Sur ces mots je sortis donc de l'appartement, mais arrivé à la porte ce que j'observa m'obligea à ne pas sortir d'ici ; des fumigènes, les forces de l'ordre, des véhicules blindés, des projectiles et j'en passe.
- « 1 point pour le parti du RN ou devrait je dire le parti des menteurs, 0 pour notre Premier Ministre »
- « La ferme monsieur Bardella »
- « Ouh je sens que notre Premier Ministre est tendu cet après-midi »
Je commençais à m'énervé de plus en plus, je serrai les dents, je fermais les poings par colère...
Ce moment fut de très courte durée car je senti une présence dans mon dos et deux mains qui se posaient chacune sur mes épaules.
Ce qui me donna des frissons- « Effectivement vous êtes très tendu monsieur Attal »
- « Je ne suis pas tendu »
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Ensemble malgré nos partis
Fanfictionune histoire d'amour entre Jordan Bardella, le président du parti politique du Rassemblement National et Gabriel Attal, le premier ministre de la France (actuellement démissionnaire) L'histoire est fictive et totalement inventée Votez pour un progr...