Le Vampire De La Pleine Lune

VIII

PDV Preyah 🌕

Je l'avais lu , j'avais lu ce fameux livre que le vampire m'avait donné , et j'aurais préféré ne jamais l'avoir fait.
Ce livre m'a donné une information que je n'aurais jamais dû savoir.

Suis-je condamné ?

Âme-sœur

Ce mot ne veux plus quitter mon subconscient , était-ce donc le destin qui avait fait en sorte que je m'aventure sur cette falaise ?

Je ne crois pas au hasard , un hasard qui fait que je rencontre la personne avec qui je compte finir ma vie ?

Impossible.

Après avoir fini ce livre ayant 367 page et 30 chapitre , le vampire a jugé bon de me laisser dans cette bibliothèque pour que je puisse réfléchir à cette situation assez ...compliquée.

- ma douce ? Dit-il en entrant dans l'immense pièce. Avez-vous pris le temps d'assimiler toutes ces nouvelles informations ?

Je pris quelques secondes de réflexion avant de répliquer :

- je... N'ai pas d'autre choix que d'accepter n'est-ce pas ? Dis-je en ayant un petit espoir d'échappatoire

- Preyah , cela est inévitable , ce lien est fort puissant , je ne vous demande pas d'accepter ce lien tout de suite , mais je suis persuadé qu'avec un peu plus de fréquentation , nous pourrons éprouvé des réels sentiments... amoureux dit-il agenouillé devant moi en me tenant les deux mains.

- mais..., Contrairement à vous , j'ai une famille qui m'attend en ville et je-

- Calmez-vous , nous verrons comment nous y prendre , ne vous inquiétez pas.

Nous restions là à nous regardaient droit dans les yeux pendant plusieurs secondes avant qu'il ne m'embrasse sur le front.

Ce contact me fis buguer pendant un moment, ce fût comme un choc électrique , d'autant plus que c'est la première fois qu'un homme apart mon père , me fait un bisous sur le front , mais je sais que c'est un geste très affectueux...

- ma douce , venez rentrons chez nous

Chez nous ? , Donc là c'est certain ? Je suis son âme-sœur , sa moitié...

Il me prit par la main et me guida hors de cette bibliothèque , ensuite nous descendons pour enfin nous retrouver dehors.

- Preyah ? Dit-il en ce dirigeants vers notre maison.

- ...oui ?

- cela ne vous dérange pas que je sois ainsi ?

- comment ça ? Demandais-je ne voyant pas où il voulait en venir

- cela ne vous dérange pas que je sois... pauvre ?

Je m'arrêta un moment étonné par ses propos. il n'y a aucun mal à être pauvre...

- mais bien-sûr que non ! M'empressais-je de dire , vous savez je ne suis pas riche non plus

- vraiment ? Venez nous allons continuer cette discussion autour d'un thé chaud dit-il en m'ouvrant la porte.

~

À présent assis l'un en face de l'autre , il me demanda de continuer ce que je disais

- enfaite , je suis la fille unique d'un couple possèdant juste une petite épicerie... , Nous mangeons à notre faim et sommes heureux cela nous suffit humblement

- cela ne vous à jamais déranger d'être pauvre ?

- je ne dirais pas que nous sommes pauvre, certaines fois nous l'oublions même , le fait d'être une famille assez heureuse nous suffit , certe nous n'avons pas toujours les moyens pour tout acheter mais nous vivons...

~

PDV Hale 🌑

La nuit s'était emparer du jour en revêtant son uniforme solennelle , sombre et effrayant pour d'autres , net et rassurant pour certains.

La jeune femme c'était endormie sur ce fauteuil inconfortable à côté de la cheminée.
Son visage paraît soudainement si angélique , je dirais même que le sommeil lui vas à ravir.

Son récit m'a longuement fait réfléchir , je n'avais jamais vu cette facette de la pauvreté , certe moi non plus les choses matérielles ne m'intéresse pas , mais c'est de cela que je vis , peut-être qu'elle , réussira à faire éveillé cet homme qui sommeille encore en moi...

- Hale ??

Étonnant, ils ce rappellent toujours de moi on dirait

- Sven ?

- je te contacte juste pour te prévenir que nous rentrons demain , ne prends pas la grosse tête frangin

- demain !?

- oui ..., Un problème ?

Un très grand problème même

- et Anneliese veut-elle rentrée ?

- évidemment que non tu la connais , elle en veut toujours plu-

- je vous l'autorise , restez pendant encore deux semaines le coupais-je

- ... Tu en es sur ?

- Oui.

( bonne lecture )