ATLAS

17

Sienna
La robe est totalement sublime, elle est noir à paillette. Je n'aime pas forcément l'idée qu'elle soit sur moi, mais le fait de me dire que je serais en compagnie d'Ace ça me soulage un peu. Avec lui je suis sûr que si je me sens mal à l'aise il fera quelques choses pour faire en sorte que je ne le suis plus.
-Mademoiselle Jones, vous êtes sublime.
-Merci Violette.
Moi, sublime, c'est que dans les rêves.
La styliste a finis son boulot et admire son chef d'œuvre, elle a passé au moins 2 heures là dessus, pour un résultat extraordinaire, je m'aime un peu dans cette robe, je me sens canon pour une fois, je ne peux pas me voir, mais je le ressens.
Ma domestique au cheveux vert, oui vert, me demander pas pourquoi elle a choisis de faire cette couleur car moi même je n'ai pas cette réponse. Elle ma ondulé les cheveux en des cascades tel que des escaliers ou des vagues, pendant que la styliste travaillais sur la pièce maîtresse de ma tenu.
-Tu veux que je te maquille, me demande la femme au cheveux vert.
-Si c'est pour te faire plaisir, je dit pas non.
Patricia, la styliste pars de la villa, et je me retrouve assise sur levier de la sale de bain sans miroir. Violette est concentrée dans ce qu'elle fait, elle me met du mascara le plus soigneusement possible sans en mettre partout, c'est vrai que si ce serait moi qui me le serait mise toute seule, j'en n'aurais déjà par tout sur la paupière.
-Parfait, conclue t'elle en fermant le tube de mascara.
-Je met quoi comme talon.
-Les noirs, ta pas dix milles paires de chaussures, tu les enfiles, je vais prévenir Call que tu es prête.
Call, rien que l'idée de passé 20 minutes en voitures avec lui m'angoisse.
Je descends les escaliers et me retrouve nez à nez avec l'une des photos qu'on na prise de moi et de mon -faux petit copain-, on dirait vraiment un vrai couple.
-Mademoiselle, veuillez vous asseoir dans le véhicule.
La statue de pierre sans émotions apparaît derrière moi, surprise je pose ma main sur ma bouche pour étouffer le léger cris qui allait sortir.
-J'y vais de suite.
-Violette, j'y vais, bisous, crié-je sur le ras de la porte d'entrée.
-Bisous, cocotte, et n'oublie pas de t'amuser un peu.
Une vrai maman, elle na peut être jamais eu d'enfant, mais ce rôle aurait été parfait pour elle et j'aurais bien aimé l'avoir comme mère.

Le conducteur s'arrête devant les plusieurs lumières qui éclaire le bâtiment. La rousse toujours à m'attendre devant l'entrée de l'hôtel, me fait signe de la main. Les yeux rivés sur mes pieds, me demandant comment je vais marcher avec ces chaussures, nan, je peux pas, mais je suis obligé.
Call m'ouvre la portière et je sors.
Sienna, tu n'es pas doué avec les talons , alors fait gaffe, me souffle la petite voix dans ma tête.
-Wow ta mis le paquet ce soir.
-Tu dit ça pour moi, Kate, mais c'est toi qui est hyper canon, t'a carrément sorti la veste léopard toute douce.
-Peut être mais ta mis des talons.
On ce fixe en plissant nos yeux, mais à la place de ce donner une bataille du regard on éclate de rire.
-Bon viens, je te promet, Josh il est trop beau ce soir, elle a mis le paquet sur le budget la cheffe.
-Elle a juste invité tout les hommes d'affaires de l'Angleterre et des États Unis, et je veux bien te croire pour Joshi, c'est le plus beau de toute façon.
On rentre dans l'établissement, et je fait attention, à la manière de comment je marche, je veux pas me foutre la honte devant des hommes de haute classe, ce serait vraiment trop gênant pour moi.
On s'arrête à l'intérieur de l'hôtel, et ma  meilleure amie semble chercher quelques choses, dans son sac à main.
-Heu, Sissi, attend moi là j'ai oublié mon rouge à lèvre dans le casier de notre gay préféré, tu m'attends là, hein? Pas qu'après tu disparaisse.
-Je ne bouge pas d'un poil.
La rousse au yeux noisettes part dans la direction des vestiaires, si ça ce trouve elle vas juste retrouver Aaron. Je n'ai pas vu Ace, je me demande où il peux être, vers les table peut être, il est souvent là bas, quoique nan enfaite, il doit être à un endroit que je connais.
-Excusez moi, vous cherchez quelqu'un.
Un homme en costume rouge et noir s'avance vers moi, les cheveux brun foncé, les yeux verts, et la peau métis. J'en ai carrément perdu la voix, il est beau, à coupé le souffle.
-Madame ?
-Pardon, j'étais dans mes pensées, que m'avez vous demandé?
Le tismey, prend deux verres de champagne sur le plateau d'un des serveurs et me le tends.
-Si vous cherchez quelqu'un, dit il en rigolant.
Ces dents sont ultra blanche, il a même des fossettes qui ce creusent quand il rigole, c'est adorable.
-Oh, je cherche mon époux.
-Mariée?
-Non pas encore, lui repondé-je
J'accepte le verre qu'il tiens dans ça main et son expression facial ce fait douce. Jamais je n'ai vu un homme de ce type la, il est sortie de mes rêves ou quoi.

-Et vous habitez où? me questionne t'il.
-J'habite chez mon copain.
C'est bizarre, j'ai l'impression de mentir encore et encore, mais c'est normal je ment,
Je me fait des auto conversation avec la voix dans ma tête et j'admets que je trouve ça assez amusant. On parle depuis une bonne trentaine de minutes assis contre l'un des murs de l'hôtel à l'intérieur. 
Il est drôle tout en restant classe. Kate n'est toujours pas revenue et je commence à m'inquiéter pour elle, mais t'en que je ne reçois pas de message c'est que tout vas bien.
-Je viens de penser, mais quelle est votre nom.
-Mon nom?
J'avais complètement oublié, on ne c'est pas présenter.
Je me lève du sol, balaye ma robe pailletée pour enlever les petites particules qui ce sont accrochés et l'homme au yeux verts fait de même.
-Oui votre nom.
-Sienna Jones, lui dit-je en souriant de pleine dent et en lui montrant ma main.
-Ravis de faire votre connaissance, Sienna Jones.
Il serre ma poigne et il renchéris.
-Max Dumas, à votre service.
Max Dumas, ce nom me dit vaguement quelque chose.
J'ai beau me creuser la tête mais je ne trouve pas.
Je sens une pression énorme sur tout mon corps, je cherche ces yeux, il est là, quelque part, ou esce qu' il peut bien ce trouver, et c'est quand je regarde dehors, derrière  la baie vitré que je le trouve. Il me tue du regard,  et son meilleur ami de même , ce qui m'affirme que Kate est potentiellement en danger. Mon expression facial a certainement du passé d'un sourire à une mine complètement découragée, pourquoi il me regarde comme un lion qui surveille ça proie.
Mon -faux petit copain- ce lève du bar et viens vite me rejoindre à l'intérieur accompagné de mon nouvel ami. Il pose une main au creux de mes reins, et les seules fois où il me le fait c'est que c'est pour quelques choses d'important, mais en quoi il peux y avoir quelques chose d'important là maintenant.
-Max Dumas, ça fait longtemps, dit Ace d'une voix rauque.
Je regarde le visage du métys, qui sert un sourire qu'on offre pas à n'importe qui. Ils ce connaissent?
-Ace Brown, c'est un plaisir. J'avais entendu que tu avais fait une demande, mais à cette jeune femme sublime, je ne l'aurais pas cru de ta part. Et cette fois, c'est une fausse ou une vraie, attaque Max, d'une voix taquineuse.
Je regarde le brun, puis le metys dans son costume rouge. A chaque nouveau noms prononcés, je dirige mes yeux vers la personnes qui ouvrira la bouche en premier ,mais aucune voix ne sort, Ace prépare quelque chose dans ça tête, mais ça devient trop long pour moi.
Aaron apparaît lui aussi à côté de Dumas, et mon cerveau fait un déclic.
Kate
-Les garçons, excusez moi de vous déranger dans vos petites chamailleries de gamin ou de vos problèmes perso, mais j'ai une meilleure amie à retrouvé, je soupire et reprend. Max, c'était un plaisir de faire ta rencontre.
Je prend la main de mon -faux petit copain-, mais une main, autre que la sienne, ce pose sur mon épaule.
-Aucun problème, tu as juste un petit truc dans les cheveux, néanmoins c'était un bon moment oui.
Il passe une légère main dans mes cheveux en cascade et Aaron s'interpose entre nous deux.
-Tire toi de là maintenant, grogne le plan cul de ma copine.
Max s'écarte, laissant place à Aaron et au grand mongole , je me sens comme un hot dog pris par deux gros pains.
Ace n'a pas semblé aimé qu'il me touche les cheveux, alors il pose une mains à l'endroit où il les as touché puis il le dévisage de haut en bas.
-Ne l'a touche pas Max, tu as déjà touché à quelque chose qui ne t'appartenais pas, et elle, elle tu ne la toucheras plus. Elle. M'appartiens, dit il en coupant les derniers mots.
Ce qu'il répond, rien, il ce contente juste de partir. Ce gars, c'est une bombe à retardement.