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La rencontre avec Call m'a parut catastrophique, c'est une statue de pierre, il ne parle pas, il fait juste ce qu'il doit quand il le faut. Et pourtant ça a quand même permis à l'autre psychopathe de rire. Carrément il mérite même pas mon intention et c'est ce que vais  faire à partir de maintenant.
On arrive dans ça propriété, le grand portail s'ouvre et nous laisse admirer une maison incroyablement luxueuse. Enfin je devrais plutôt dire une villa. Il y'a plusieurs vitres qui nous laisse apercevoir l'intérieure, mais les seuls couleurs qui règnes sont le blanc et quelques pointe de noir à quelque endroit.
Une dame repose sur le poche d'entrée, elle paraît gentille et assez vielle, ces racines grises commence à repousser sur ça teinture noir.
La voiture s'arrête, et Call m'ouvre la porte de l'arrière. La vielle dame ce rapproche de moi , et me tend son plus beau sourire.
-Tu dois êtres Sienna Jones. Moi c'est Violette je serais ta domestique alors si tu as besoin de moi, mon numéro ce trouve directement dans ta nouvelle chambre.
Ace passe juste devant nous, et je peux me retenir de lui mettre mon pied à travers son chemin.
A ça de tomber.
-Ne joue pas avoir moi ma muse, car c'est toi qui vas perdre.
-Sur? Faisons un pacte.
L'intéresser s'excuse au près de la domestique et passe une main dans ces cheveux pour remettre les quelques mèches, qui sont tombé sur son front.
-Celui qui perd, devras manger de la merde, dit-il
-T'es complètement fou.
-Ta peur de perdre, c'est pour ça que tu ne veux pas accepter.
N'accepte pas
N'accepte pas
N'accepte pas
Mon sang bouillonne dans mes veines, mon cœur me dit de ne pas accepter mais mon cerveau tout le contraire.
-J'accepte,le psychopathe.
-Maintenant laisse moi parler avec MA domestique, renchéris-je
Sans lui laisser le temps de répondre quoique ce soit j'agrippe le bras de Violette. La pauvre elle doit croire que je suis folle. Un peu plus loins dans le jardin on s'avance vers un jacuzzi à côté d'un cabanon ultra beau, ce n'est pas le genre de cabanon en bois tout délabré là c'est tout autre chose. Juste à 5 mètres du jacuzzi il y'a une piscine creuser en forme de spirale assez complexe, tout est illuminé par des lampes ou des spots. On ce pose  sous une pergola et on regarde le soleil ce coucher.
-Pour une jeune fille tu as du cran, et j'aime ça.
Violette me coupe dans ma fascination des lieux et elle  je commence à parler avec elle, ce qui me rend heureuse c'est au fait qu'elle ce confie aussi facilement. Quand elle était plus jeune elle faisait partis d'un gang de motards, Violette était  un garçon manqué et tout le monde l'adorais dans son milieu. Elle c'est retrouver ici à l'âge de 31 ans, car la famille qu'elle c'était crée ce dispersais un peu par tout dans les continents voisin.
-Comment est-il dans la vie de tout les jours, enfin je veux dire Ace, posé-je comme question.
Cela m'intrigue oui, j'ai vu  des bribes de facettes de lui mais j'ai vite compris qu'il essayais de cacher ces émotions, le fait il aussi ici, avec les gens auquel il est entouré depuis des années.
-Malheureusement oui, c'est un homme froid, intelligent et il cherche toujours la grosse bête au fond des gens, il aime savoir qu'il les manipule, mais moi en tant que femme je te le dit. Ne.Te.Laisse.Pas.Faire.
Sur ces mots, ma domestique continue de me faire visiter la villa en parlant de tout et de rien.
Ace
Elle est incroyablement belle oui, même pendant tout le temps que je l'observais j'aurais jamais pensé qu'elle avait un sacré caractère, mais je trouve ça amusant dans un sens ou je pourrais essayer de la pousser à bout.
Mais en réalité elle ressemble à ma mère , elle a le même corps qu'elle et les même yeux verts qui peuvent nous aimanter pendant des heures. Je me sert un verre de Whisky et je m'appuie contre l'îlot central de ma cuisine
Call est rentré chez lui, d'habitude je sirote mon verre avec lui devant un bon match de foot, sauf qu'aujourd'hui il était sois disant fatigué.
La brune est resté dans ça chambre des qu'elle est rentrer dedans. Elle n'est plus ressorti depuis et j'ai même peur, ça ce trouve elle s'est enfuis. Violette prépare le dîner en face de moi et je ne l'avais jamais vu aussi souriante qu'aujourd'hui, il c'est passé quelque chose de bien?
-Qu'est-ce qui vous fait sourire autant, finis-je par demander.
Elle ce retourne vers moi en ce lavant les mains,
-Je l'adore, garder la bien au chaud Monsieur Brown.
Alors c'est grâce à elle, c'est un vrai petit rayon de soleil, ou plutôt c'est la lune, elle illumine la où il fait sombre ou qui commence à s'affaiblir.
-Tu devrais l'appeler pour dîner, et ne soit pas trop violent avec elle, bref je vais mettre les assiettes alors dépêche toi de la chercher.
-C'est toi ma patronne maintenant, dit-je avec hilarité.
Je pars pour monter les escaliers, et je me dirige vers ça chambre qui était autrefois mon coin pour mes dessins et tout mes plans.
Je baisse la poignée et je la vois tenir une boîte qu'elle ouvre mais c'est...
-Des sexes toys, sérieusement t'en na combien.
Ma voix là fait sursauter quand je fait éruptions dans ça chambre. Elle referme la boîte et la cache sous son large t-shirt oversize.
-C'est pas des sexes toys, ce sont des jouets... pour heu mes chiens, oui mes chiens.
Désespérer je prend la boite, elle me laisse la prendre et je repose mon intention sur elle.
-Tu na pas de chiens, explique pourquoi t'a une vingtaine de god dans cette boîte.
Elle ce cache sous la couette comme une enfant, mais même sous ces draps je peux percevoir ces joues teintés de rouge.
J'attends pendants plusieurs minutes jusqu'à se qu'elle enlève la couette et qu'elle laisse son visage complètement rouge respirer de l'air frais.
En a peine quelques secondes elle se retrouve en face de moi les mains sur la boîte.
-Rends là moi, ça ne te regarde pas, crache t-elle.
-T'es joues sont bien rouge ma muse, ça t'excite si vite ce genre de chose.
Elle grogne dans ça barbe et récupère la boîte qu'elle fou dans un placard de ça chambre.
-Non, je ne les utilises même pas.
Alors pourquoi en avoir une vingtaine si ce n'est pour pas les utiliser.
-Enfin, ma meilleure amie sait que je n'ai pas baiser et aussi que je ne me donne aucun plaisir depuis plusieurs années, dit elle toute gêner.
-Tu veux dire quoi, par plusieurs années.
Elle me lance un regarde noir et montre avec ces doigts le chiffre deux. Je crois que j'ai mal vu, deux ans, sans baiser c'est impossible, même moi au bout d'une semaine je deviens nerveux quand je le fait pas.
-Décidément les hommes ne te veulent pas, la taquiné-je
Elle baisse la tête et reste bloqué sur ces pieds, je crois qu'elle a pris ma phrase dans un autre sens.
L'atmosphère devient assez gênante et je remarque que son ventre gargouille.
-Tu na rien entendu et rien vu, oublie tout ce qui c'est passé, demande t-elle angoissé.
-De base j'étais venu pour te dire que on allait manger.
Elle ce contente de marcher jusqu'à moi et de me pousser pour qu'elle puisse passé, ces cheveux mouillés, me frappe en plein visage quand elle fait un mouvement avec ça tête.
J'aurais aimé les lui tirer mais elle ne me donne pas le temps de le faire.
Violette nous à préparer de bonne pâtes carbonara, et je peux constater le regard que nous fait Sienna.
-Si t'aime pas, tu manges.
Ces yeux verts ce tourne vers moi et ça bouche s'entre ouvre. Ces lèvres sont pulpeuse et on remarque hyper bien l'arc de cupidon. Quand elle a embrassé ça copine, j'aurais aimé être à ça place et de les goûter, j'aurais deviner le goût qu'elle à, jusqu'à en devenir accro .
-Je n'ai pas faim, finalement.
Je fronce les sourcils, comme une impression d'avoir à faire à une adolescente capricieuse.
-Ton ventre il a gargou....
-Ta mal entendus, ce n'est pas que j'aime pas mais je ne peux pas.
-Tu vas manger ma muse.
-Je ne peux pas.
Je ne peux pas
Sa phrase me fait comprendre, lorsque que je l'avais surprise dans les toilettes je l'avais entendu ce rabaisser, elle ne s'aime pas. J'aimerais tellement lui faire aimer son corps, jusqu'à ce qu'elle mange tout ce qu'elle veut quand elle veut, elle est magnifique et je trouve ça dommage qu'elle ne le voit pas comme moi je la perçois.
Une vraie déesses.
Je prend son assiette et je renverse tout dans la mienne lui laissant plus rien dans la sienne.
-Et maintenant ?
-Je....
Je tourne ma fourchette pour prendre les spaghettis et je prends d'une autre main ça mâchoire. Et elle le fait, elle ouvre ça bouche et mange les pâtes que j'ai enroulé tout autour de ma fourchette.
-Tu veux qu'on mange comme ça, ça ne me dérange pas, tu sais ?
Elle fait un « oui » de la tête et c'est comme si j'oubliais mon monde, elle a une emprise sur moi, mais elle ne le voit pas. Je ferais tout pour l'aider quitte à mettre tout le monde à genoux pour elle.
Je continue de lui donner plusieurs fourchettes et à partir de la dixième je m'arrête, elle commençais à tirer des grimaces alors je pense que je j'ai bien fait de m'arrêter.
-Merci..., dit elle tout bas.
Je ne la regarde pas et je ne dis rien, elle doit  être assez gêné déjà.

Posé dans mon lit, j'écris avec mon grand père. Demain je vais devoirs travailler à la société ATLAS, puis rester jusqu'à une bonne heure le soir, à cause d'une superbe réunion.
Je vais mourir.
Raimon veut absolument que j'y sois, mais dans tout les cas je suis obligé de faire ce qu'il veut pour qu'il puisse me donner le poste de futur PDG, car à tout moment mes exploits ne suffiront pas. Normalement avec un peu de chance je réussirais à reprendre le projet de mon père. Sauf que ce maudit Dumas me l'a volé, il veut tout comme moi ce poste, mais ce sera moi qu'il l'aura en premier.

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